Prix Sainte-Beuve

correspondront à vie. Parallèlement à l'écriture, Flaubert fait beaucoup de sport : il nage, chasse, fait de l'escrime et monte à cheval. En 1848, il porte un regard critique sur la Révolution. De mai 1848 à 1849, il continue de travailler sur La Tentation de Saint-Antoine. De 1849 à 1852, Flaubert organise, avec son ami Maxime du Camp, un périple en Orient. Il voyage alors en Egypte, à Jérusalem, en Italie, en Turquie... ces expériences sur la route vont enrichir sa création littéraire, ce que l'on retrouve

de style, une vision propre à lui. On pense par exemple à la longueur et la sinuosité des phrases de Proust ou encore au réalisme violent et poignant des descriptions de Céline. Proust évoque cette expression unique d’un écrivain dans son Contre Sainte-Beuve : «  Je distinguais bien vite sous les paroles l’air de la chanson, qui en chaque auteur est différent de ce qu’il est chez tous les autres et, tout en lisant, sans m’en rendre compte, je le chantonnais ». On retrouve également des éléments du

reflet de la réalité, le naturalisme s'intéresse particulièrement aux classes sociales défavorisées —paysans, ouvriers ou prostituées. Le terme est d'abord utilisé par la critique positiviste des phénomènes littéraires où excellent Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Cherchant à découvrir les lois qui régissent la littérature, Taine soutient que la race, le milieu naturel, social et politique et le moment au cours duquel est créée une œuvre littéraire définissent ses traits spécifiques et

Aventures de l’inspecteur Hector. Son troisième roman, Sur le seuil (Alire, 1998), a obtenu des critiques enthousiastes et a inspiré un long métrage réalisé par Éric Tessier, avec Michel Côté et Patrick Huard. Après Aliss (Alire, 2000), qui a obtenu le Prix Boréal 2001, il a signé un suspense psychologique, Les Sept Jours du talion (Alire, 2002). En 2001 et 2003, les éditions Alire ont réédité ses deux premiers romans, soit 5150 rue des Ormes et Le Passager. Son sixième roman, Oniria (Alire, 2004), est

de plusieurs autres œuvres. Ces œuvres lui on valut plusieurs prix dont le Grand Prix littéraire de la Montérégie (à deux reprises), le Prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse, d’être deux fois finaliste au Prix Saint-Pacôme et une nomination pour le Prix du Gouverneur général. Le roman Cadavres fut publié à Paris en 1998. Il fut adapté en film par Érick Canuel en 2009. Le livre n’a pour sa part reçu aucun prix, mais il fut, par contre, très apprécié. En effet, le livre fut

Aventures de l’inspecteur Hector. Son troisième roman, Sur le seuil (Alire, 1998), a obtenu des critiques enthousiastes et a inspiré un long métrage réalisé par Éric Tessier, avec Michel Côté et Patrick Huard. Après Aliss (Alire, 2000), qui a obtenu le Prix Boréal 2001, il a signé un suspense psychologique, Les Sept Jours du talion (Alire, 2002). En 2001 et 2003, les éditions Alire ont réédité ses deux premiers romans, soit 5150 rue des Ormes et Le Passager. Son sixième roman, Oniria (Alire, 2004), est

de XX ème siècle Marcel Proust rédige des textes, qui s’opposent à la méthode de Sainte-Beuve, développée pendant la deuxième moitié du XIX ème siècle. Par conséquent, cette dernière critique consiste sur une étude de l’individu, d’après la biographie de l’auteur, enrichie par les correspondances avec ses proches , qui permet, selon Sainte-Beuve, de juger rigoureusement une œuvre. En outre, l'antithèse amenée par Marcel Proust nie

Figaro une série de pastiches imitant le style de Balzac, Michelet, Flaubert, Sainte-Beuve et autres prosateurs du XIXe siècle. En même temps il se mit à travailler à un roman, tout en projetant d'écrire plusieurs essais de critique littéraire, artistique et sociologique. L'un de ces essais devait être consacré à Sainte-Beuve. Peu à peu tous ces projets se fondirent en un seul. Durant l'été 1909, l'essai "Contre Sainte-Beuve" est devenu un roman, que Proust ne cessa d'écrire qu'à sa mort. En mai 1913

alors qu'il n'a que quatorze ans, qu'il note : "Je veux être Chateaubriand ou rien". 1817L'Académie, à l'occasion d'un concours qu'elle organise, est a deux doigts de lui décerner le prix; mais le titre du poème de Victor Hugo, Trois lustres à peine, suggérant trop le très jeune âge du poète, effraye les jurés. Le prix lui échappe. 1819En 1819 il se fiance secrètement, malgré la jalousie de son frère Eugène et contre l'avis de sa mère, avec Adèle Foucher, une amie d'enfance. 1820 9 marsVictor Hugo

Cordier : « Je veux êtreChateaubriand ou rien. » En 1817, il envoya au concours annuel pour le prix de poésie décerné par l'Académie française trois cents vers sur le sujet : « Le bonheur que procure l'étude dans toutes les situations de la vie ». Il y faisait allusion à ses quinze ans avec une modestie orgueilleuse. Les juges du concours, se croyant mystifiés, lui donnent une simple mention, au lieu du prix qu'il méritait.   En 1818, Victor Hugo renonce à passer ses examens à l'École polytechnique