Préface Jean De La Fontaine 1668

l'enfance, l'adolescence, l'âge mûre/ les regrets, la mort et le recommencement. Cet enchaînement (ainsi que le refrain) provoque un sentiment de cycle, d'éternel recommencement qui évoque le Carpe Diem et donc La Fuite de Temps. La Fille Jean de la Fontaine Certaine fille un peu trop fière Prétendait trouver un mari Jeune, bien fait et beau, d’agréable manière. Point froid et point jaloux ; notez ces deux points-ci. Cette fille voulait aussi Qu’il eût du bien, de la naissance, De l’esprit, enfin

de biographies regroupées par paires. Une source de réflexions pour les critiques et les lecteurs : Nombres de dramaturges, de romanciers et de poètes s'inspirent des œuvres antiques. Molière dans Amphitryon (1668) et dans L'Avare (1668) s'inspire de Plaute (vers 254-184 av. J.-C.). Jean Anouilh s'inspire de la tragédie de Sophocle (vers 495- vers 405 av. J.-C.) pour son Antigone représentée en 1944. Le Moyen Âge : La Courtoisie : un art de vivre et d'aimer : Le Moyen Âge s'étend du 5éme siècle

Ventadour (mort vers 1170), Arnaut Daniel (actif entre 1180 et 1200) *Chrétien de Troyes, Le Chevalier au Lion (Yvain vers 1177-1181) ou Le Conte du Graal (vers 1180) Le Roman de Renart (extraits, à partir de 1180) ∆   Guillaume   de   Lorris   et   Jean   de   Meung,   Le Roman de la Rose (1230-1235 / 1275-1280) (extraits, notamment la première partie de Guillaume de Lorris) Charles  d’Orléans  (1394-1465), Rondeaux (extraits) Villon, Le Grant Testament (vers 1460) (extraits) XVIe siècle *Rabelais

JC) «L'iliade» et «L'odysée» de Homère (800-740 av JC) -> génèse du genre de l'épopée «L'énéide» de Virgile (70-19 av JC) -> Joachim Du Bellay s'est inspiré de cette oeuvre dans son oeuvre «Regrets» tout comme Jean Racine, Paul Scarron, Jean Giraudoux ou bien Jean Giono. Le mot «poésie» vient du grec «poiein» qui signifie: faire, créer. Les reflexions poétique s'appuient sur les anciens. Planton s'appuir sur une maïeutique (art d'accoucher des pensées) comme par exemple «Dialogues»

Vieilles-Etuves) et de la rue Saint-Honoré (maison détruite en 1802). Toute la famille habite le quartier des Halles (détail du plan de Turgot, 1739).Sa famille Jean Poquelin, que l’on appellera Jean-Baptiste et qui sera Molière, est baptisé le 15 janvier 1622 à Saint-Eustache, dans le quartier des Halles à Paris[1]. Il est né dans la maison[2] où son père, Jean Poquelin, marchand tapissier, a installé son fonds de commerce deux ans plus tôt avant d’épouser sa mère Marie Cressé. Son grand-père paternel et son

Boileau dans l’Art Poétique : « Jamais au spectateur n’offrez rien d’incroyable / Le vrai peut quelquefois n’être pas vraisemblable. » + « Il n’y a que le vraisemblable qui touche dans la tragédie. » Jean Racine, préface de Bérénice + « Mon imitation n’est point un esclavage. » Jean de La Fontaine Le respect de la séparation des genres : l’auteur dramatique ne saurait mêler tragique et comique ; les personnages illustres et leurs actions sont réservés à la tragédie tandis que les personnages de

Préface: A travers les siècles, des hommes ont connus en France la vie de vagabondage ou de mendicité. Toujours présents, ils décrivent un aspect révélateur d'une société qui au fil des années évoluent, comme eux. Des troubadours d'autrefois aux SDF d'aujourd'hui, la différence est flagrante et pourtant ils sont une source d'inspiration pour les poètes qui ont su éprouver pour eux une multitude de sentiments parfois contradictoires, évoquant tour à tour la liberté mais aussi la misère. Si souvent

Molière Aller à : Navigation, rechercher Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Molière (homonymie) et Jean-Baptiste. Molière Description de cette image, également commentée ci-après Molière dans le rôle de César dans La Mort de Pompée, peint par Nicolas Mignard (1658). Collection Comédie-Française de Paris. Données clés Nom de naissance Jean-Baptiste Poquelin Autres noms Molière Activités Dramaturge, Comédien Naissance Baptisé le 15 janvier 1622 Rue Saint-Honoré

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622 et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a crée des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Don Juan, Alceste. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Don Juan, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée

Certains intellectuels ne souhaitaient pas aller jusqu’à une contestation du catholicisme malgré les critiques qu’ils adressaient au clergé. D’autres, en revanche, comme Martin Luther, dénoncent le pouvoir du pape. C’est la réforme protestante. Jean Calvin se rallie à ses idées en 1530. Les tensions entre catholiques et protestants s’exacerbent et aboutissent aux guerres de Religion entre 1562 et 1598. L’année 1572 fut marquée par le massacre de la Saint-Barthélemy qui se déroula dans la nuit