Pollinisateur

2007 : perte de 60 % des colonies aux USA et jusqu’à 90 % dans certains États de l’Est et du Sud ; 40 % des ruches se sont vidées au Québec, 25 % des colonies sont décimées dans de nombreux autres pays d’Europe. Les abeilles sont des insectes pollinisateurs, c'est à dire qu'elles transportent le pollen des fleurs qu'elles butinent sur le pistil d'autres fleurs , ce qui permet la fécondation et la reproduction des espèces végétales. La disparition de celle-ci aurait un impact catastrophique sur

engendrent de nombreux problèmes environnementaux: - la déforestation; - l’érosion des sols due à la mécanisation; - la destruction d’habitats d’espèces; - des traitements chimiques entraînants des pollutions pouvant affecter les insectes pollinisateurs ou entraînants l’apparition de formes de résistances chez les « mauvaises herbes »; - la concentration de polluants chimiques dans les chaînes alimentaires. érosion: usure, dégradation du sol La Déforestation… L’amélioration des rendements

régions deviennent des déserts de fleurs pour les pollinisateurs." A titre d’information, une ruche forte de 60 milles abeilles environ féconde en moyenne 35 millions de fleurs par jour, c’està-dire que 90% de la pollinisation faite par les pollinisateurs, est faite par les abeilles. Les chercheurs de l’Institut Scientifique de Recherche Agronomique (INRA) ont mis en évidence que 80% des végétaux de la planète disparaitraient sans les pollinisateurs. A titre d’information, cela correspond à 153 milliards

certaines espèces animales et végétales b. Diminution de la biodiversité 2. Conséquences globales Intro : Nous avons choisi ce sujet de TPE car la disparition des abeilles est un phénomène actuel et alarmant.  La disparition de ces pollinisateurs est un problème encore peu évoqué dans notre société. Cependant, celle-ci engendrera une catastrophe écologique mondiale. La mortalité des abeilles est provoquée par divers facteurs, nous traiterons des multiples causes responsables de leur extinction

des insectes parasites qui se nourrissent d’autres insectes, et des insectes pollinisateurs qui transportent le pollen. Le rôle de ces derniers est très important, car pour se reproduire la fleur, organe sexuel de la plante, doit trouver un intermédiaire qui transportera sur une autre fleur le pollen, élément mâle pouvant féconder l’organe femelle : le pistil. Pour communiquer avec cet intermédiaire, l’insecte pollinisateur, la fleur utilise formes, couleurs et odeurs, afin de se distinguer de la masse

d'abeille est ainsi généralement accordé aux espèces dont l'aspect se rapproche de celui des mouches. Leurs quatre ailes reliées deux à deux différencient pourtant facilement les abeilles des mouches, notamment des syrphes, ces diptères également pollinisateurs qui arborent par mimétisme le costume rayé de la guêpe et parfois celui, plus poilu, de l'abeille. Selon les habitudes de vie des espèces, on distingue plusieurs catégories d'abeilles : l'expression « abeille domestique » est l'un des noms

chez les angiospermes ?I- Organisation de l’appareil reproducteur - La fleur est l’organe responsable de la reproduction sexuée chez les AngiospermesSépales = protection du bouton floralpétales = attraction pollinisateurs étamines = formation grains de pollen (gamète mâle) pistil = renferme les ovules (gamète femelle) II- La formation des grains de pollen et e l’oosphèreLes grains de pollen se forment dans les anthères

produit le pollen ; le gynécée ou pistil, formé par l'ensemble des carpelles (partie femelle). Calice et corolle forment le périanthe, enveloppe stérile, qui joue un rôle protecteur pour les pièces fertiles, et attractif pour les animaux pollinisateurs. Ce plan théorique de la fleur, que l'on trouve typiquement chez le bouton d'or (Renonculacées), est sujet à de nombreuses variations. On rencontre par exemple des fleurs sans pétales, dites « apétales ». Une fleur mixte est une fleur qui possède

l'air). Elle a aussi des impacts indirects (par exemple en dégradant les odeurs, fragrances florales, hormones ou phéromones avant qu'elles atteignent leurs cibles), ce phénomène pouvant pour partie expliquer le déclin de certaines populations pollinisateurs (dont certains oiseaux, chauve-souris nectarivore) constaté dans tous les pays industriels et agricoles. Il pourrait aussi expliquer les difficultés qu’ont les individus de certaines espèces (lézards, serpents, amphibiens, certains mammifères)

de solutions visant à améliorer la santé des insectes pollinisateurs. Bayer travaille pour développer une solution contre le principal ennemi des abeilles : l’acarien Varroa. Nous travaillons également en collaboration avec des instituts scientifiques, des décideurs politiques ainsi que des apiculteurs afin de promouvoir la compréhension et le partage des connaissances sur les questions liées à la santé et la sécurité des insectes pollinisateurs.