Prolepse

roman traite du libertinage en évoquant des personnage en marge mais fait également référence au plaisir du romanesque. Des grieux va raconter son histoire à renoncour (le second narrateur), c’est une analepse. Le récit demarre tout de suite par une prolepse, qui nous annonce immédiatement que la rencontre avec Manon est le point de départ d’une aventure désastreuse. Elle va constituer un changement pour DG qui va perdre son innocence. Nous verrons comment la rencontre avec manon parvient elle a changer

rapide. S’agit-il de prolepses, d’analepses ? Il est difficile de trancher d’un point de vue global. Nous pouvons faire l’hypothèse que, suivant le moment de la diégèse dans lequel on se situe, le syntagme suivant qui rompt avec cette temporalité sera soit une analepse, soit une prolepse. Concrètement, cela reviendrait à dire que, lorsque l’on passe d’un plan de l’histoire de Virginia (t1) à un plan de l’histoire de Laura (t2) ou de Clarissa (t3), il s’agirait d’une prolepse. Au contraire

L’archéologue, en comparant la Vénus d’Ille aux autres statues antiques qu’il connaît, mentionne que la « majestueuse immobilité » des œuvres d’autres sculpteurs classiques manque ici, une prolepse du phénomène de la Vénus qui quitte son piédestal pour réaliser ses intentions terribles. Cette prolepse des pouvoirs fantastiques est accompagnée de l’affirmation qu’on aurait pu croire les formes « moulées sur nature, si la nature produisait d’aussi parfaits modèles », un indice que la Vénus est

214)3. Introspections de Des Grieux (« chercher à comprendre » p.217)4. Analyses psychologiques des autres personnages par Des Grieux (« chercher à comprendre » p.218)5. Des Grieux aime à se raconter (p.212)6. Anticipations et retours en arrière (prolepses et analepses) (p.203)7. Portrait et caractérisation de Manon (p.208)8. Identité et fonctions des personnages secondaires (p.204)9. Expression des passions de Des Grieux (p.218) 10. La variété des registres  (en repérer au

en utilisant l’anticipation et le carpe Diem. Comment Ronsard, en revisitant le carpe Diem parvient-il à faire l’éloge de la poésie ? Nous étudierons la manière dont Ronsard tourne le lyrisme en discours de séduction puis son utilisation de la prolepse en tant que persuasion et finirons par l’éloge du poète et de sa poésie. Au-delà du discours, Ronsard fais vivre son œuvre grâce au dialogue ou il interprète son amour pour inciter sur la séduction. On peut y voire la présence des marques de

énigme qui se dévoile progressivement grâce à une analepse : récit progressif du passé du veuf dans « Paille humide », allusions à la vie manquée du couple dans « J’veux voir le Père Noël ». Cette dernière nouvelle présente aussi un certain nombre de prolepses, où le personnage principal imagine au futur hypothétique des fins possibles à l’événement qu’il est en train de vivre. Deux nouvelles se déroulent sur un court laps de temps constituant de véritables scènes (le temps de la narration correspondant

ordre temporel anachronique caractérisé par une multiplication des prolepses et des analepses. Ceci est un autre trait que Mimouni emprunte au roman moderne. En effet, le roman s’ouvre sur une prolepse « Il faut que vous sachiez que la Révolution ne vous a pas oubliés, nous déclara-t-il à son arrivée »20 il s’agit d’un discours prononcé par Omar le nouveau préfet. Les deuxième et troisième chapitres commencent également avec des prolepses constituées toujours par les propos d’Omar « Je peux vous dire

procédé de l’ironie pour tourner le conte traditionnel en dérision : + Prolepse de départ : « le projet insensé ». + Insistance lourde sur les résolutions à l’aide d’un comique de répétition : « rien n’est plus aisé ». Memnon est d’emblée trop sûr de lui. + Memnon faisant son « petit plan de sagesse dans sa chambre » est une image péjorative, apparentant le personnage à un enfant naïf et innocent. + La prolepse sur ses aventures provoque une attente des événements et l’installation

il tient son journal, les analepses se rapportant aux 5/6 dernières semaines. A quoi on peut ajouter deux chapitres qui relèvent plutôt de prolepses. - Du chap. XVIII jusqu’à la fin de l’œuvre : partie importante consacrée au dernier jour proprement dit. Le décompte se fait désormais en heures. Là encore, on y rencontre trois analepses, trois prolepses et une ellipse évidente. De ces relevés on déduit que la narration est manifestement brouillée sur le plan chronologique, notamment dans la

sel » l. … et « leur coin de plaine, dans la solitude et l’obscurité » l…. - un nom propre : « Ram » l……….et ….. , présenté d’une part, comme une rupture avec la solitude de la plaine « où ils verraient du monde » l…. et, d’autre part, grâce à la prolepse, comme le lieu qui modifiera leur destin « la rencontre qui allait changer leur vie à tous » - cependant, rien de précis dans la localisation : on ne sait dans quel pays se situe le roman et Ram n’est pas le nom d’une ville connue, c’est en fait