Préface Pierre Et Jean Argument

 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Britannicus’’ (1669) Tragédie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 4) l’intérêt de l’action (page 5) l’intérêt littéraire (page 13) l’intérêt documentaire (page 15) l’intérêt psychologique (page 20) l’intérêt philosophique (page 38) la destinée de l’œuvre (page 40) une étude de la pièce, scène par scène (pages 45-76)

On fait une science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits ne fait pas plus une science qu’un tas de pierres n’est une maison. Il faut un principe unificateur. Henri Poincaré La main à la pâte® et le Plan de rénovation de l’enseignement des sciences et de la technologie à l’école guide de découverte Académie des sciences Institut national de recherche pédagogique Ministère de l’éducation nationale Délégation interministérielle à la Ville

comme le titre de son precedent ouvrage le laissait a penser1. Pourtant, il faut plutot celebrer 1'effort de lucidite auquel il se livre. Le cynisme, ce serait approuver alors que 1'auteur ne cherche qu'a comprendre. ll rappelle ainsi, a la suite de Pierre Ansart, que la democratie est une « machine adecroire », et que les debats contradictoires, les derisions ou scepticismes, sont necessaires a la vie democratique pour assurer une plasticite diminuant les risques d' apathie. La vie democratique doit

1 1 LOUIS FIGUIER L'ALCHIMIE ET LES ALCHIMISTES !"!"!"!"!"!"!"!"!"!"!"!"!"!"!"!" TABLE PREFACE .......... 4 EXPOSÉ DES DOCTRINES ET DES TRAVAUX DES ALCHIMISTES. .......... 6 CHAPITRE I. Principes fondamentaux de l'alchimie. — Propriétés attribuées à la pierre philosophale .......... 9 CHAPITRE II. Moyens employés par les alchimistes pour la préparation de la pierre philosophale ........ . 24 CHAPITRE III. Preuves invoquées par les alchimistes à l'appui de leurs doctrines

personni- fiée par les Florentins, en bien ou en mal. L’orfèvre oppose un passé heureux où « Florence était encore (il n’y a pas longtemps de cela) une bonne maison bien bâtie » qui permettait à son peuple de vivre en sécurité (« sans crainte d’une pierre sur la tête »). Pour Tebaldeo, le jeune peintre, élève de Raphaël, Florence est une mère qu’il aime. Même s’il sait que la cité est corrompue, il ne remet pas en question l’amour qu’il porte à la mère-patrie. La marquise Cibo s’extasie encore devant

distinguer, en particulier : – L’essai : l’auteur, dans une œuvre en prose ne relevant pas de la fiction, formule ses réflexions sur les problèmes dont il traite, et il s’efforce de convaincre ses destinaires du bien-fondé de ses positions. – La préface : l’auteur déclare quels sont ses choix esthétiques, pourquoi il a écrit son œuvre. – Le manifeste : c’est une déclaration dans laquelle l’auteur présente ses conceptions, ses objectifs. – Le pamphlet : œuvre souvent brève, elle s’en prend avec violence

ANALYSE | INTERPRÉTATION | | | | | Axe de lecture n° 2 ENTRÉES | REPÉRAGE | ANALYSE | INTERPRÉTATION | | | | | BILAN LECTURE MÉTHODIQUE N°3 (Extrait 3) Samba Diallo rencontre à Paris où il fait ses études, un vieux magistrat, Pierre Louis. Invité chez celui-ci, il fait la connaissance d'Adèle, sa petite-fille avec laquelle il se retrouve plus tard dans un café et parlent de la colonisation. - Raconte-moi comment ils t'ont conquis, demanda-t-elle. Elle en profita pour quitter

personni fiée par les Florentins, en bien ou en mal. L’orfèvre oppose un passé heureux où « Florence était encore (il n’y a pas longtemps de cela) une bonne maison bien bâtie » qui permettait à son peuple de vivre en sécurité (« sans crainte d’une pierre sur la tête »). Pour Tebaldeo, le jeune peintre, élève de Raphaël, Florence est une mère qu’il aime. Même s’il sait que la cité est corrompue, il ne remet pas en question l’amour qu’il porte à la mère-patrie. La marquise Cibo s’extasie encore

Desjeux, Anthropologue, Professeur à l'Université Paris V Une non-thèse qui cache mal une vraie thèse : un plaidoyer pro-astrologique Jean Audouze, Astrophysicien, Directeur du Palais de la découverte Henri Broch, Physicien, Professeur à l’Université de Nice Sophia-Antipolis Jean-Paul Krivine, Rédacteur en chef de la revue Science et pseudo-sciences. Jean-Claude Pecker, Astrophysicien, Professeur honoraire au Collège de France, membre de l’Institut Denis Savoie, Historien des sciences, Palais

Celle-ci dénonce le comportement des hommes à l’égard des animaux : « il se fait accroire que nous n’avons été faits que pour lui ». Sous prétexte de leur supériorité, les hommes agissent encore plus sauvagement que des bêtes : « il prend, pour argument de sa supériorité prétendue, la barbarie avec laquelle il nous massacre ». Au-delà de son attitude envers les animaux, le genre humain est critiqué pour sa propension à asservir plus faible que soi : « ils se vendent les uns aux autres leur liberté