Pronom relatif

féminin « une cour de récréation », prend un -s au singulier. L'adjectif qualificatif s'accorde en genre et en nombre avec le nom qu'il complète : « les premiers jours », « grands élèves », « longues discussions », « disputes interminables ». Le pronom relatif « desquelles » s'accorde avec son antécédent « disputes » au féminin pluriel. « Tant », de la même famille que « autant », exprime une quantité et ne peut être confondu avec la notion temporelle qu'implique son homonyme « le temps ». De nombreux

également être mis en position détachée. Construction qu’on appelle parfois épithète détachée. Ils précèdent ou suivent le GN de rattachement s’il s’agit du sujet, ils le suivent si c’est un autre syntagme mais peuvent en être disjoints si c’est un pronom complément. * Les groupes prépositionnels qualifiants ainsi que les participes peuvent être détachés dans les mêmes conditions que les groupes adjectivaux. Toutefois, les participes se rattachent de préférence au sujet. (Léon, de bonne humeur

proposition subordonnée dépend de la proposition principale, elle ne peut fonctionner seule. On retrouve différents types de propositions subordonnées , elle peut être Introduite par un mot subordonnant -Relative elle est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, où, lequel, laquelle, ...) ex: J'écoute ce disque qui me passionne avec « disque »antécédent de qui. -Interrogative indirecte Elle est introduite par un si : interrogation totale ex: Je me demande si autre chose m'intéresserait

Pronom Relatif Qui: J’ai trouvé un escargot qui bouge. J’ai trouvé un escargot. L’escargot bouge. Marie a trouvé un étoile qui éclat. Marie a trouvé une étoile. L’étoile éclat. Jean mange un ver qui est rouge. Jean mange un ver. Le ver est rouge. C’est un site formidable qui donne beaucoup de information. C’est un site formidable. Le site donne beaucoup de information. Paul parle du français qui sons très bon. Paul parle du français. Ses français sons très bon. Que: Le site que m’intéresse

récurrence du présentatif, “voici” ou “voilà” qui amplifie les reproches. Enfin le rythme des phrases, avec les énumérations en gradation et les anaphores, donne l'impression que rien ne pourra arrêter sa colère. C'est le cas avec la reprise du pronom relatif “qui” dans la deuxième phrase, avec le rythme ternaire dans “n'avoir eu pour seul mérite que de l'or, de l'argent et des dignités” ou la triple interrogation oratoire : “Riche ? non ; noble ? non ; grand seigneur ? point du tout.” === Cette

rattaché au nom par une préposition (à, de, du , des, au, en, sans...) il complète un nom ex: une jeune fille d'une grande beauté Comment reconnaître une proposition subordonnée relative? elle est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où) elle contient un verbe conjugué elle complète un nom ex: une jeune fille qui est belle Exercices: 1) complète les noms en gras par des expansions, selon ce que les parenthèses indiquent:

que Si l’intensité porte sur un nom : quelque(s) + nom + que, quel que soit + nom Si l’intensité porte sur un adjectif ou un adverbe : si + adj./adv. + que, quelque + adj./adv. + que, pour + adj./adv. + que Quand l’intensité est exprimée par un pronom relatif sans antécédent : qui que, quoi que, où que au cas où, dans l’hypothèse où… quand bien même, alors même que… Comparaison Sans degré d’intensité : comme, à la façon de, à la manière de, contrairement à, auprès de… Compléments du comparatif

garnir la chambre de matelas, [PSC2 afin que le paroxysme, dû quelquefois au Bacchus du cassis, ne compromît pas nos têtes avec les angles des meubles]. - les P subordonnées relatives (PSR) dépendent d’un nom ; l’élément subordonnant est un pronom relatif : qui, que (homonyme de la conj.), lequel, dont, où… - les P subordonnées complétives (PSCo) qui correspondent le plus souvent à un complément d’objet ; elles dépendent plus étroitement du verbe que les PSCi qui sont des compléments secondaires

qu’il s’agit du verbe vivre au subjonctif : (Que) vivent les arts ! ► Avec le verbe égaler : Deux fois deux égale quatre ou Deux fois deux égalent quatre. REMARQUE Avec on, le participe passé est au singulier, mais on admet le pluriel lorsque le pronom représente plusieurs personnes : On n’est jamais si bien servi que par soi-même. On est ► fatigués. ► Avec l’un(e) et l’autre : L’un et l’autre se disent ou L’un et l’autre se dit. REMARQUE Le verbe est au pluriel s’il y a réciprocité

titres d'articles ou de documents (parfois ajoutés par celui qui a construit le dossier) sont entre guillemets, et eux seuls. Une ligne ne saurait commencer par une virgule, par un point, ou par un mot dont l'article élidé (l') ou le pronom relatif élidé (qu') est resté accroché bêtement à la ligne précédente. Un mot trop long est coupé par un tiret et entre deux syllabes, et on ne peut avoir à une ligne «ass-» et à la ligne suivante «ureur». On doit couper entre deux consonnes redoublées