Préface De Bérénice

un Parallèle de Corneille et de Racine (1693). Plus encore que sa préface pour l’Analyse des infiniment petits du marquis de l’Hôpital (1696), sesEntretiens sur la pluralité des mondes le firent choisir comme secrétaire de l’Académie des sciences, renouvelée en 1699; et ses Éléments de la géométrie de l’infini (1727, in-4) ont moins fait pour la gloire de cette assemblée que sonHistoire de l’Académie royale des sciences, avec deux préfaces, recueil contenant des extraits des mémoires des savants et les

volonté divine et avec le monde ambiant – n. n. 172 Ibidem, p. 15. 173 Paul Zumthor, op. cit., p. 119. 174 Gianni Vattimo, Sfârşitul modernităţii [La fin de la modernité], Pontica, Constanţa, 1993, p. 186. 175 Ibidem, p. 183. 176 Irina Mavrodin, préface du volume d’Albert Camus, Exilul şi împărăţia [L’Exile et le Royaume], Editura pentru literatură, Bucureşti, 1968, p. XV. 177 Jules Renard, Jurnal [Journal], Univers, Bucureşti, 1969, p. 145. 170 171 73 « Si lucide que je sois devant l’aberration

Suétone rapporte qu’un écriteau affichant ces trois mots ouvrait son cortège, alors que traditionnellement, on y rédigeait un récit détaillé de la victoire. Une formule modernisée Racine a puisé son inspiration chez Suétone (Vie de Titus) pour écrire Bérénice en 1670. Il mit cet alexandrin dans la bouche d’Antiochus : « Titus, pour mon malheur, vint, vous vit et vous plut. » Avec Racine, le coup de foudre amoureux prend le pas sur le triomphe des armes. En 1856, Victor Hugo titra un poème des Contemplations

PRÉFACE Notre ami et ancien collègue, le DR. CHARLES CADOUX mérite bien toute notre gratitude et toutes nos félicitations. Il est le premier à avoir conçu, à l’intention de nos élèves, un manuel d’histoire littéraire de France. C’est, à ma connaissance, le premier manuel de ce genre, rédigé en français et publié en Inde. Il existe en France d’excellentes histories de la littérature française. Mais elles s’adressent aux lycéens ou aux étudiants universitaires dont le français est la langue maternelle

Dieu qu'en connaissant nos iniquités. Aussi ceux qui ont connu Dieu sans connaître leur misère ne l'ont pas glorifié, mais s'en sont glorifiés. Quia non cognovit per sapientiam, placuit deo per stultitiam predicationis salvos facere 29. 190-543 Préface. Les preuves de Dieu métaphysiques sont si éloignées du raisonnement des hommes et si impliquées, qu'elles frappent peu et quand cela servirait à quelques-unes, cela ne servirait que pendant l'instant qu'ils voient cette démonstration, mais une

connaître Dieu qu'en connaissant nos iniquités. Aussi ceux qui ont connu Dieu sans connaître leur misère ne l'ont pas glorifié, mais s'en sont glorifiés. Quia non cognovit per sapientiam, placuit deo per stultitiam predicationis salvos facere 29. 190-543 Préface. Les preuves de Dieu métaphysiques sont si éloignées du raisonnement des hommes et si impliquées, qu'elles frappent peu et quand cela servirait à quelques-unes, cela ne servirait que pendant l'instant qu'ils voient cette démonstration, mais une heure

Dieu qu'en connaissant nos iniquités. Aussi ceux qui ont connu Dieu sans connaître leur misère ne l'ont pas glorifié, mais s'en sont glorifiés. Quia non cognovit per sapientiam, placuit deo per stultitiam predicationis salvos facere 29. 190-543 Préface. Les preuves de Dieu métaphysiques sont si éloignées du raisonnement des hommes et si impliquées, qu'elles frappent peu et quand cela servirait à quelques-unes, cela ne servirait que pendant l'instant qu'ils voient cette démonstration, mais une

connaître Dieu qu'en connaissant nos iniquités. Aussi ceux qui ont connu Dieu sans connaître leur misère ne l'ont pas glorifié, mais s'en sont glorifiés. Quia non cognovit per sapientiam, placuit deo per stultitiam predicationis salvos facere 29. 190-543 Préface. Les preuves de Dieu métaphysiques sont si éloignées du raisonnement des hommes et si impliquées, qu'elles frappent peu et quand cela servirait à quelques-unes, cela ne servirait que pendant l'instant qu'ils voient cette démonstration, mais une heure

Benoit Pype VOYAGE ET DÉPLACEMENT : L’ARTISTE CONTEMPORAIN ET SES EXPÉDITIONS Directeur de mémoire : Catherine Strasser Art-espace ENSAD 2010 5 Tous mes remerciements à : Ma famille Catherine Strasser Yann Pavie Jean-Christophe Gadrat Bérénice Serra 6 AVANT-PROPOS Séduit par la simplicité exaltante du « voyage » et sans aucun doute par la promesse d’une fascinante exploration, je me suis engagé spontanément dans l’aventure. Sans détour donc, j’ai formulé mes premières questions

(page 273) ; l’amour entre Camusot et Coralie et l’amour pur entre Lucien et Mme de Bargeton (page 278) ; l’amour sensuel et l’«amour pur» (page 279) ; la représentation et après chez les actrices (page 283) ; la pauvreté et le festin (page 294) ; Bérénice et Coralie (page 301) ; le décor et les moeurs de l’actrice (page 305) ; le « monde » et la chambre (page 309) ; actrice et sainte (page 314) ; Lucien arrivé et le nouvel arrivant (page 330) ; Angoulême et les puissances parisiennes (page 346) ;