Pse Bruit

Guillaume a décidé de lui parler. La jeune fille, qui ne doit pas avoir plus de quinze ans, porte des escarpins terriblement démodés. Guidé par le bruit de ses talons, le garçon pénètre, à sa suite, par une porte dérobée, dans la bibliothèque de la ville. Dans une immense pièce abritant des milliers de livres, tous les deux se cachent du gardien qui a entendu du bruit. Guillaume est subjugué par les longs cheveux de l’adolescente et par son parfum un peu désuet. Les deux enfants courent jusqu’au square voisin

parisiens impressionnant. Zola décrit passionnellement chacune de ces boutiques (« les magasins ») : épicerie, lingerie, bonneterie, triperie, maréchalerie, horlogerie… La perception est soit fondée sur la lumière soit sur le bruit : perception synesthésique. Horloger : bruit du tictac. La maréchalerie : flamboiement d’une forge. Tous les petits détails sont justes. 2couleurs de Paris : gris-bleu du zinc. A chaque fois une couleur. Ça se termine par misère noire de la rue. C’est l’occasion d’une

vite fais dans la salle, et vis les hommes important que le patrons attendait. Je lui fit signe qu’il était là. Il me rendit le signe et alla à leurs rencontre. Il les fit s’installer au coin de le salle, pour qu’il ne soit pas déranger par le bruit des bavardages des clients. Il fit un signe à Molli de leur donner la carte. Le patrons se dirigeais vers moi. « -Bonjour Elena, comment sa va se matin ? - Sa va. Dite moi qui sont ses clients si important, Patrick ? demandais je. - Ce sont

t'effleure  Et tu ne peux retenir les pleurs Que tu as refoulés trop longtemps. Pour suivre l'oiseau qui te conduit vers la fin, Cet ange ténébreux qui met fin à ton destin, Tu t'es élancée, dans la bruyère et la rosée, Accompagnée par le bruit des vagues Qui se fracassent contre les rochers, Pareil à la chair écorchée par la dague. Poussée par l'adrénaline naissante, Tu t'enivres de liberté, de vitesse, De danger Pour oublier la hantise pesante De celui qui t'a aimée Et laissée

Le remplaçant un bruit me fit sursauter, c était la cloche qui annonçait la troisième période. Mr poulain le surveillant des onzième années entra dans la classe d une manière qui d après moi était idoine. Ca face respirait la méfiance, la force, la cautèle. Il connaissait bien les élèves. D ailleurs il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour arrêter le vacarme car il était connut pour son tempérament irascible et ampoulé. Soudain, un homme trapu, de petite taille, pénétra dans la salle. Sa

je n’ai rien à dire » - Bruit qui provienne de quelque part mais on ne sait pas d’où Développement o Poème étrange car les autres poèmes sont des histoires mais pas la même structure o Rime croisé o Strophe régulière à modèle répétitif ( mais c’est faux !) o Poème peu ordinaire o Paradoxe entre « je n’ai rien à dire » et le fait qu’on entende un bruit - Etude du « je n’ai rien à dire » o Temporalité, continuité : nuit/jour o Ecriture automatique - Etude du bruit o Rime « i » c'est-à-dire

connaissance. Ch 29 pp 233-238 Axel est sauvé. Son oncle est à son chevet. Quatre jours d’isolement. Une journée de convalescence et il est remis de ses blessures. Il avait roulé avec un torrent de pierres. Il semble voir la lueur du jour et le bruit des vagues. Ch 30 pp 239-250 Description du paysage souterrain de l’immense grotte. Découverte d’un océan, de forêt et de résidus d’ossement d’animaux. Ch 31 pp 251-258 La mer Lidenbrock. Profondeur 35 lieues. Fabrication d’un radeau. Ch 32 pp

présence des enfants. Pour deux raisons, la première est que ce qui est dit ne concerne pas toujours directement les enfants et cela peut-être perturbant pour eux, et la deuxième est que le besoin de sommeil de l’enfant ne peut être bien respecté avec le bruit qu’engendre ces discussions. J’ai conscience, parallèlement, qu’institutionnellement il n’y a peut-être pas d’autres possibilités de données à l’équipe pour ces temps. Mais peut-être faudrait-il repenser le fonctionnement du lieu afin de préserver

me rendis dans la rue où la voix m’avait parlé. En allant au passage piéton, la rue était remplie de gens ; je me sentais stressé. Les gens commençaient à rentrer chez eux, je voulais en faire autant car la situation ne me rassurait guère. Plus un bruit, plus aucun son n’émanait de la rue ; silence de mort. Pour rajouter à cette ambiance digne des meilleurs films d’horreur, les lumières des lampadaires s’éteignirent en un clin d’œil. Je suais à grosses gouttes, j’étais terrifié. Alors que j’avançais

Vers 1 : mise en place du cadre, un décor hostile. Le premier vers du poème place le narrateur au centre du poème (« autour de moi ») et décrit le cadre de l’action, en mettant l’accent sur le bruit de la rue (« assourdissante », « hurlait »). Le vers comporte des insistances phonétiques : allitération en /r/ (4), assonances en /u/ et /ou/ (2 fois chaque son) qui imitent par leur dureté (/r/) leur stridence (/u/) ou leur gravité (/ou/) l’atmosphère sonore agressive de la rue. L’effet est amplifié