Prisonnier politique

1- Loi du 18 janvier 1994 : En 1993, le haut comité de santé public a publié un rapport très critique sur la santé en milieu carcéral. Celui- ci a donc mis en avant qu’il était indispensable que les personnes incarcérées puissent bénéficier dans leur ensemble d’un accès aux soins de qualité identique à celui qui est offert à la population générale. La loi du 18 janvier 1994 a mis l’accent sur trois priorités : - la médecine préventive (dépistage du VIH, de la tuberculose, de la syphilis, du tabagisme

Bout de paper : Les aménagements de peine consistent a réduire la peine afin de faciliter la réinsertion; lutter contre la récidive, maintenir ou restaurer les liens familiaux, sociaux et de travail. Seulement 6% des prisonniers en bénéficient car le gouvernement juge qu'un prisonnier bénéficiant d'un aménagement de peine est impuni. Il existe par exemple la liberté conditionnelle, le placement en semi-liberté, le travail d'intérêt général ou le bracelet électronique comportent des avantages mais

cellules à construire, de gardiens de la paix à payer, mais aussi moins d'impôts à payer pour une population qui en pâti et n’étant pas concernée par les agissements de ces délinquants. Quand on sait qu’un prisonnier coûte environ 60 000 euro par an à l’état, si on prend compte de tous les prisonniers d’un pays on comprend vite pourquoi il est en dette ! Pourquoi investir et entretenir des gens qui ne changeront sans doute jamais et à l’inverse mettre des taxes plus élevées et des impôts plus chers pour

Mais cette théorie est elle toujours d'actualité ? Il faut dire que malgré le fait que l'enseignement soit obligatoire depuis 1914 en Belgique et que la majorité de la population des prisons ai été a l'école. Il y a actuellement plus de 10.000 prisonniers pour 9000 places il est vrai que d'autres facteurs entrent en comptes mais le fait est qu'il n'y a toujours pas assé de places dans nos prisons. Tout d'abord il faut dire que l'école occupe la jeunesse : pendant que les 6-18 ans sont a l'école

action trop partielle, l’association décide de s’intéresser à l’insertion bien avant la sortie et met en place des dispositifs en ce sens. « Nous avons vu qu’en dépit d’une formation béton, si nous ne prenions pas en compte la situation globale du prisonnier, nous étions à côté de la plaque », explique Imanouel Pajand, coordinateur du suivi des détenus. La réinsertion professionnelle nécessite un travail sur l’ensemble de la problématique du détenu : situation administrative (il n’a souvent plus de

pratique. Enfin le premier président proposa de commuer la peine de mort en celle de prison perpétuelle ; et la mesure fut adoptée.     Mais on ne possédait pas de prison. Il fallut en installer une, et un geôlier fut nommé, qui prit livraison du prisonnier.     Pendant six mois tout alla bien. Le captif dormait tout le jour sur une paillasse dans son réduit, et le gardien en faisait autant sur une chaise devant la porte en regardant passer les voyageurs.     Mais le prince est économe, c'est là

aussitôt, puisque les événements immédiatement postérieurs sont marqués du futur : « Je prendrai l’autobus à deux heures et j’arriverai dans l’après-midi. » (p. 4) * Quand il veille le corps de sa mère, il semble que ce soit le Meursault prisonnier qui reconstitue les faits et ses sentiments d’alors : « J’avais même l’impression que cette morte, couchée au milieu d’eux, ne signifiait rien à leurs yeux. Mais je crois maintenant que c’était une impression fausse. » (p. 9) * Première partie :

Le C.E. : critère de la gravité de la mesure : un seul effet sur les conditions matérielles de détention du condamné = le placer dans une cellule à l’écart du quartier commun. Mais son régime de détention reste identique à celui des autres prisonniers […]. Cette mesure n’a donc nullement les effets privatifs de liberté d’une mise en cellule ». Ainsi le détenu, restant soumis au régime ordinaire de détention, le Conseil d’Etat exclut la mise à l’isolement forcée du domaine du revirement

dans des cellules de 9m² ou légèrement plus grandes, équipées de trois lits superposés maximum. Le quatrième détenu doit donc installer un matelas sur le sol pendant la nuit et le replier le lendemain pour pouvoir se déplacer dans la journée. Les prisonniers vivent donc à quatre toute la journée dans seulement 9m² car les cellules sont fermées (contrairement aux centres de détention) : ils ne sortent que lors de leur promenade quotidienne. Ce manque d’espace entraîne souvent des tensions entre les détenus

pour pouvoir mieux affronter la mort, avec plus de courage. Mais le prêtre se montre très détaché. Quand il va mourir il embrasse le crucifix que le prêtre lui tend. Violence contre les prisonniers : 1) Violence de la vie de la prison, surtout pour le condamné à mort qui est souvent isolé des autres prisonniers, même si on l’autorise à aller à la promenade avec les autres une fois par semaine et si on lui fournit de quoi écrire ses mémoires ; 2) Violence faite aux forçats qui doivent aller