Processus Budgétaire

Pacte de stabilité, crédibilité du policy mix et coordination des politiques budgétaires en union monétaire Patrick VILLIEU LEO-UMR 6586 Université d’ORLEANS Faculté de Droit Economie Gestion, rue de BLOIS 45067 ORLEANS Cédex 2 E- mail : patrick.villieu@univ-orleans.fr mai 2002 Résumé : Cet article présente un modèle d’Union monétaire à deux pays pour étudier les problèmes de crédibilité et de coordination soulevés par la gestion du policy mix. On s’intéresse notamment au solutions contractuelles

->amélioration contrats de W, assouplissement règles, R/D Principe : les chocs d’O nécessitent des ajustements structurels+institutionnels Objectif : libérer la croissance éco B) Politique budgétaire et monétaire - politique budgetaire Budget: dépenses et recettes de l’ É et des administrations publiques Politique budgétaire: utilisation du budget de l’É pr affluer sur l’activité éco Politique de relance: favoriser la conso pr relancer l’éco Politique de rigueur: restaurer l’équilibre en limitant les

modalités les plus efficaces d’établir et percevoir les revenus budgétaires. La politique fiscale se développe en étroite liaison avec la politique financière de l’État. C’est pourquoi, dans la doctrine, la politique fiscale est appréciée comme se trouvant à la frontière entre la politique budgétaire et la technique fiscale. De plus, la doctrine souligne le fait que la politique fiscale est une composante essentielle de la politique budgétaire et que – dans une grande mesure – elle est même la servante

................19 Renforcement de l’intégration économique Concentration du risque financier Partie II : Crise de crédit et tensions budgétaires : un risque pour la zone euro ..................................................... 25 Chapitre I : Crise financière et plans de relance mondiaux ......................27 Activisme monétaire Interventionnisme budgétaire Chapitre II : Déficits publics, mur de la dette et balance structurelle ..........30 Financement de l’effort de relance et creusement

IS…………………………………………….. B) Détermination de la courbe LM…………………………………………….. C) La représentation de l’équilibre…………………………………………….. D) Impact des politiques actives………………………………………………. D.1) Cas de la politique budgétaire…………………………………… D.2) Cas de la politique monétaire……………………………………. II) Le programme néo – classique : la remise en cause de la politique Economique…….. II.1) La courbe de Philipps………………………………………………………………. II.2) La réinterprétation de Friedman :

2008 p2 p4 p4 1.2. Taux de chômage et emploi 1.2.1. Les années 1990 : fin du plein emploi 1.2.2. 2001 à 2007 : vers une pénurie de main d’ œuvre 1.2.3. 2009 : crise financière et récession majeure p6 2. Politiques budgétaire et économique 2.1. Politique budgétaire 2.1.1. Fin du miracle économique : 1990 2.1.2. Les nombreux plans de relance à l’efficacité réduite 2.1.3. La dette publique japonaise : une des plus élevées du monde p9 p9 2.2. Politique monétaire 2.2.1. Des taux faibles

marchande (services publics) et d'opérations marchandes (entreprises publiques). L'État redistributeur : il prélève des impôts et les transfère vers d'autres agents économiques. L'État interventionniste : il réglemente l'économie et mène des politiques budgétaires, monétaires, industrielles, fiscales. L'État providence : il agit sur la société civile dans la plupart des domaines d'activités socioculturelles, familiales, de santé, d'éducation, etc. 12 - Les critiques faites à la régulation par l'État En amont

(produits alimentaires), « semi-durables » (vêtements) ou « durables » (équipement ménager). Elle se distingue de la consommation intermédiaire des entreprises qui porte sur des biens et services qui sont intégrés et transformés dans le processus productif (électricité, acier...). 1.2 CONSOMMATION INDIVIDUELLE ET CONSOMMATION COLLECTIVE La consommation est individuelle quand le bien, une fois acheté, ne peut profiter qu’à son propriétaire (vous êtes seul à porter le jean que vous venez

243-278.qxp 21/11/2005 11:38 Page 243 POLITIQUE BUDGÉTAIRE ET TAUX D’INTÉRÊT Bruno Ducoudré * Doctorant au Département économie de la mondialisation de l’OFCE Depuis les années 1970, la montée des déficits et des stocks de dette publique a conduit les économistes à soulever la question de leurs effets sur les taux d’intérêt. La dette croissante et les déficits récurrents auraient engendré des pressions inflationnistes, ce qui aurait contraint les banques centrales à augmenter le

massivement. Afin de lutter, en outre, contre la crise économique, ils ont mis en œuvre des politiques budgétaires expansionnistes afin de soutenir la demande globale. Ainsi selon le Fonds monétaire international (FMI), les pays du G20 ont consacré 17,6% de leur PIB au soutien direct du système bancaire et seulement, toujours en moyenne, 0,6% du PIB EN 2008, 1,5% en 2009 et 1% en 2010 en mesures budgétaires discrétionnaires.  Ajoutons à cela, que les pays de la zone Euro ont consacré 1,6% de leur PIB, sur