Prince-électeur

Lettres et de Mémoires ("Histoire d'Henriette d'Angleterre". publiée en 1720; "Mémoires de la cour de France pour les années 1688 et 1689". (publiés en 1731). Résumé de "la Princesse de Cleves" : Mademoiselle de Chartres a épousé sans amour le Prince de Cleves. Lorsque le beau Duc de Nemours revient a la cour de Henri II, la Princesse de Cleves éprouve pour lui un sentiment qu'elle n' a jamais ressenti; elle estime devoir en avertir son mari. Sur de faux soupçons, celui-ci meure de jalousie, non

épouser un homme de son rang, accomplir ces taches d’épouse et respecter son mari, néanmoins sa destinée était en partie complète (elle étais promise au prince de Clèves) quand elle rencontriez un homme, prénommé le duc de Nemours don elle tombe amoureuse du premier regard et les sentiments quelle éprouvais a son égard étais réciproque. Le prince de Clèves et la princesse de Clèves n’éprouver pas une attirance particulière l’un pour l’autre mais quand il lui demande sa main en mariage la princesse

Le texte que nous allons commenter est extrait de la princesse de clève par Mme de la Fayette en 1672. Dans les pages qui précède cet extrait l’héroïne a pris conscience qu'elle aimait le Duc de Nemours alors qu'elle venait d'épouser le prince de clève. En conséquence, elle, elle décide de fuir a Coulommiers. Le Duc de Nemours part chez sa sœur qui habite non loin du château des clèves, un soir il se perd dans la foret et arrive dans un pavillon. Le Duc de Nemours va assister à un entretien cacher

Le thème de la rencontre amoureuse est au cœur des textes de Stendhal, Flaubert et Madame de Lafayette. En effet, les héros sont tous confrontés aux effets d’un « coup de foudre », réciproque et simultané dans le cas de Mme de Clèves et M. de Nemours dans le roman écrit en 1678 par Mme de La Fayette, accidentel et peu propice dans L’Education sentimentale de Gustave Flaubert, publiée en 1869, et dans le roman de 1830 de Stendhal, le Rouge et le Noir. Le choc affectif ressenti par les personnages

irrationnelle de l'abandon, la série d'indépendantes "Vous avez déjà eu plusieurs passions, (...) le malheur de la jalousie." augmente l'intensité de ce sentiment. -Motivations présentées comme chimériques par Nemours et la narratrice: Le devoir dû au prince de Clèves semble extérieur à la princesse car il arrive en dernier lieu du raisonnement. Nemours déplore l'entêtement de la princesse, la décision purement arbitraire voire gratuite "mais cette vertu ne s'oppose plus à vos sentiments t j'espère que

Clèves et le Chevalier de Guise. Cependant, ces deux nobles rencontrent des difficultés de la part de leur famille pour fréquenter Mademoiselle de Chartres, et le Chevalier de Guise est vite mis hors de la course. Madame de Chartres vise un prince de sang plus noble pour sa fille, pensant au dauphin. Après la mort du duc de Nevers, père et principal obstacle de Monsieur de Clèves (oui c'est bizarre leurs noms sont pas les memes alors qu'ils sont père et fils) celui-ci s’étant follement épris

L'action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II durant les dernières années de son règne. Mlle de Chartres est une jeune orpheline de seize ans qui est élevée par sa mère. Celle-ci se rend pour la première fois à la cours du roi et le prince de Clèves, honnête homme, en tombe amoureux d'elle dès qu'il l'a voit. Il l'a demande donc en mariage. Celle-ci accepte sans pour autant connaître ce qu'est l'amour Mme de Clèves rencontre, à la cour, le duc de Nemours. Ils vont tomber amoureux

Le regard joue un rôle extrêmement important tout au long de l’histoire puisqu’il apparaît autant comme un mode de communication entre les personnages, que comme un des moteurs principaux de l’histoire. L’histoire de la Princesse de Clèves est avant tout la narration d’échanges de regards interdits, qu’un des deux protagonistes cherche à fuir en vain. Mme de La Fayette nous permet ainsi d’assister à la progression de l’histoire, par une espèce d’addition de regards qui se cherchent, se fuient,

disaient les poètes du quartier. Les femmes qui m'habillaient et qui me déshabillaient tombaient en extase en me regardant par-devant et par-derrière, et tous les hommes auraient voulu être à leur place. « Je fus fiancée à un prince souverain de Massa-Carrara. Quel prince ! aussi beau que moi, pétri de douceur et d'agréments, brillant d'esprit et brûlant d'amour. Je l'aimais comme on aime pour la première fois, avec idolâtrie, avec emportement. Les noces furent préparées. C'était une pompe, une

Le vocabulaire désigne des obstacles, les adjectifs soulignent la difficulté renforcée par des adverbes. La mise en valeur du courage, de l’habilité de Mr de Nemours souligné par ce adverbe « néanmoins » . Cette opposition est mise en valeur par l'opposition entre l'imparfait et le passé simple qui représente sa progression rapide. Assonance en « on » et « i » cela met en valeur l'idée de discrétion faufilée. Les petites propositions sont juxtaposées. Champ lexical de la vue souligne la description