Preface Mélancolie

œuvre intitulé « L’érotisme de Baudelaire ». Charles Baudelaire est né à Paris le 9 avril 1821. En 1827, alors qu’il n’est âgé seulement de 6 ans, il perd son père. A son adolescence il est décrit comme rêveur et atteint déjà de « lourdes mélancolies ». Baudelaire admire les romantiques et va même jusqu’à se déclarer disciple de Théophile Gautier. En parallèle avec son travail d’écrivain il est tout à tour journaliste, critique d’art et de littérature puis traducteur d’Edgar Allan Poe, un auteur

lui-même, la nature tout entière enfin, de préserver à jamais les instants de bonheur qu'ils sont en train de partager. Résumé Le Lac. Mme Charles (Elvire) est malade à Paris. Le poète se promène seul sur le lac du Bourget, se souvient avec mélancolie d'une autre promenade qu'il a accomplie l'année précédente avec son amie et demande au lac de conserver dans son éternité la trace éphémère de leur extase. L'isolement. Elvire est morte depuis huit mois. le poète, retiré à Milly, se déclare désormais

en relief par une césure anticipée. Nous voyons également l’abandon des biens, acquérits au cours de sa vie et les sources de beauté voire de richesse luxueuse traduit par un champs lexical vers 1 et 2. Sa résignation est en effet empreinte de mélancolie : une énumération et le mot « et » traduisent la difficulté et un soupir mélancolique : « Il faut laisser …et…et…et… » Il ne faut pourtant pas conclure que Ronsard est désespéré, il est habité par un espoir bien réel. II : La foi en la vie éternelle

par la méfiance dans la posture décrite par Baudelaire : « courbé sur sa rapière ». La dimension romantique est parachevé par une ambiance morbide se raccrochant au passé de Don Juan conféré par les nombreuses victimes de Don Juan exprimant la mélancolie et la débâcle de l'extase et des tourments en un lot de péchés L'extase ou les péchés de chair de Don Juan sont incarnés par les femmes animalisées, excepté Don Elvire, qui «leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, […] se tordaient sous le

décrit comme étant sombre et noire. Ces "brillants soleils" qui symbolisent l’espérance et l’inspiration sont vite éclipsés par l’éternelle mélancolie du poète. L'espace du jardin est aussi l'image de l'inspiration du poète qui va être ravagé par le tonnerre et la pluie. Ce premier quatrain, ainsi que tout le reste du poème, exprime la plainte et la mélancolie qui sont des thèmes propres au romantique. C’est bien le cas ici de dire que la tonalité du poème s’annonce déjà comme étant lyrique car

Edgar Allan Poe, dont il a traduit plusieurs œuvres] Ce mot est ‘intraduisible’. Il s’agit d’un mot idiomatique, donc polysémique, définissable par des périphrases : Ennui Bile noire Malaise profond Lassitude Vertige Dépression Mal inconnu Mélancolie Spleen Il s’agit d’un mot mystérieux, à l’image du mal qu’il tente de décrire. I. L’originalité de la composition du poème Ce texte ne suit pas de forme fixe Il est constitué - d’un alexandrin isolé (expression du fardeau de la mémoire)

le soleil. Mon désir d’être heureux ne compte pas plus que mon désir de promenade ; je ne fais pas la pluie sur cette vallée ; je ne fais pas la mélancolie en moi ; je la subis, et je sais que je la subis ; belle consolation ! ». Alain rétorque pourtant que tout cela n’est pas si simple. Mais au fond, peu importe la méthode. En considérant la mélancolie comme un état corporel, on « […] repousse la tristesse dans le corps, où elle n’est plus que fatigue ou maladie, sans aucun ornement […] ». On évite

(exprime ses idées via des symboles plutôt que déclarations). Il est proche de Rimbaud ou Baudelaire « poètes maudits » - Recueil : 1869. Référence direct à Watteau peinture représentant des fêtes galantes dans un cadre bucolique mais teinté de mélancolie + référence au monde théâtrale (masque) - « Clair de Lune » court poème classique où ressort le don de Verlaine pour la musicalité du texte. I – Une fête galante et théâtrale en référence directe à Watteau - Poème adressée à une femme (« vous »

douleur Introduction : René Guy Cadou est un poète français du XX ème siècle, ayant appartenu au mouvement poétique de l'école de Rochefort, qui s'opposait à la poésie nationale. Suite à la mort de sa mère en 1932, il tombe dans une profonde mélancolie qui lui suscitera l'envie de composer. De plus, son intérêt quant à la poésie est de plus provoqué lorsque son père lui montre les poèmes qu'il a écrit dans sa jeunesse. C'est en 1940 que son père décède, accablé d'une maladie. C'est afin de lui

: funeste (Q1) et bénéfique (T1 et T2) et dans le dernier vers. En tout cas ce deuil donne sa tonalité désespérée au poème : d’abord au premier quatrain (v3 et v4, le contre rejet exprimant un état indéfiniment long, l’oxymore et la force de la mélancolie suggérant l’intensité de la détresse ) dans la continuité même de la perte de l’être aimé ; puis au V5 et 12 qui font plutôt allusion aux deux crises de folie qui ont frappé Gérard en 1841 et 1851. II Que faire quand tout est désespéré ? Deux