Préface Autobiographique

vie des personnages. La typologie est évidemment discutée mais quelques grandes lignes de force sont bien définies. Le roman du moi Voisin de l'autobiographie qu'illustre l'imposant Mémoires d'outre-tombe de Chateaubriand (1848), le roman autobiographique à la première personne marque le début du siècle avec le goût pour la confession intime cachée derrière un prête-nom, en associant lyrisme et narcissisme pour explorer le mal de vivre d'une génération. Il constitue l'un des apports importants

à des considérations complexes et approfondies de la part du narrateur (Balzac, Illusions perdues, 1837 - 1843). Le jeune héros peut vivre des aventures similaires à celles qu'a vécues l'auteur. C'est le cas d'un certain nombre de romans autobiographiques. Ainsi, Jules Vallès fait le récit à la première personne des expériences de jeunesse de Jacques Vingtras dans L'Enfant , Le Bachelier et L'Insurgé. Mais le récit des aventures de Jacques Vingtras (initiales J.V., comme l'auteur) sont en réalité

fuite du temps. Lamartine utilise une métaphore maritime (« l’océan des âges », « jeter l’ancre »). → L'homme est vu comme un navigateur, il traverse la vie, toujours poussé de façon involontaire par cette fuite du temps. Ce poème d’inspiration autobiographique commence donc par une généralisation désenchantée

L’apologie de la religion est faite par l’évocation des beautés et des bienfaits du christianisme. o Les mémoires d’Outre-tombe (1822, publiées entre 1848 et 1850 après la mort de l’auteur, conformément à ses désirs), l’auteur mène de front un récit autobiographique et une chronique de mémoraliste. Il éclaire sa vie par la description et l’analyse de l’époque et de la société qu’il a connues. Il fait de lui-même un portrait flatteur, avec une complaisance parfois irritante. Il défie le temps et la mort,

Dans tous les cas, n’hésitez pas à expliquer clairement votre choix qui, encore une fois ne peut être que personnel. III / Mise en relation du tableau avec d’autres œuvres L’œuvre de David Olère peut être mise en perspective avec le récit autobiographique de Primo Levi ( 1919 – 1987 ) Si c’est un homme, paru en 1947 et l’un des tout premiers témoignages sur l’horreur d’Auschwitz. Vous en trouverez un extrait dans votre manuel, page 99, qui fait directement écho au tableau Les Inaptes au travail

mesure, pour chaque axe et chaque auteur. Voici déjà quelques références pour compléter la lecture du programme (qui reste votre priorité cet été). Autour des auteurs au programme Vous pouvez consulter en bibliothèque (pour tous les auteurs) les préfaces, notices et notes des éditions de la Pléiade, pour la richesse de l’appareil critique. Lisez d’autres textes des auteurs au programme. Pour Madame de Sévigné, vous pouvez lire des lettres d’autres années et commencer à vous interroger sur

l’au-delà », qu’il qualifiait de « naturalisme spiritualiste […] autrement fier, autrement complet, autrement fort ». « Du Spirituel dans l’art implique spiritualisme. Il y a spirituel dans l’art avant tout parce qu’il y a spirituel », souligne dans sa préface le philosophe et critique d’art Philippe Sers. « Kandinsky se place, dit-il, dans une tradition qui traverse l’histoire de notre pensée. Dans cette tradition l’Esprit préside à la connaissance. L’âme est un acquis. Il y a un itinéraire d’union à l’Etre

(XVIIIe), Hugo(XIXe) et Eluard (XXe) • Les titres des œuvres et la présentation du texte en italiques. 2. Lecture comparative : • Identifier le type de chaque texte ( 2 poèmes ou 2 passages de pièces de théâtre peuvent être accompagnés d’une préface argumentative, d’un extrait d’essai) ; le thème. • Identifier le point commun, le lien entre les textes (une réflexion particulière naît de la confrontation) et leur rapport avec un ou deux objets d’étude (cf programmes).La question peut être simplement : «Justifiez

tout au long de sa vie, mais il restera toujours fidèle au Romantisme. La Préface de Cromwell inaugure le drame romantique avec ses audaces et déclenche la bataille entre Classiques et Modernes. Victor Hugo dénonce aussi la misère, produit du capitalisme, comme le chef des Naturalismes, Emile Zola. Il va aussi être le précurseur du Symbolisme avec Les Contemplations. Ce poète fut le premier à écrire un livre autobiographique et rétrospectif. Les Contemplations, furent son salut lors de sa solitude

qu’il n’a jamais mis autant de lui-même dans un roman : «  je n'ai pas seulement soutenu les impressionnistes, je les ai traduits en littérature par les touches, notes, colorations de beaucoup de mes descriptions » L’Œuvre est le roman le plus autobiographique de Zola. L’amitié entre Sandoz, Claude et Dubuche s’inspire très largement des liens qui liaient Zola, Cézanne et Batistin Baille qui étaient connus comme les "trois inséparables", et avaient l’habitude de faire de longues promenades dans la