Proust Un Amour De Swann

Du côté de chez Swann – Proust Killian Pauper 1ère S1 Dans A la recherche du temps perdu, Marcel Proust nous présente Madame Verdurin, une bourgeoise peu distinguée bien que cherchant à l’être, qu’il utilise afin d’exposer une critique de la vie mondaine de cette époque. Le passage étudié décrit cette femme, mêlant subtilité et ironie dans la description de celle-ci et de la vie bourgeoise. Nous allons donc étudier les procédés utilisés par Proust dans le but de critiquer cette société

*Marcel Proust, de son vrai nom Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust, est né à Paris le 10 Juillet 1871 et mort, à l’âge de 51 ans, le 18 Novembre 1922. C’était un écrivain français de la fin du XIXème et du début du XX ème siècle. Issu d’une famille aisée, avec un père professeur de médecine à Paris et une mère issue d’une famille juive, riche et cultivée, Marcel Proust fréquente donc dès le plus jeune âge, des salons aristocratiques où il rencontre plusieurs artistes et écrivains. Il profite

INTRODUCTION Un Amour de Swann est la seconde partie de Du coté de chez Swann le premier volume de l’immense cathédrale qui est À la recherche de temps perdu. C’est un roman dans le roman. Il s’agit d’un récit qu’on peut comprendre sans connaître le reste de l’œuvre. Dans un sens, Un Amour de Swann, ne parle pas d’un souvenir vécu puis retrouvé. En plus, le récit n’est pas à la première mais à la troisième personne. Le narrateur raconte les événements qui ont eu lieu avant sa naissance

Incipit d’Un amour de Swann (Proust) L’incipit d’Un amour de Swann situe l’action. Dans l’extrait étudié (de « Pour faire partie du petit noyau » à « pour avoir trop ri »), Swann se trouve dans un lieu qui ne lui correspond pas : un salon grotesque et ridicule. Le narrateur évoque, avec ironie, le salon de l’intérieur et de l’extérieur. Il apparaît comme le double de Swann, son complice face au clan Verdurin dont il nous donne une vue panoramique pour finir sur un zoom de son chef : Mme Verdurin

du narrateur dans Un amour de Swann de Proust. Tout lecteur attentif de La recherche du temps perdu de Proust pourra remarquer trois éléments caractéristiques de l’œuvre. Il sera tout d’abord étonné et peut-être même déconcerté par la longueur et la complexité des phrases. Il aura également l’impression de voir évoluer des personnages à la fois très marqués et très mystérieux. Il notera enfin que le narrateur Marcel présente des similitudes avec l’auteur Marcel Proust. Ces considérations

 Marcel Proust : Analyses La Madeleine, p 100 Madeleine -> nom propre -> Unique Madeleine -> nom commun -> déchet de l’expérience Proust utilise d’abord la majuscule, puis la minuscule. Le plaisir ne vient pas de manger la madeleine avec du thé. Il ne sait pas d’où vient ce plaisir. Proust est fidèle aux évenements, il avance lentement et essaye de décrire ce qui se passe puis corrige. Il voit les apparences, il nous invite à le suivre dans un chemin où la vérité est dévoilée peu

TEXTE 3 : « LA SORCIERE » MICHELET-1862 INTRODUCTION Ce texte est un extrait de l’ouvrage intitulé « la sorcière » de Michelet paru en 1862 Jules Michelet, historien du 19ème siècle est né en 1798 et est mort en 1874 à Hyères. Il est issu d'une famille protestante. Il tente de réhabiliter la figure de la « Sorcière » symbole du dogmatisme, de la violence du clergé et de la crainte de la femme au moyen âge. Problématique : dans quel but ? Dans un premier temps nous étudierons la chronique

Au départ, Swann n’éprouve pratiquement pas d’attrait pour Odette de Crécy. Cette femme qu’il a rencontré une soirée au théâtre appartient à une classe inférieure à celle de Charles Swann, mais cela ne l’empêche pas de la rencontrer régulièrement dans le salon de Mme Verdurin. Assis sur un canapé à côté d’Odette et tandis qu’on y joue la sonate, une passion amoureuse semble naitre chez Swann. Celle-ci se confirme le soir, où il la recherche dans tous les restaurants de Paris. Swann devient l’amant

Proust : Passage page 270-271 Commentaire de texte Nous allons plutôt parler ici de l’insertion du texte qu’il a introduit dans ce passage. L’évocation du souvenir chez l’auteur est en grande majorité évoquée dans ce texte. Nous pouvons remarquer tout d’abord qu’il y a un retour en arrière dans le livre car à la page 269, il évoque en quelques lignes ce passage « Les clochers paraissaient […] l’église de Martinville », un retour au souvenir est donc créer ici, le narrateur retrouve les sensations

Georges Eugène Marcel Proust est né le 10 juillet 1871 à Auteuil dans une famille aisée. Son père était un médecin à grande notoriété ; il a d’ailleurs combattu l’épidémie contre le choléra en 1866, et a, dans ce cadre, voyagé en Russie, en Italie, en Perse et en Egypte. Quant à sa mère, Jeanne Weil, elle est issue d’une famille bourgeoise juive et elle jouera un rôle décisif dans la vie de Proust. Il a également un frère, né en 1873, qui est son total opposé. En effet, si Proust est proche de sa mère