Pompier Champs Lexical

intensité extrême, Phèdre la vie tel un mal, elle est troublée et perdue. Le trouble que lui procure cette passion se manifeste par la vision, à travers une hyperbole (vers 275) « Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler » ainsi qu’un champ lexical: celui de la vision « mes yeux », « voyant » ; elle est dans une quasi aphasie, en effet cette insistance sur ce qui concerne la vision met en exergue le trouble qu’éprouve Phèdre ainsi que son obsession pour Hippolyte. « Je le vis je rougis, je

15, 45), appréhendés (L 14), expulsés (L 11), menottés (L 15)._ Conclusion partielle 1 : les temps verbaux et le champ lexical de la répression nous ont permis de montrer que ce texte est un récit pathétique. Axe 2 : Montrons comment à travers les arrestations arbitraires perpétrées par le parti unique l’auteur fait la satire du néocolonialisme. _Analyse : champ lexical de l’arrestation_ _Entrée 2 : Les indices spatiaux et temporels_ Relevées_ : aérodrome (L 10), perron du palais

- "Ô" apostrophe lyrique => colère de RB - "intègre & vertueux" => c'est tout l'inverse (égoïste et immoraux) - Exhortation : "regardez" "voyez" => ministres = aveugles    2) Accusation - ministre cherchent profits perso => "votre poche" + champ lexical du vol : "pillez" "volez" + dénonciation de la cupidité - dénonciation de l’absence de patriotisme & aucun attachement au royaume - 1107 => structure antithétique => "tout / rien" "intrigue / loyauté"  B- La décadence de l'empire   1) Empire

font entendre une assonance obsédante en [e] « brûlés », « enchaînés » (vers 2), « troué », « mutilées » (vers 3), « torturés » (vers 4) qui souligne la barbarie des sévices physiques infligés aux prisonniers, et la dénonce avec force grâce au champ lexical de la violence. Soumis à ces tortures inhumaines, les Résistants ne cèdent pas. Le mot « silence » (vers 8), la métaphore architecturale de la « nef silencieuse » des mains (vers 10) renvoyant à la promesse tenue par tous de ne pas parler quoi

de son travail. B° Le personnage en miroir Genest / Adrian : Le portrait d’un martyre d’un héros tragique Champ lexical de la mort - vers 347 : « gorge au fer » ; « sang » Champ lexical de la torture - vers 339 : « La torture, le fer et la flamme t’attend » Cham lexical de la religion - vers 338 : « La querelle du ciel » Genest / Adrian porte parole d’une cause Répétition

parle de ses souvenirs et dans ce cas ci des souvenirs qu’il a d’une femme. On sait que la scène se passe à Brest puisque l’auteur le mentionne à la ligne 2. On peut voir que l’auteur est joyeux lorsqu’il se rappelle ces souvenirs. Il utilise le champ lexical de la joie avec « souriante » (L. 3), « ravie » (L. 4), « souriais » (L. 10), « heureux » (L. 32), comme si il voulait insisté sur le fait qu’avant la guerre tout était joyeux et beaux. Il nous raconte un épisode de sa vie où il a assisté à la

Analyse de : L’Ennemi de Charles Baudelaire 1. Deux champs lexicaux dominent dans les trois premières strophes : [pic] le champ lexical du climat : « ténébreux orage ; tonnerre ; pluie ; brillants soleils », [pic] le champ lexical du jardin : « jardin ; fruits ; pelle ; râteaux ; terres ; fleurs ; sol ». Et c’est en utilisant ces deux champs lexicaux que Baudelaire va construire une métaphore filée sur les saisons et le climat qui va occuper les trois premières strophes. On note parmi

nuit lieu => Montsou (bourgade du bassin houiller du nord de la France) b) description en mouvement donc en évolution champ lexical du mouvement : « suivait », « marchait », « avançait » et « s’enfonçait » c) L’évolution spatio-temporelle Il marche depuis 1 heure et il est 3 heures. Il est parti de Marchienne pour aller à Montsou Il a parcouru 8 Km Il est passé des champs sur la grande route au petit chemin creux. d) Découverte progressive de la fosse. « trois braisiers » « village aux

Laforgue & « Rêverie » Victor Hugo I La couleur des poèmes 1. Obscurité au rayonnement • Chez Jules Laforgue, on remarque le champ lexical de l’obscurité « ciel gris rayé »V2, « brume de suie V3, « ombres » V4. Chez Victor Hugo, champ lexical de l’obscurité : « brume » V2, « brouillard » V12 « ciel d’automne » V14 mais qui est accompagné par le champs lexical de la luminosité « géant rougit » V3, « jaunissant » V4, « flèches d’or » V12… Symbole de l’espoir dans le poème de Victor Hugo. Chez

qu’il publie À la lumière d'hiver poème à étudier. Nous commencerons par voir le rôle de la neige, puis celui du soleil et enfin celui de la nature.   I. la neige pose son calme La neige a un rôle dans ce poème. Nous le voyons grâce au champ lexical de celle-ci : « la neige » (v.2), « cristaux humides » (v.13)…par cette même occasion nous voyons la métaphore qu’il utilise pour désigner la neige. De plus nous voyons que la neige est associée au lexique du calme : « lentement », (v.2) « du