Propos Sur Le Bonheur

C’est parfois à propos de quelqu’un qui prétend être malheureux que l’on suppose qu’il a pourtant « tout pour être heureux ». On lui reconnaît par exemple une situation professionnelle favorable, une famille formidable, des amis fidèles, etc., et l’on s’étonne qu’il ne se sente pas heureux. Mais que veut-on dire par là ? S’agit-il d’identifier les raisons d’être heureux, puis de constater que ces raisons sont à la portée de la personne concernée ? « Avoir tout pour être heureux », ce serait alors

tyrans, il se vit traiter en criminel pour n’avoir pas voulu céder au crime » p. 45 « la première épreuve de la violence et de l’injustice irrite un jeune cœur sans expérience » p. 46 A propos du vicaire « son bon naturel » p. 47 « L’oubli de toute religion conduit à l’oubli des devoirs de l’homme » p. 47 à propos du prosélyte « Le mal, presque inévitable, n’était pas absolument consommé. » (ici le mal au sens de : la corruption) p. 48 « l’opprobre où l’avait réduit la fortune étouffait en lui tout

ALAIN Le roi s'ennuie Alain (de son vrai nom Émile-Auguste Chartier, 1868-1951) est un philosophe et essayiste du 20e siècle. Il met au point à partir de 1906 le genre littéraire qui le caractérise, les "Propos". Ce sont de courts articles, inspirés par l'actualité et les événements de la vie de tous les jours, au style concis, forme appréciée du grand public. Le but de sa philosophie est d'apprendre à réfléchir et à penser rationnellement en évitant les préjugés. Il est bon d’avoir un peu

du bonheur | Hans Christian Andersen | Le Bonheur peut se trouver dans un bout de bois | | | Indirecte | | Un homme fabrique des parapluies, vie dans la misère et n'arrive pas a trouver le bonheur. Une nuit de tempête cassa une branche d'un piorier qui n'a jamais donner de fruit et avec cette branche il fit des petites poires en bois. Il remplace les boutons des parapluies par ces petites poires et il en venda beaucoup plus qu'avant et il trouva le bonheur.

Dans ce texte, Schopenhauer, aborde la question du bonheur dans son rapport au désir. Il commence donc par énoncer le propos suivant : le bonheur n'est rien que de négatif dans son essence. Vous pouvez alors commencer par remarquer en quoi cela peut surprendre au sens où nous pensons traditionnellement une positivité du bonheur. Schopenhauer va ainsi s'attacher à montrer que le bonheur, la satisfaction, ne sont que délivrance et disparition de la souffrance. C'est ainsi, à partir d'une analyse

d'éthique. En effet celle-ci restera bien connue en faisant figure d'une petit traité sur la définition de la notion de plaisir. Dès lors le philosophe développera l'idée de la nécessité atteindre un état dont l'absence de douleur justifirait le bonheur. Dès lors cette lettre saurait être découpée en sept parties plus ou moins distinctes. Épicure à Ménécée, salut. 1. La nécéssité de philosopher [Même jeune, on ne doit pas hésiter à philosopher. Ni, même au seuil de la vieillesse, se fatiguer

qui apporte tant de bienfaits, les hommes n’en sont pas pour autant plus heureux car le progrès technique ne fait pas le bonheur, en revanche il peut participer au fait d’être heureux.                                                                                                            En seconde partie, ce texte formule une objection aux propos précédents puisqu’ici l’auteur affirme que le progrès technique n’est finalement que superflu puisqu’il vient résoudre

vrai bonheur. Cependant, ils ne se sont pas entendus sur la nature du bonheur. Certains croient que le bonheur provient des plaisirs corporels, d’autres pensent que seuls les plaisirs de l’âme peuvent nous le procurer. Mais parmi, ces penseurs, le philosophe Diderot prend place lorsqu’il nous cite : «Il n’y a qu’un devoir, c’est d’être heureux.». En effet, le fait d’être heureux, nécessite la notion de bonheur. Or, est ce un devoir de l’être ? ou en d’autre mots, doit on acquérir le bonheur ? Pour

en accord avec son objet. La vérité formelle, en logique, en mathématiques c'est l'accord de l'esprit avec ses propres conventions. La vérité expérimentale c'est la non-contradiction de mes jugements, l'accord et l'identification de mes énoncés à propos d'un donné matériel. On distinguera soigneusement la réalité qui concerne un objet (ce cahier, cette lampe sont réels) et la vérité qui est une valeur qui concerne un jugement. Ainsi le jugement : « ce cahier est vert » est un jugement vrai ou bien

à l.2 « notre rive » « nous »l.2-3 volontairement répétée s’oppose à « tu »l.1. D’emblée le ton est donné le vieux tahitien pointe du doigt celui qu’il appelle chef des brigands périphrase accusatrice. Très vite trois notions apparaissent dans les propos du sage :la cruauté, la violence, la destruction « allumer » « se haïr » « piller » « inconnues » « folles » « féroces » «esclaves » « vol ».Ces termes renvoient à un tableau sinistre mais réaliste qui traduit l’odieux comportement des européens