Porte des Ternes

chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec M. de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait et à qui on faisait place. Mme de Clèves acheva de danser, et pendant qu'elle cherchait des yeux quelqu'un qu'elle avait dessein de prendre, le Roi lui cria de prendre celui qui arrivait. Elle se tourna et

représentés dans le triptyque : c'est le seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de voir enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Le ciel s’est considérablement réduit, jusqu’à être totalement oblitéré

même niveau que les chiens.   1er plan   Au premier plan, on aperçoit un homme cul-de-jatte qui circule dans un chariot à roulette. C’est un bourgeois : il est bien rasé, a de l’embonpoint, le teint rose, un blazer bleu et un chapeau melon. Il porte également une croix de guerre, un insigne de bravoure. Ainsi, on sait que cet homme est allé à la guerre. Il roule sur un tract antisémite où on peut lire : « Juden raus ! » (Dehors les juifs !) A gauche, on aperçoit une main appuyée sur une canne ;

accrochée à la femme âgée. Cette vieille dame donne la main à un jeune garçon traînant un sac situé a gauche de l'image, dans sans autre main elle porte également un sac. Derrière elle, on voit un jeune femme portant un nourrisson enveloppé dans un linge . Les deux femmes ont les cheveux recouverts par un voile. Les 6 personnes sont vêtues d'habits ternes, foncés, leur teint est livide, ils sont maigres et ont l'air exténués. La famille est survolée par un cadavre blanc, maigre, chauve, presque

chemin vers la paix dans cette région du monde. Tous ont salué la persévérance et le soutien indéfectible de Gérard Collomb à cette initiative. A ce titre, lui a été remis lors de la séance d’ouverture de la conférence la Colombe de la paix par Jacob Terner, maire de Beer Sheva. Exceptionnel aussi en ce que, comme l’a précisé dans son premier discours Yasser Abed Rabbo, il ne s’agissait pas d’un événement qui se termine, comme tant d’autres, à la fin de l’événement, ou qui brasse de belles idées

cette époque (Révolution de 1789). C’est pour cette raison qu’il est aussi grand. II. Analyse thématique * Le contenu est figuratif * Les éléments représentés : à gauche, trois hommes, les mains vides tendues vers un quatrième qui porte trois épées. Celui le plus à gauche tient une lance dans sa main droite, derrière son dos. Les trois hommes s’enlacent et le quatrième tient les épées à bout de bras et les tend vers le ciel. Il regarde dans cette direction aussi. À droite, trois femmes

fait un rappel des évènements. Le facteur Temps est un effet déterminant dans cette oeuvre. Iil intervient comme un personnage à part entière. En effet sans cette contrainte temporelle, le drame ne se serait pas produit. JULIETTE. - Oh ! ferme la porte, et, cela fait, viens pleurer avec moi : plus d'espoir, plus de ressource, plus de remède. LAURENCE. - Ah ! Juliette, je connais déjà ton chagrin, et j'ai l'esprit tendu par une anxiété inexprimable. Je sais que jeudi prochain, sans délai possible

du FBI. En arrière-plan il y a un mur, sur lequel on distingue l'inscription « nigger » (nègre), et « KKK » (Ku Klux Klan). Des tomates ont été lancées et se sont écrasées contre le mur. La petite fille est soigneusement habillée et coiffée ; elle porte une robe blanche, qui fait ressortir la couleur de sa peau. Il y a un fort contraste entre elle et les hommes dont on ne voit pas le visage, même si on voit à leurs mains qu'ils sont blancs. Leur taille contraste avec celle de la petite fille. Notre

suspense va donc courir jusqu'aux scènes suivantes. Un voile de fumée vient couvrir la statue de Staline et l'on entend la propagande allemande dans un haut-parleur. Les allemands ont le dessus et l'espoir est terni pour les russes. Les couleurs sont ternes et les décors montrent un univers délabré, hostile et peu attrayant. Le réalisateur nous a montré les stratégies des deux camps, l'horreur du combat, l'omniprésence de la propagande et les enjeux du conflit. Il nous place à hauteur d’homme, au

tout les poèmes que j’ai choisi n’ont pas été sélectionnés pour la même raison, ils ont tout de même un point commun, il y a forcément un passage, une figure de style, une sonorité que j’ai aimé . Commençons par la cigarette que j’ai choisi car il porte un regard different du commun sur cet objet . La fin de l’automne, ce poème la a pluton été choisi car j’ai bcp aimé cette figure de style « tout l’automne a la fin n’es plus qu’une tisane froide », d’un coté je trouve ça vrai, une tisane ,des