Préface De Chatterton De Vigny

shakespearien afin de montrer que le théâtre de Shakespeare est supérieur. - Hugo, Préface de Cromwell (1827) : Hugo y définit ce que doit être un drame romantique. shaepire et racine meme si c pas vraiment leurs epoke on c bocoup inspirer Il existe aussi d’autres auteurs, Théophile Gautier (Mademoiselle de Maupin 1835), Gérard de Nerval (L’Alchimiste 1839), Alexandre Dumas (Caligula 1837), Alfred de Vigny (Chatterton, 1835), Alfred de Musset (Lorenzaccio, 1834) et Alphonse de Lamartine (Le lac 1820)

« féminine » de l'art: Vigny dans sa Dernière nuit de travail, préliminaire à Chatterton brosse le portait des trois sortes d'hommes aux prises avec l'art et le réel: « l'homme de lettres », « habile aux choses de la vie »; le « grand écrivain » qui « tient le peuple dans sa main »; et enfin « le poète », « inhabile à tout ce qui n'est pas l'œuvre divine », qui doit ne « rien [faire] d'utile », que « le bruit grossier d'un travail positif et régulier interromp ». Ainsi, pour Vigny la qualité artistique

l’homme face à son destin, etc. Le dénouement d’une tragédie est souvent malheureux (par exemple : la mort). « La principale règle est de plaire et de toucher. Toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première. » Racine, Bérénice, préface. Quelques grandes tragédies classiques : Corneille (1606-1684) : * Le Cid (1636) * Horace (1640) * Cinna (1641) * Polyeucte (1643) Racine (1639-1699) : * Andromaque (1667) * Iphigénie (1674) * Phèdre (1677) * Britannicus

l’homme puisqu’il voit plus loin qu’eux (Vigny, Chatterton, 1835) c) Evolution A l’entame du romantisme, on parle préromantiques qui comme Rousseau, pleurent beaucoup, s'émerveillent devant la campagne et les bons sauvages. On aime les cimetières, les lacs, la rêverie. Considéré comme un être véritable, la nature est sujette d'émerveillement, d'angoisse... De 1815 à 1830, c'est le règne des jeunes romantiques, qui comme Victor Hugo, Lamartine, Alfred de Vigny, Musset font connaitre la nouvelle poésie

pour L’Etranger et La Peste, il reçu le prix Nobel de littérature en 1957.   Victor Hugo   Né à Besançon en 1802 et mort à Paris en 1885 (funérailles nationales), Victor Hugo domine le XIXème siècle par son génie. Chef de fil du romantisme dont la préface de Cromwell représente le manifeste, il est aussi un auteur complet (ayant écrit dans tous les genres) et un homme politique et écrivain engagé (député puis sénateur, il a dû s’exiler de 1851 à 1870 pour avoir prit parti contre Louis-Napoléon). Ayant

idées allemandes. Plusieurs groupes (les "cénacles") se forment alors autour de Nodier et de Hugo, qui va bientôt faire figure de chef de file d'un véritable mouvement : revendication des appellations Romantisme et romantique, base théorique dans la préface de Cromwell (1827), scandale public de "la bataille d'Hernani" (1830), qui oppose drame romantique et tragédie classique. La libération romantique touche aussi la peinture (Friedrich, Turner, Géricault, Delacroix, etc.) et la musique (Beethoven, Schubert

l’argent. » Mouvement gagné par le « mal du siècle » → désillusion face au monde. Les grandes figures du romantisme Hugo, Victor (1802-1885) : Hernani, Notre-Dame de Paris, Préface de Cromwell, etc. Chateaubriand, François-René (1768-1848) : Mémoires d’Outre-tombe, Atala. Vigny, Alfred (1797-1863) : Les Destinées, Chatterton. Musset, Alfred (1810-1847) : On ne badine pas avec l’amour, Lorenzaccio, etc. Lamartine, Alphonse (1790-1869) : Méditations poétiques. Nerval, Gérard (1808-1855) : Les Chimères

nationalisme allemand puisque c’est le moment des défaites face à Napoléon. D’autres écrivains et poètes sont dans la mouvance du romantisme sans appartenir à des groupes. Ce sont des écrivains marginaux : - Jean Paul (Richter), Le songe, repris par Vigny et Nerval - Hölderlin C’est le théâtre qui passe le mieux en France : - Kleist - Schiller - Goethe - Hoffmann (contes) Les cercles romantiques français Ce sont les cénacles. En France, tout commence autour d’un regroupement autour

reconnaît ni son talent ni sa mission prophétique et presque divine. LE HÉROS ROMANTIQUE ET LE « LE MAL DU SIÈCLE » Les manifestations de cette « maladie » apparaissent dans bon nombre de textes littéraires, chez les héros de Chateaubriand, Balzac, Vigny, Flaubert. « Repos », « oisiveté », « ennui » sont les termes qui caractérisent l’état de cette jeunesse qui avait rêve d’héroïsme et de gloire dans le sillage de Napoléon. 1815 et la chute du régime impérial font disparaître les rêves et réduisent

le romantisme, le réalisme, le naturalisme ou le symbolisme. Les créateurs les plus importants échappent cependant à un étiquetage étroit et offrent des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny,Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset