Poésie De La Laideur

moi » s’exprime librement, l’Alexandrin perd son hégémonie en tant que vers, la littérature se libéralise et sort de sont entrain classique qui empêchaient les genres de se mélanger, la beauté n’est plus mot d’ordre et s’accompagne désormais de la laideur qui sont maintenant complémentaires. Comme au XVIIème siècle, une sorte de querelle entre Modernes et Anciens apparait qui connait son paroxysme avec la « bataille d’Hernani ». Et encore une nouvelle fois les progressistes gagnent et sortent victorieux

censuré à sa sortie, car trop choquant pour la morale bourgeoise, avant de passer à la postérité. Cette œuvre est considérée comme une nouvelle poésie qui fit scandale et donna lieu à un procès suit auquel six poèmes furent « condamnés » à être retirés. Baudelaire y met en lumière la dualité entre la violence et la volupté, le bien et le mal, la laideur et la beauté, l’enfer et le ciel. Il entre au lycée Louis le Grand à Paris. Baudelaire se fait remarquer par son caractère rebelle. Il commence

Analyse linéaire I) v1 → v8 : Paris, ville d’inspiration du poète * Tout d’abord, on trouve un contraste entre le titre et le premier vers : - « Le Soleil » → paysage lumineux et agréable, renvoie à l’aspect or de l’alchimie poétique- « vieux faubourg ; masures » → impression d’une ville sale et sombre, renvoie à la misère et à l’aspect boue de l’alchimie * v1 → l’ utilisation du verbe « pendre »

Inspiration : Le mal ou la laideur F du M dédicacées à T.Gauthier -> Parnasse Lexique Paris esthétique classique Le Romantisme - Le Symbolisme : poésie faite de Le Moi : Poète maudit incompris de la société

naissant, et l'effondrement des valeurs du poète. ..1. L'apocalypse Cet apocalpse se structure en 2 temps : - le temps sonore : le poète recherche ici la cacophonie par de très divers sons désaccordés. Le hiatus entre autres est synonyme de laideur, avec " affreux hurlement ". On remarquera aussi une diérès à " opiniâtrement ", sur le " a ", que Rimbaud voit noir. Les assonances en " i " imitent le bruit strident des cloches. Les allitérations en " k, l, s, r " à la 4ème strophe sont imitatives

taciturne” Portrait terrifiant d’une femme donc pas du tout une muse Le narrateur est en quelque sorte le miroir à travers lequel on voit la muse Un poème plutôt spleen et idéal puisque le début est un portrait terrifiant et donc du mal et de la laideur mais la fin les apercevoir l’idéal que l’auteur souhaite La muse vénale “Un tison pour chauffer tes deux pieds violets” Description d’une muse, une femme ayant froid qui est près du feu “ réanimera-tu donc que tes épaules marbrées” Rapport avec

petits cailloux blancs du conte, qui lui ouvrent la voie du salut (vers 6-7). C'est avant tout dans la Poésie, par la poésie, que Rimbaud pense trouver le chemin du bonheur et de la liberté. II – Un art poétique : 1) L'idéal poétique : Le vers 3 compare l'adolescent en fugue à un chevalier servant ("féal", qui rime avec "idéal") courant l'aventure au service de sa "Muse", symbole de la poésie. Les rêves d'amour du vers suivant : "Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées!" peuvent donc

décrivent cet horrible massacre. I. Poésie, théâtre et diverses proses: Les genres littéraires A) Poésie 1.Renaissance de la poésie Les grands rhétoriqueurs (Jean Lemaire de Belges ; Guillaume Crétin ; Clément Marot ; Jean Bouchet…): Poésie de la forme, exploitation de la langue sous forme de jeux poétiques au détriment du lyrisme classique. On ne retrouve pas les sentiments personnels des auteurs, il s’agit plutôt de poésie de circonstance faite pour louer un prince

contradiction avec lui même puisqu’il nous parle d’une tâche difficile agréable à réaliser mais également « d’extraire la beauté du mal ». N’oublions pas, Baudelaire travaille la poésie qui possède une fonction esthétique. Pourtant, il décide faire apparaitre de la boue dans son oeuvre. Nous nous demanderons donc, la poésie doit-elle forcément embellir la réalité? Pour répondre à notre question, nous verrons les « poètes illustres » qui écrivent à partir des « provinces les plus fleuries ». Ensuite

XXe qui ne cesse d’osciller entre refus et inscription totale de l’œuvre dans le monde. Pour confirmer la première partie du propos de Camus, il s’agira de voir comment la création artistique se pose comme un refus du monde tant en raison de sa laideur que son historicité. Cependant l’étude de la conception sartrienne de la littérature nous montrera comment face à une conception par trop idéaliste de la littérature, l’engagement se pose pour l’œuvre comme l’inscription totale dans le réel montrant