Preface D Aragon

Discographie (livre audio) [modifier] * Lecture du Prince par Michel Galabru ------------------------------------------------- Correspondance de Machiavel [modifier] * Toutes les lettres de Machiavel. Présentation et notes par Edmond Barincou, Préface de Jean Giono. Deux tomes. Paris, Gallimard, coll. Mémoires du passé pour servir au temps présent, 1955. ------------------------------------------------- Études sur Machiavel [modifier] * Bergès Michel, Machiavel, un penseur masqué?, Editions

comme l’affirme la préface des Rythmes Pittoresques. Si Victor Hugo a tordu le cou à ce grand niais d’Alexandrin, Marie Krysinska quant à elle tord le cou à ce grand niais de vers traditionnel. Si elle fut évincée des anthologies littéraires et qu’elle demeure inconnue, elle peut être l’image phare de cette transition de l’entre deux siècles, marquant également une transition entre deux poésies, celle du vers romantico classique à la poésie moderne. Apollinaire, Michaux, Aragon, Char, Bonnefoy et

ce courant insaisissable bien que le dernier refuse catégoriquement le titre de maître du réalisme. Une certaine ambigüité est aussi à noter dans l'expression « roman réaliste », car comment peut-on concilier la réalité et la fiction? Selon Louis Aragon, le romancier réaliste est celui qui « réussit » ses mensonges, qui passe par la fiction pour dévoiler le monde réel. Le roman réaliste a notamment une vertu pédagogique : le narrateur utilise la troisième personne, il adopte le point de vue omniscient

fréquentation des avant-gardistes (les peintres du Futurisme, Picasso, André Derain, Vlaminck, l’écrivain Max Jacob, Alfred Jarry). - Il impose la nouvelle école cubiste et connaît la consécration aux yeux des écrivains de la nouvelle génération : Breton, Aragon, Soupault, Reverdy… - Guillaume Apollinaire apparaît au confluent de deux siècles dans l’effervescence des recherches nouvelles sur le langage et l’espace du poème. - Les poèmes d’Alcools écrits entre 1898 et 1913, dont certains sont le fruit

................................................................................................. 46 2. Reconnaissance par les pairs et légitimation....................................................................................... 53 A. Des préfaces…........................................................................................................................................ 54 B. … Aux manifestes .....................................................................................

l'auteur. II. non A. Faire vrai consiste à donner l'illusion complète du vrai. « J'en conclus que les réalistes de talent devraient s'appeler plutôt des illusionnistes » Maupassant Préface de Pierre et Jean. Il faut inventer, créer, c'est-à-dire mentir. « L'art du roman est de savoir mentir ». Aragon, J'abats mon jeu. Exemple : les romans champêtres de George Sand (La petite Fadette), au-delà de la description réaliste du Berry, propose une vision idéaliste de la campagne et de l'amour.

Préface au lecteur La poésie représente, pour la plupart des gens, une partie de la littérature qui est (d’avantage que les autres) hermétique est incompréhensible. Cette vision simpliste des choses m’a toujours choqué, en quelque sorte, car on m’a toujours appris l’amour des mots et de leur sonorité. La poésie, bien qu’elle soit un art à part entière, prend ses racines dans la chanson, et, tel deux arbres qui grandiraient cote à cote, et dont les branches s’entremêlent, ils puisent chacun dans

le début des Temps Modernes. La "passion de connaître" [...] s'est alors emparée de lui pour qu'il scrute la vie concrète de l'homme et la protège contre l' "oubli de l'être" » [(Kundera(19) p.20] 3) Le roman est-il un genre? Après la préface de Pierre et Jean (1887), on peut en douter. MAUPASSANT y dénonce entre autre l'arbitraire d'un regroupement de textes très dissemblables sous l'appellation « roman » (Flaubert et Cervantès par exemple). Autant il paraît indiscutable de présenter

végètent au stade buco-anal et au stade sadique anal. En tout état de cause, la femme surréaliste est une icône qui détermine le destin du poète. Il faut se souvenir de ce que Baudelaire a dit de la femme. On peut faire confiance à Breton comme à Aragon, à Éluard aussi, à Desnos même, de s’en être souvenu : À des esprits niais il paraîtra singulier, et même impertinent, qu’un tableau des voluptés artificielles soit dédié à une femme, source la plus ordinaire des voluptés les plus naturelles. Toutefois

violents de Benjamin Perret à l’encontre de ses anciens amis surréalistes, convertis à la Résistance : « pas un de ces poèmes ne dépasse le niveau lyrique de la publicité pharmaceutique […] les poètes sont devenus des agents de publicité ». Eluard et Aragon rompent en effet avec l’idée surréaliste de la libération de la langue du cliché, de la raison… Ils écrivent dans une langue simple, en usant du vers régulier et souvent de la répétition. Se pose justement la question de la simplicité des moyens.