Principe d'incertitude

Comptabilité I. Les principes comptables  Le PCG (plan comptable générale) : énonce et indique les principes généraux qui s’impose dans la tenu de la comptabilité ou plutôt de la finance en général 1. Principe de fidélité : La comptabilité doit reflétée une image fidèle de la situation opérationnelle d’une entreprise, elle doit être adéquate, loyal, clair précise et complète 2. Principe de la prudence : il importe de comptabilisé un gain que lorsqu’il est devenu certain, en revanche

-Droit public : -droit constitutionnel (règles relatives aux institutions de la république) -droit administratif (les services publics) -droit pénal (infractions, sanctions...) -droit fiscal (l'impôts) Le droit véhicule deux valeurs : les principes d'égalité et de liberté Les caractères de la règle de droit : elle est générale, obligatoire et contraignante. Les fonctions du droit : -il organise la vie en société -il est un instrument de politique

plus facilement etc. l’homme établit un confort au revers dangereux. L’homme se met lui-même en danger en oubliant la morale, il se détruit et détruit le monde. Ce danger est évoqué par Hans Jonas, qui dans son œuvre Le Principe de responsabilité dans laquelle il défini le « principe de précaution » son idée est que le pouvoir conféré à l’homme par la techno-science constitue un problème auquel doit répondre en l’homme, une nouvelle forme de responsabilité qui lui interdit d’entreprendre une action

Obéir est-ce une vertu? Condition : les ordres donnés sont légitimes. I)1)Obéir : contrôle sur soi, maitrise, discipline, et la valorisation de la discipline, et RENONCER au principe de plaisir infantile. C'est une valeur en soi. 2)Compréhension qu'aucune vie sociale et collective ne peut pas se passer de l'autorité. II)1)Ce n'est pas une vertu, car cela révèle de la lâcheté, on refuse de prendre des décisions, des responsabilités, et surtout refus de prendre des risques. Risquer des dommages

relativement limités, surtout quand on considère ceux dont elle disposait sous la Quatrième République. Tout d’abord ses pouvoirs sont limités de façon évidente ne serait-ce que par les directives européennes et autres normes communautaires qui selon le principe de subsidiarité sont évidemment prioritaires sur la législation française, ce qui est particulièrement vrai dans le cas des lois d’ordre économique. Mais tant au niveau institutionnel qu’au niveau de la pratique politique, on voit bien que le gouvernement

l’UE. On parle alors de compétences partagées. Il s’agit en réalité du cas le plus fréquent. L'Union européenne agit alors à la place des Etats si l'action commune est considérée comme plus efficace que celle des Etats agissant séparément (selon le principe de subsidiarité);     • Il existe enfin une dernière catégorie de compétences dites d’appui : dans ce cas, la compétence principale reste du ressort des Etats membres, mais l’UE peut appuyer leur action. C'est le cas en matière de recherche, ou

l’état français, caractérisé par l’unicité de pouvoir et matérialisé par une seule structure politique, législative et judiciaire. En effet l’indivisibilité de la France est un principe indéfectible depuis 1792. Or un événement est venu marqué l’histoire constitutionnelle française, le 28 mars 2003 s’est ajouté au coté de ce principe le caractère décentralisée de l’organisation française. Cette dernière marquée par la création de personnes morales nouvelles dotées d’autonomie, possédant des organes, des

cités par l'article. Ainsi il est désormais possible de supprimer une collectivité territoriale sur une partie du territoire. B_ L'ensemble des droits attribués aux collectivités territoriales al 2: principe de subsidiarité Une maxime politique et sociale: la responsabilité d'une action publique doit etre alloué à la plus petite entité capable de résoudre le problème. La recherche du niveau pertinent d'une action publique. La plupart des collectivités

particulier face au monde du travail qu’il traverse sans se plier à ses contraintes. L’artiste est celui, nous dit Freud, qui ne reconnaît pas qu’il doit se plier au principe de réalité comme nous le faisons tous, tous les jours, en négociant comme nous le pouvons avec le principe de plaisir. L’artiste est celui qui suit n principe de plaisir, et qui, contrairement à ce qu’il adviendrait pour nous, revient dans ce mouvement qui devrait l’en éloigner à une réalité qu’il niait. C'est-à-dire qu’il

au vidame, Mme de Clèves se met à l'école du mensonge avec M. de Nemours. La rédaction d'une fausse lettre, dans l'intimité, est le moment où le principe de plaisir se libère le plus - aux dépens des intérêts du vidame de Chartres (M. de Nemours «oubliait les intérêts de son ami»; Mme de Clèves «oubliait aussi les intérêts de son oncle». Le principe de réalité étant écarté, Mme de Clèves vit ce moment comme un «songe» (p. 235). Le réveil est douloureux : c'est le moment de l'examen de conscience