Preface L Albatros

 PRÉFACE La poésie est un moyen de s'évader de ce monde comme la musique car ces deux thèmes se rapproches. Les poèmes nous transportent dans un rêve, un nouveau univers. A travers la poésie le poète est lui même un rêveur et à nous transmettre une vision exacte du monde et des images qui s'y trouvent ce qui nous permet de se faire une vision personnel sur ce monde car l'éducation et la corruption, les mensonges de tout les jours nous permettent pas de voir la réalité tel quel

conformes aux bonnes mœurs de la société bourgeoise. C’est la déception pour le poète qui se voit rejeter par une très grande partie de la société (très peu de livres vendus), une incompréhension qui l’inspire à l’image de l’albatros . (explication : albatros=auteur). .  Vers 1850, Baudelaire tombe malade. En 1857 pour soulager ses violents maux de tête qu‘il appelle « rhumatisme à la tête», il utilise l’opium qui ne le quittera plus à partir de 1860. La vie de débauche de Baudelaire ne pouvait

Anthologie poétique Préface A travers les siècles, la poésie s'est développée, a pris de nombreuses formes pour se renouveler et nous surprendre un peu plus à chaque étape de son évolution. Pour de nombreux poètes de l'histoire du monde, la poésie est quelque chose que tout être porte en soi : 1 « Un poète est un monde enfermé dans un homme. » V. Hugo. A mes yeux, la poésie c'est avant tout une création et une représentation de l'homme par l'homme, avec ses qualités et ses défauts

différentes. La comparaison. Deux éléments, comparé et comparant, sont mis en relation par un outil explicite. Celui-ci peut être une préposition (comme), une conjonction (de même que, ainsi que…), un verbe (ressembler…), un adjectif (semblable…) : les albatros « laissent piteusement leurs grandes ailes blanches/ Comme des avirons traîner à côté d’eux » (Baudelaire). La métaphore. C’est une comparaison sans outil explicite. On parle de métaphore filée quand elle se prolonge sur plusieurs vers ou phrases :

 Texte 1 : Victor Hugo, "Préface" des Orientales, 1829 L'auteur de ce recueil n'est pas de ceux qui reconnaissent à la critique le droit de questionner le poëte sur sa fantaisie, et de lui demander pourquoi il a choisi tel sujet, broyé telle couleur, cueilli à tel arbre, puisé à telle source. L'ouvrage est-il bon ou est-il mauvais? Voilà tout le domaine de la critique. Du reste, ni louanges ni reproches pour les couleurs employées, mais seulement pour la façon dont elles sont employées. A voir les

mon siècle plutôt qu’à moi-même. […] en écrivant ‘je’… j’ai l’intention de porter le témoignage sur mon époque […] D’autre part […] mon ‘je’ recouvre les problèmes de la condition humaine en général » (Beauvoir, 1979b : 450). Plus tard, dans la préface de Quand prime le spirituel (1979) Beauvoir avoue : « J’étais en révolte contre le spiritualisme qui m’avait longtemps opprimée et je voulais exprimer ce dégoût à travers l’histoire de jeunes femmes que je connaissais et qui en avaient été les

S’il y a quelque gloire à n’être pas compris, ou à ne l’être que très peu, je peux dire sans vanterie que, par ce petit livre, je l’ai acquise et méritée d’un seul coup » (projet de préface pour Les Fleurs du Mal par Charles Baudelaire, Baudelaire: p. 236 ). Ci-dessus les premières phrases d’un des projets de préface pour Les fleurs du mal, dédié « au poëte impeccable[…]maître et ami Théophile Gautier ». Charles Baudelaire naquit en 1821, la même année que Gustave Flaubert, et sa vie d’écrivain était

S’il y a quelque gloire à n’être pas compris, ou à ne l’être que très peu, je peux dire sans vanterie que, par ce petit livre, je l’ai acquise et méritée d’un seul coup » (projet de préface pour Les Fleurs du Mal par Charles Baudelaire, Baudelaire: p. 236 ). Ci-dessus les premières phrases d’un des projets de préface pour Les fleurs du mal, dédié « au poëte impeccable[…]maître et ami Théophile Gautier ». Charles Baudelaire naquit en 1821, la même année que Gustave Flaubert, et sa vie d’écrivain

incarné dans le vers »Selon Hugo, il existe un symbolisme universel : « Entends sous chaque objet sourdre la parabole, // Sous l’être universel vois l’éternel symbole » (Les Rayons et les Ombres) ; ou « rien n’est solitaire, tout est solidaire » (préface des Misérables) = Document 1-1: « Vers dorés » de Nerval: le poète est un initié dont la parole est oraculaire; il révèle au lecteur, « libre penseur » qui ignore le sacré, qu’ « A la matière même un verbe est attaché », et il le lui litBaudelaire

PRÉFACE DE FRANKENSTEIN PAR MARY SHELLEY : Le fait sur lequel est fondé ce récit imaginaire a été considéré par le Dr Darwin et par quelques auteurs physiologistes allemands comme n’appartenant nullement au domaine de l’impossible. Je ne voudrai pas que l’on me suspecte le moins du monde d’accorder à une telle hypothèse une adhésion sans restrictions ; néanmoins en échafaudant ma narration sur ce point de départ, je considère ne pas avoir créé un enchaînement de faits terrifiants relevant foncièrement