Polyandrie

les législations. Les formes de l’union sont liées à un mode de vie mais ça ne permet que les comparaisons d’une époque à une autre voire d’un territoire à un autre. Globalement l’observation de quelques sociétés pratiquant la polygamie ou la polyandrie montrent que ce sont des modes qui sont peu féconds. Car de nombreux hommes n’ont pas de femmes et aussi parce qu’il peut y avoir des grands écarts d’âge. C’est donc la monogamie qui est considérée comme le régime d’union des couples le plus fécond

fondamental dans la civilisation européenne, et le droit français. Donc, dans les pays occidentaux, il est interdit a un homme, d’avoir simultanément plusieurs épouses : c’est la polygynie, mais on interdit aussi a une femme d’avoir plusieurs maris : la polyandrie. -> La Bigamie est donc sanctionnée par le droit, de deux façons, elle l’est pénalement, c’est un délit pénal (un crime jusqu’en 1933), passible de peine de 1 an d’emprisonnement voir 45000 euros d’amende, elle est aussi sanctionnée civilement par

d’inspiration chrétienne qui est inséparable de la notion même de mariage. Dans les pays occidentaux il est donc interdit à un homme d’avoir simultanément plusieurs épouse (= polygynie) et il est interdit à une femme d’être uni à plusieurs maris (= polyandrie). En droit positif la bigamie est donc sanctionné à deux niveaux : pénalement et civilement (le 2ème mariage est nul de nullité absolue) Avant de sanctionner la bigamie le législateur essaie de prévenir la bigamie, tente de la rendre impossible

judéo-chrétienne. La notion de monogamie est inséparable de celle du mariage. Dans les pays occidentaux, il est interdit à un homme d’avoir simultanément plusieurs épouses (polygynie) mais on interdit aussi à la femme d’être unie à plusieurs maris (polyandrie). La bigamie est sanctionnée par notre droit de plusieurs façons : - sanctions pénales : jusqu’en 1933, la bigamie était un crime, maintenant c’est un crime passible d’un an de prison et de 45 000€ d’amende - sanctions civiles : le deuxième mariage

principe fondamental dans la civilisation européenne, qui est d’inspiration chrétienne. Cette notion de monogamie est donc inséparable de la notion même de mariage. Dès lors, il est donc interdit à une femme d’avoir simultanément plusieurs maris (polyandrie). À l’inverse, il est donc interdit à un homme d’avoir plusieurs épouses (polygynie). Sur le plan juridique, la bigamie est donc sanctionnée par le droit pénalement (article 433-20 du Code pénal), mais aussi civilement par la nullité absolue du

juridiques, politiques et humains de l’Italie pour accomplir la mission contre l’Ethiopie, barbare et esclavagiste » (CS, 17.07.1935)  « En Ethiopie, l’institution de la famille n’existe pas [...]. La femme est soumise à l’homme. [...] La polyandrie et la polygamie sont choses normales [...] Les femmes sont objet de marché [...]. La prostitution et les pervertissements sont très répandus » (CE, 5.6.1935, p. 1) Images des populations colonisées  Représentations stéréotypées (folklore

polygame. L’homme ne vit pas avec ses différentes épouses et ces dernières ne vivent pas entre elles, chacune disposant de leurs propres habitations. Elles possèdent donc une forme d’indépendance. Les Toda des Montagnes Bleues en Inde pratique la polyandrie fraternelle. Lorsqu’une femme se marie à un homme, cela signifie qu’elle épouse par là même qu’elle épouse tous les frères de cet homme y compris ceux à naître. Lorsque la femme est enceinte, il y a un choix du père. Celui qui accepte de devenir

d'un lien matrimonial antérieur L'obstacle du lien matrimonial antérieur ne s'apprécie pas de la même manière selon que l'on est en présence d'une femme ou d'un homme. Concernant la femme, l'appréciation est sous-tendue par l'interdiction de la polyandrie (et de la polygamie). Ainsi "la femme ne peut contracter un nouveau mariage avant la mention sur le registre de l'état civil de la dissolution du précédent (art. 113). Pour contracter mariage, la femme doit impérativement être célibataire, divorcée

relations de concubinage avec des femmes de caste inférieure. En mettant fin à ces pratiques, ils vont se rapprocher de l'orthodoxie brahmanique. Les Nayar, l'aristocratie militaire de la région, vont parallèlement mettre fin au système unique de polyandrie qu'ils avaient toujours connu: chez eux, les femmes vivaient dans la maison de leurs frères et toute une série d'"amants" venaient les visiter après le coucher du soleil. Ces "maris visiteurs" n'avaient aucun droit sur la progéniture des femmes

lien matrimonial antérieur L'obstacle du lien matrimonial antérieur ne s'apprécie pas de la même manière selon que l'on est en présence d'une femme ou d'un homme. Concernant la femme, l'appréciation est sous-tendue par l'interdiction de la polyandrie (et de la polygamie). Ainsi "la femme ne peut contracter un nouveau mariage avant la mention sur le registre de l'état civil de la dissolution du précédent (art. 113). Pour contracter mariage, la femme doit impérativement être célibataire, divorcée