Preface D Aragon

thèmes de l'amour, de la joie, mais aussi de la mort et du deuil et exprime sa foi. Aussi, dans ce poème, le Carpe Diem est évoqué, le poète s'adresse au lecteur et lui demande d'être heureux, de profiter de la vie. Vers à danser Louis Aragon Que ce soit dimanche ou lundi Soir ou matin minuit midi Dans l'enfer ou le paradis Les amours aux amours ressemblent C'était hier que je t'ai dit Nous dormirons ensemble C'était hier et c'est demain Je n'ai plus que toi de chemin J'ai mis mon coeur

Pour Desnos, le combat pour la liberté mérite de faire taire l'idéologie pacifiste. J'ai choisi ce poème car il rempli un rôle de propagande, en lançant un appel collectif «Révolte contre Hitler et mort à ses partisans ! ». Table des matières Préface.......................................................2 Citations...................................................................... 7 je ne suis point ma guerrière Cassandre.................... 8 Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle

d’impuissance à imposer des valeurs authentiques dans une société dominée par l’argent. » Mouvement gagné par le « mal du siècle » → désillusion face au monde. Les grandes figures du romantisme Hugo, Victor (1802-1885) : Hernani, Notre-Dame de Paris, Préface de Cromwell, etc. Chateaubriand, François-René (1768-1848) : Mémoires d’Outre-tombe, Atala. Vigny, Alfred (1797-1863) : Les Destinées, Chatterton. Musset, Alfred (1810-1847) : On ne badine pas avec l’amour, Lorenzaccio, etc. Lamartine, Alphonse

le poète le canal d’expression privilégiée de sa sensibilité et de sa subjectivité que symbolise le Pélican (Nuit de mai) d’Alfred de Musset. Mais cette poésie va au-delà de la confidence pour exprimer l’humaine condition et Hugo proclame dans la Préface des Contemplations : « Quand je parle de moi, je vous parle de vous ! ». Ce « chant de l’âme », domaine privilégié du « je », auquel adhère cependant le destinataire, s’oppose donc à la poésie descriptive et objective voire rhétorique des Parnassiens

les religions orientales. Les parnassiens, en réaction aux attentes politiques et sociales des romantiques, ont eu pour but de sortir l’art de tout ce qui concernait leur monde contemporain et ses problèmes. Comme le dit Théophile Gautier dans la préface de Mademoiselle de Maupin «  Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien, tout ce qui est utile est laid. ». Pour les parnassiens, l’art est utile parce qu’il est art ; rien n’importe si ce n’est l’art. En 1939, Paul Eluard, a écrit

de la vie, se laisser aller à sa plume. Ces poèmes d'amour, de chagrin ou de bonheur sont rarement destinés à d'autres qu'à soi-même. II. La poésie est la meilleure expression du moi 1. « les impressions, les souvenirs, les fantômes » Dans sa préface, Hugo définit ces Contemplations comme « les Mémoires d'une âme ». Il y voit à la fois une chronologie, « de l'énigme du berceau […] aboutissant à l'énigme du cercueil », et un effort pour rappeler tout ce que l'on ne peut exprimer de façon rationnelle

dans les poèmes? Devons-nous l'identifier parfaitement au poète et le traiter comme un sujet autobiographique? C'est un peu ce à quoi semble nous inviter un recueil comme Les Contemplations (1856) de Victor Hugo – recueil qui est présenté dans la préface comme les mémoires d'une âme. Devons-nous au contraire traiter le je lyrique comme une fiction, ainsi que nous y inclinent des poèmes comme La Jeune Parque (1917) de Paul Valéry, où le je qui parle est clairement un personnage fictif? Faut-il chercher

le poète le canal d’expression privilégiée de sa sensibilité et de sa subjectivité que symbolise le Pélican (Nuit de mai) d’Alfred de Musset. Mais cette poésie va au-delà de la confidence pour exprimer l’humaine condition et Hugo proclame dans la Préface des Contemplations : « Quand je parle de moi, je vous parle de vous ! ». Ce « chant de l’âme », domaine privilégié du « je », auquel adhère cependant le destinataire, s’oppose donc à la poésie descriptive et objective voire rhétorique des Parnassiens ou

naturalistes du roman. Séance 3 : le projet de Zola Dominante : lecture, culture littéraire Support : préface de la seconde édition Objectif : rencontrer un texte théorique écrit par le romancier sur son œuvre après la première réception de celle-ci (l’œuvre et sa réception, le naturalisme), repérer les points importants et justifier son choix Démarche : Après lecture de la préface à la deuxième édition, les élèves doivent choisir les trois phrases qui leur paraissent les plus significatives

scientifique apparaît alors comme une illusion. Ainsi pour Maupassant « faire vrai consister à donner l’illusion complète du vrai suivant la logique ordinaire des faits, et non les transcrire servilement dans le pêle-mêle de leur succession. » Louis Aragon affirme « L'art du roman est de savoir mentir ». Le but du réalisme n’est pas de fournir un reflet exact de la réalité mais de transmettre une vérité. Le miroir qu’évoque Stendhal n’est plus perçu comme un objet reproduisant une image à l’identique