Preface Capitale De La Douleur

pouvait trouver (1) l\'. 1, o'.O. . so.N ii:.M.\NCii'Aïio> i.NiEi.i.liCiUliLLt. ClSOy-1879 59 — le aucun plaisir aux choses qui enthousiasmaient ses com|i;itriotes et qu'inversement des entreprises qui lui paraissaient capitales pour le progrès de la culture européenne par exemple le projet grandiose de Richard Wagner de créer à Bayreuth un théâtre modèle — n'éveillaient pas moindre intérêt chez eux. Aussi, lorsque au printemps de iSl?), il crut, avec Wagner

discrimination. A côté de cette instrumentalisation idéologique, qui fonde la méconnaissance de l'Autre, il existe par exemple une instrumentalisation esthétique, dont l'Orient des Orientales (1829) de Hugo offre l'exemple, commenté par Hugo lui-même dans sa Préface (où il parle de lui à la troisième personne) : " Si donc aujourd'hui quelqu'un lui demande à quoi bon ces Orientales ? qui a pu lui inspirer de s'aller promener en Orient pendant tout un volume? (..) A quoi rime l'Orient? Il répondra qu'il n'en sait

consacré à la mercerie de Thérèse Raquin et aux articles qui la composent (« laine », « boutons », « résilles »…, p. 20). Le chapitre 3, consacré notamment à la promenade de Camille dans Paris, est l’occasion d’énumérer des lieux importants de la capitale : « Notre-Dame », « le Port aux Vins » (p. 35), l’« Institut au Jardin des Plantes » (p. 34). Ce lieu est symbolique car il est celui des grands naturalistes, comme « Buffon » (p. 35), et place donc d’emblée le roman dans la perspective d’une analyse

« Redécouverte », 2001. Cette édition électronique a été réalisée par Émilie Tremblay, bénévole, doctorante en sociologie à l’Université de Montréal Courriel : emiliet82@yahoo.fr à partir de : Frantz FANON LES DAMNÉS DE LA TERRE. Préface de Jean-Paul Sartre (1961); Préface d'Alice Cherki et postface de Mohammed Harbi (2002). Paris: Éditions La Découverte/Poche, 2002, 313 pp. Paris: François Maspero, 1961, 1968. Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Comic Sans, 12 points. Pour les citations :

Un extrait de Mes déserts de Buzzati, applicable aux deux hommes (journalistes et écrivains), illustre parfaitement leurs positions morales: "Les seules choses qui comptent vraiment et qui sont les vrais tracas, ce sont les douleurs physiques et les douleurs morales. La douleur est, dans le monde, le véritable mensonge, la véritable honte."90 · S'il ne fait pas de doute qu'il n'y eut pas d'influences réciproques entre ces deux auteurs, force est de constater qu'en étudiant Un cas intéressant nous

intégralement réaliste, une description en littérature se condamnerait-elle à être sans fin. Il n’est jusqu’à Maupassant – que la tradition romanesque rattache pourtant au mouvement naturaliste – qui ne dénonce, lui aussi, cette illusion totalitaire dans la Préface de Pierre et Jean : « Raconter tout serait impossible car il faudrait alors un volume au moins par journée pou énumérer les multitudes d’incidents insignifiants qui emplissent notre existence. Un choix s’impose donc, ce qui est une première atteinte

janvier/février 1715 : explication longue : au tome VI Renoncour a évoqué la Régence mais c’est au tome III, qu’il gagne l'Espagne en compagnie de Rosemont et c'est à Madrid que Renoncour apprend la mort du roi donc voyage en juillet 1715 et son séjour dans la capitale ibérique entre août et septembre 1715. • L’époque se sent aussi à l'atmosphère de fin de règne : les 4 ans précédant le départ pour l'Amérique et la scène de Pacy sont antérieurs au début de l'année 1715, à la mort de Louis XIV et donc à la

italiques dans la dédicace]. Cette Maria serait «Marie ou Maria du Fresnay, née Daminois», selon le rédacteur de Sacy; femme mariée avec qui Balzac avait une liaison en 1833 et dont il aurait peut-être eu une fille en 1834 [p. 253 et p. 271-272]. La préface de 1833 a été supprimée en 1843 : la province, où «tout passe», y était opposée à Paris, où «tout arrive», comme la campagne à la ville, mais aussi la longueur du copiste à la vivacité du conteur : s'impose «l'histoire vulgaire, le récit pur et simple

la fin du poème. Cette surprise vient de la soudaine apostrophe au Ciel puis de l’antithèse entre les deux formules parallèles « une si belle chose » et « un si cruel mal » : l’émerveillement devant tant de beauté se transforme soudain en 112 douleur insupportable. La surprise n’est pas cependant fondée sur une idée nouvelle arbitrairement ou subrepticement introduite. L’invocation au ciel a été préparée par la comparaison avec le dévot (strophe 2), par l’évocation des divinités du sommeil (strophe

interne, une force de régulation organique autonome. » (Bois Danis, 2006, p 18). La SPP s’adresse au corps sensible qui se caractérise par le fait que la personne est présente aux effets produits par sa relation au corps. Pierre Vermersch dans la préface du livre du fondateur de la SPP cite : « Avec l’approche de Danis Bois, d’une manière totalement inédite, on découvre une (psycho) thérapie qui ne s’enracine pas dans la psyché mais dans le sensible de la chair, dans l’écoute, le toucher, la mise