Pronom démonstratif

personnels, en distinguant les formes sujet des formes objet du pronom (la première personne désigne Agnès, la deuxième Horace, l'indéfini « on » renvoyant à Arnolphe). Agnès est sujet de deux verbes de sentiment (« je sens », « je suis fâchée ») et d'un verbe d'opinion négatif (« je ne sais »); elle est deux fois objet du verbe « faire », alors qu'Horace et Arnolphe sont sujets de ce verbe (« vous m'avez fait », « on me fait faire »). Les pronoms personnels renvoient donc à la situation respective des personnages

dort : verbe seul − le chat dort profondément : expansion − expansion : COD, COI, Complément circonstanciel, complément d'agent C) accord sujet-verbe – relation essentielle, le verbe se conjugue et le sujet commande – sujet : un groupe nominal, un pronom, une proposition subordonnée complétive (qu'il pleuve ne m'étonne pas), une proposition infinitive (parler est interdit) II) Arbres − on décompose chaque groupe – arbre : lisible quand phrase simple sinon trop complexe à exploiter Exemple : 2

donner des consignes à une équipe en vue de la préparation de plats. Les quantités Les unités de mesure Les ingrédients Les ustensiles Les termes de préparation culinaire (ex : modes de cuisson, etc) L’impératif La forme exclamative Les pronoms COD Les adverbes et locutions adverbiales de quantité et de temps Le partitif Les connecteurs temporels. Le subjonctif de temporalité dans les expressions (avant que.., jusqu’à ce que…) Réaliser un plat à partir d’une recette de cuisine ou

coup de foudre - Comment le poète exprime-t-il l'émotion provoquée par cette rencontre? Synthèse • Le cadre de la rencontre: -V. 1: animation et bruits de la rue. Bruits agressifs de la ville (« hurlait »). Le poète, représenté par le pronom tonique « moi » est environné par ces bruits, comme le traduit la construction syntaxique du vers. - La rue est une synecdoque de la ville et, surtout, de la multitude. - Personnification de la rue, dont l'agressivité est rendue par le verbe « hurlait

Condamnation des peuples sous la monarchie tyrannique. 1) Une opposition peuple/tyran. ▪ Opposition il/vous : Le texte est construit sur une opposition répétée de deux pronoms et déterminants possessifs qui leur sont liés. Le pronom « il », au singulier, représente « le maître », le roi, le tyran. Tandis que le pronom « vous », au pluriel, représente « les gouvernés », le peuple. ▪ Le sous-titre : Discours de la servitude volontaire ou contr’un tel est le titre exact de l’œuvre. Le sous-titre

termes comme « doucement », « souffrir » ou encore « volonté » ce qui exprime clairement sa volonté de de modération. De part ces formulations, on retrouve bien l’expression de la modération que veut Philinte. Il s’implique également en utilisant le pronom personnel « nous » qui permet aussi d’atténuer l’échange. Maintenant, nous allons voir comment le personnage de Philinte justifie cette modération. On observe que ce personnage refuse totalement l’excès à l’aide des maximes des vers 33, 34 et

que la mère désigné par un terme générique et Joseph ce qui peut nous faire penser que le personnage absent se confond avec le narrateur ( ?). Ce trio semble soudé car nous remarquons l’expression : « tous les trois » employé deux fois ainsi que le pronom : « tous ». Le thème de la solitude, de l’isolement est très présent aussi dans ces premières lignes : nous pouvons relever un champs lexical correspondant avec l’atténuation : « moi seul », « solitude », « désert ». Ce qui indique aussi que l’endroit

de ce récit sont mari et femme : il s’agit du docteur Charles BOVARY et de son épouse EMMA. 2. Relevez, pour chacun des personnages, un substitut remplaçant son nom. Donnez la nature grammaticale de chaque substitut. /1 Charles est désigné par le pronom personnel « il ». Emma est désignée par le nom commun « Madame ». 3. Quelle est la situation initiale du récit ?/0,5 Les époux Bovary ont été invités au bal organisé par le marquis d'Andervilliers dans son château de la Vaubyessard. Ils quittent

ce présent ? Quelle est ici sa valeur ? 5. Qu’est-ce qui différencie le loup et l’agneau de simples animaux ? Le dialogue : 6. Observez l’image de J-L Loyer : comment l’illustrateur distingue-t-il le dialogue de la narration ? 7. Comparez les pronoms personnels et GN employés pas l’Agneau et par le Loup pour s’adresser l’un à l’autre. Que remarquez-vous ? Loup : te, tu, vous. Agneau : Sire, Votre majesté, elle. Quelle attitude cela révèle-t-il pour le loup ? Pour l’Agneau ? 8. Résumez dans

sur sa faiblesse pour lui. la première période (sous-mouvement) s'ouvre sur une série de questions qui montrent la désorientation tant physique que psychique d'Hermione. Deux premiers vers : constitués de questions courtes formées avec des pronoms interrogatifs : « où? », « qu'ai-je », « que », « quel transport», quel chagrin». Premier vers est marqué gradation de sens renforcée par une gradation dans la prosodie : 3/3/6. Incertitude sur le présent le passé et le futur (présence du présent