Préfixe binaire

proximité de la date de sa mort : c’est un sonnet autobiographique dans lequel le poète décrit sa propre agonie. Mais l’ouverture du sonnet sur l'hémistiche "je n'ai plus que les os" marque une profonde déperdition de soi. Et la reprise insistante du préfixe dé (jeu sur les sonorités) qui montre la privation, ainsi que l'obsession du poète sur cette impression. Multiplication des formes négatives ou restrictives. Gradation dans la description (vers2). « Mon corps «  et non je : sorte de dédoublement Pas

- Cette déshumanisation est accompagnée par le champ lexical de la souffrance comme pour mieux en révéler le paroxysme : une souffrance inhumaine « dévorée et pourrie » (7 et 8) « débués et lavés » (21).- Insistance produite par le rythme binaire et le préfixe privatif de indiquant la décomposition.- Evocation récurrente de la mort « fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ».=> L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité- La forme du poème


- Cette déshumanisation est accompagnée par le champ lexical de la souffrance comme pour mieux en révéler le paroxysme : une souffrance inhumaine « dévorée et pourrie » (7 et 8) « débués et lavés » (21).
- Insistance produite par le rythme binaire et le préfixe privatif de indiquant la décomposition.
- Evocation récurrente de la mort « fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ».

=> L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité

- La forme du

 « mépris »antiphrase. Tonalité polémique : « polémos » en grec (guerre)cherche à susciter la colère et l’indignation chez le lecteur=réaction.L.9/10 « un mépris plus marqué, un dédain plus signalé » :2 structures averbales (=sans verbes) construites sur un rythme binaire. Deux comparatifs de supériorité « plus ». Ces phrases averbales suggèrent que la femme est privée d’action car le verbe perme de décrire une action(pas de verbe=pas d’action)L.10/11 « siècle de corruption » fait référence à l’Ancien Régimemétaphore

prononcer le nom d'Hippolyte : - emploi de phrases incomplètes : "j'aime... j'aime..." (v.261-262), absence de COD ; - emploi de phrases heurtées : "A ce nom fatal, je tremble, je frissonne" (v.261) : phrases courtes, juxtaposées par une virgule (rythme binaire) ; --> Forte émotivité de l'héroïne qui semble perdre son souffle en fournissant un effort immense, à la fois pour cacher encore ce nom odieux et adoré et parce qu'elle sait qu'elle ne peut plus échapper à l'aveu que lui extorque Oenone. Parallélisme

Cette déshumanisation est accompagnée par le champ lexical de la souffrance comme pour mieux en révéler le paroxysme : une souffrance inhumaine « dévorée et pourrie » (7 et 8) « débués et lavés » (21). - Insistance produite par le rythme binaire et le préfixe privatif de indiquant la décomposition. - Evocation récurrente de la mort « fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ». => L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme

(Cantineau 1950) de formation du mot (nom/verbe) sur la base de l'association d'une racine (exclusivement consonantique) et d'un schème (verbal ou nominal), défini par une séquence vocalique discontinue (amalgamée à la racine) et d'éventuels morphèmes préfixés et/ou suffixés, s'applique tel quel au berbère. De plus, les morphèmes schématiques affixes du berbère appartiennent aux mêmes classes phonologiques qu'en sémitique : nasales et dentales. Ces associations "racine + schème" constituent un inventaire

Université Paris Sud 3.2 Automates non déterministes 5 q0 q1 q2 0, 1 0 1 F IG . 3.1 – Automate déterministe reconnaissant les entiers naturels en numération binaire. q0 q1 q2 ⊥ 0, 1 0 1 F IG . 3.2 – Automate déterministe complet reconnaissant les entiers naturels en numération binaire. On notera par AF le quintuplet (Vt , Q, i, F, T ), ou plus simplement A si i et F sont donnés sans i ambiguité dans le contexte. Un mot w est reconnu par l’automate AF s’il

vecteur d’entrée, son évolution est incontrôlable de l’extérieur. Il est synchrone si son évolution est contrôlable de l’extérieur par un signal d’horloge. Les bascules sont les circuits séquentiels élémentaires permettant de mémoriser une information binaire (bit) sur leur sortie. Elles constituent le point mémoire élémentaire. Elles peuvent être synchrones ou asynchrones mais toutes ont au minimum trois modes de fonctionnement (et par conséquent au moins 2 commandes): 1 Circuits séquentiels élémentaires

Cette déshumanisation est accompagnée par le champ lexical de la souffrance comme pour mieux en révéler le paroxysme : une souffrance inhumaine « dévorée et pourrie » (7 et 8) « débués et lavés » (21). - Insistance produite par le rythme binaire et le préfixe privatif de indiquant la décomposition. - Evocation récurrente de la mort « fumes occis » (12), « sommes transis » (15), « sommes morts ». => L'évocation des suppliciés est pathétique, et pourtant, esthétique. 3- Musicalité - La forme