Préface Sur Le Rêve

Exercice n°1 2. En quoi le projet réaliste est-il « scientifique » ? « Aujourd'hui que le Roman s'est imposé les études et les devoirs de la science, il peut en revendiquer les libertés et les franchises », écrivent les frères Goncourt dans la préface de Germinie Lacerteux(1865). De même Zola, pour défendre Thérèse Raquin (1867), son premier roman, affirme que son « but a été scientifique avant tout ». Fascinés par les progrès scientifiques de leur époque et en particulier par la nouvelle science

vers un brouillage des modèles actantiels attendus, au prix d'un affaiblissement considérable des figures héroïques et d'une réhabilitation subtile du grotesque à tous les niveaux de personnages. Enfin, nous articulerons la vision de l'histoire au "rêve de théâtre" que Vitez propose comme solution scénique aux problèmes d'interprétation posés par le théâtre de Hugo. Vitez faisait déjà travailler ses élèves du conservatoire sur le théâtre de Hugo avant de monter en 1977 Les Burgraves à Gennevilliers

inconsciente, et que c'est cette bizarrerie qui le fait être particulièrement le Beau. » C'est pourquoi l'imagination est pour lui « la reine des facultés ». Au fait, elle substitue « une traduction légendaire de la vie extérieure » ; à l'action, le rêve. Cette conception de la poésie annonce celle de presque tous les poètes qui vont suivre. Cependant, Baudelaire n'a pas vécu son œuvre, pour lui vie et poésie, restaient, dans une certaine mesure, séparées (ce qu'il exprime en disant: La poésie est

conserve le souvenir C'est un poème d'amour de la poésie elle même .De la forme poétique mais pas de la femme . La charogne devient belle dans l'œuvre d'art , elle est magnifiée et l'art et l'écriture . La poésie est un «  rêve de pierre » , elle s'appuie sur la vie , le mot rêve dans ce poème est très important . Paradoxalement cette charogne ( la mort) permet la création de la poésie . 2-) Peu d'importance de la femme Les vers consacré a la femme aimée sont volontairement conventionnels pour

Le rêve dans les mains libres : André Breton : « La nécessité du rêve a beau ne pas être connue, elle existe ». I- La liberté dans le rêve : a) Pratiques surréalistes : Le rêve est un thème central du recueil que l’on pourrait remarquer dans chacun des poèmes et dessins qui sont présents, malgré son occurrence plus explicite à 19 reprises dans le recueil : (Frontispice, l’Evidence, Objets, Les tours du silence, Les Mains Libres, l’Arbre-rose, Mains et fruits, Les yeux stériles, Le Tournant, Belle

penseur qui, à partir de la fiction de l'impossible, crée du possible. Son rêve a produit un nouveau monde. -Les rêveries du promeneur solitaire est œuvre une autobiographique il est indiqué comme une réflexion philosophique -La première de couverture nous indiquent le titre, l'auteur et l'éditeur -On attend quelqu'un qui nous fait part de ses péripéties a travers ses pensé solitaire -Le texte est précédés d'une préface écrite par Claude Richardet il éclaire sur les vues, le plan, prévient des

personnalité du personnage d’Emma. B-LA CLASSE DE MADAME BOVARY Contrairement à ce qu’on peut lire un peu partout, Madame Bovary n’est absolument pas un roman réaliste, ni romantique d’ailleurs. Flaubert explique lui-même dans sa préface qu’il veut en finir avec sa période romantique, mais il n’a jamais considéré son roman comme réaliste. Tout au long de son roman, il critique les excès dont peut faire preuve de romantisme. Il se moque des stéréotypes du romantisme (pavillons solitaires

prévoir son œuvre, mais qu’il doit la laisser se former en toute liberté d’esprit. Même si à la première lecture ou au premier regard le résultat peut paraître extrêmement étrange, d’après eux, on doit laisser de côté ses préjugés et accéder à l’état de rêve de l’artiste. Ce sont les expressions spontanées ou sauvages auxquelles les surréalistes n’ont cessé de porter la plus grande importance, du début à la fin du mouvement. Le surréalisme évolue rapidement car beaucoup de techniques sensées apprivoiser

éditeurs ne nous en apprend guère plus sur le travail de l’artiste autour des Feuilles d’automne. Hugo, en octobre 1831, se sépare de Gosselin et préfère traiter avec Renduel pour imprimer le recueil. Contrairement à ce que Hugo laisse entendre dans la préface du recueil2, il est loin de se désintéresser des « question[s] de second ordre » qui concernent le « libraire et non [le] poète »3 et il débat âprement avec Gosselin, comme avec Renduel, de questions financières. Si on est au fait des querelles d’édition

PREFACE Dans le monde d'aujourd'hui, et plus encore à l'échelle des jeunes adolescents, la lecture ne représente qu'une contrainte. Les livres désignés par les professeurs sont une obligation, et la majorité des élèves ne les lisent que parce qu'ils y sont forcés. Pourtant, lire un livre ne prend pas plus de temps que de regarder un film, et cela a des vertus bienfaitrices. Les adolescents préfèrent jouer ou sortir avec du monde mais ,ainsi, la culture se perd. En ces jours, la poésie a disparue