Prosopopée De La Nature

à la société contemporaine. LECTURE – MISE EN VOIX On sera particulièrement attentif à la nature poétique du texte à lire : il s’agit à la fois de rendre la variation de ton selon l’émotion que cherche à faire passer Lucrèce (douceur, mépris, solennité, critique du monde contemporain), tout en évitant la lecture du vers latin avec un arrêt systématique à la fin de chaque vers ; par ailleurs, la nature poétique du texte doit rendre particulièrement vigilant sur la prononciation pour faire ressortir

est la description de paysage à la manière de peintures flamandes. Ils nous montrent un tableau très sinistre avec beaucoup de tristesse notamment avec les couleurs sombres : “un pâle étang“, “glisse une lueur“ et un décor sinistre “horizon mort“, “nature éteinte“. Je vais vous présenter dans ma troisième partie les trois poèmes et leurs points communs. Dans “le miroir brisé“ de Prévert il évoque la mort de la jeunesse et le regret du passé. Dans “Elsa au miroir“ Aragon parle de la femme et la

l’auteur - Il nous fait comprendre qu'il est du coté du loup. Nous connaissons les pensées du loup. L’utilisation du mot « Sire loup » favorise le loup. - La parole du chien est privilégiée mais le loup aura le dernier mot. - Personnification, prosopopée (faire parler des animaux) ; il éprouve les sentiments des animaux, qui débattent sur le sujet de la liberté. III. La moral de cette fable 1. La servitude - Le chien est attaché et dépendant du maître pour sa nourriture et son affection

fois v21/22. Au v27 la métaphore « le cœur me fend » traduit une déchirure d’autant plus grande car il doit mourir un jour où la nature est belle. -l’amour inconditionnel qu’il éprouve pour sa femme. Il lui dit d’être heureuse et d’avoir un enfant v23/30. -la confiance en l’avenir avec les verbes au futur v24/25 et pense aussi à son pays l’Arménie. On a ici une prosopopée (consiste à faire parler une idée abstraite ou un mort) avec « dit » v18 et « onze ans auparavant» v3. On a du registre pathétique

s’attacher à ses hommes. II/a)L’auteur donne la parole à Manouchian, c'est une adaptation de la dernière lettre du résistant sous forme d'un discours direct introduit par « Et c’est alors que l’un de vous dit calmement ». ce discours est une prosopopée, cela signifie que l'auteur fait parler les morts comme si ils étaient toujours vivants vers.19 à vers.30. Le « Je » représente Manouchian car il parle de sa femme vers.29 « Ma Mélinée ô mon amour mon orpheline » Manouchian dévoile ses rêves et

dangers de son attitude. II/Les deux méthodes employées par l'orateur a) La première : le discours indirect * discours indirect présenté par le fabuliste * champ lexical de la violence,registres tragique et polémique car, aussi, une prosopopée au v.9 "tyrannique", "tonna", "forcer", "fortement", "exciter", "figure violentes » * discours menaçant en conformité avec le danger évoqué, grave, imposant, discours grandiloquant avec beaucoup d'emphase, qui joue sur les figures de style

pauvreté vaut mieux qu’une telle richesse » (VII, 5).*Morale peut-être explicite (énoncée clairement, phrase affirmatives) = ainsi LF nous inculque sa vision des choses, nous donne directement des conseils : « Il se faut entr’aider, c’est la loi de nature » (VIII, 17) ; « Tenez toujours divisés les méchants » (VII, 7) ; « Jamais auprès des fous ne te mets à portée » (IX, 8).*Peut-être implicite (n’est pas clairement énoncée) = liberté d’interprétation = morales ne sont pas toujours celles qu’on croit

du faux :"elle serait règle infaillible de vérité si elle l'était infaillible du mensonge", " marquant du même caractère le vrai et le faux" Elle est omniprésente et envahissante ( "cette partie dominante dans l'homme") et devient "une seconde nature" pour l'homme. Elle n'épargne personne, pas même le philosophe qui, bien que persuadé qu'il ne risque pas de tomber de la planche où il se trouve puisqu'elle " est plus large qu'il ne faut", se laisse abuser par l"imagination, perd son assurance

dehors, un soir, dans la nature) → champ lexical nuit + champ lexical de la nature + été (saison de l'amour) → stéréotype, cliché littéraire (aspect paisible) - apparence : marécage (cf boue, crapaud) → atténuation côté idyllique du cadre. → « Sans air » (v.1), respiration difficile, air étouffant, désagréable → peur : champ lexical horreur (cf redondance + rime) - cadre inquiétant : connotations effrayantes + cadre fantastique (lune a deux significations) → fantastique (prosopopée) + champ lexical mort

Ce n’est pas l’Etat qui appartient au Prince, c’est le Prince qui appartient à l’Etat. »Accumulation : Consiste à ajouter des termes de même nature et de même fonction (afin de produire un effet de quantité ou de variété) . Ex : « ils ont des pointes, des épines, des lames, des griffes, des ongles » Gradation : Consiste à accumuler des termes de même nature, dont l’intensité est croissante ou décroissante. Ex : « Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! » Prétérition :