Politique Monétaire De Relance Bce Et Fed

(UMR CNRS 5118) Thèse pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’UNIVERSITE DE BOURGOGNE Discipline: Sciences économiques Présentée et soutenue publiquement par MASSAËR MARONE 1 Octobre 2010 SYSTEMES FINANCIERS ET CANAUX DE TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE Jury M. Jean-Pierre ALLEGRET M. Christian BARRERE Professeur à l’Université de Lyon II, Rapporteur Professeur à l’Université de Reims ChampagneArdennes, Rapporteur M. Christian DESCAMPS Maître de Conférences HDR à l’Université de Bourgogne

www.ecb.int [1] La Banque centrale européenne (BCE) est la banque centrale de l’Union européenne. Elle est chargée de définir les grandes orientations de politique monétaire de la zone euro et de prendre les décisions nécessaires à sa mise en oeuvre. C'est-à-dire de maintenir le pouvoir d'achat de l'euro et donc la stabilité des prix dans la zone euro. Cette zone comprend les 16 pays de l'Union européenne qui ont introduit l'euro depuis 1999. La BCE a été créée en 1998 et son siège est à Francfort-sur-le

DISSERTATION :  Dans quelle mesure la baisse des taux d'intérêt permet-elle de relancer la croissance? Document 1 Les banques centrales, institutions indépendantes mettent, en oeuvre la politique monétaire en injectant plus ou moins de monnaie dans l'économie. Une baisse des taux rend le crédit moins cher et incite à la consommation. Il faut quatre à six mois pour mesurer l'impact d'une telle mesure. Les politiques monétaires ne sont pas toutes similaires. Les unes donnent la priorité à la stabilité

Frédéric Petitjean – François Dominguez Présentation Economie 8/12/2010 ------------------------------------------------- Sujet : « En quoi les politiques dites d’assouplissement monétaire (quantitative easing) modifient-elles le financement de l’économie, et en particulier les rôles respectifs de la Banque Centrale et des banques ordinaires dans ce financement ? » Article: The Fed’s big announcement Down the slipway “Quantitative easing” is unloved and unappreciated - but it is working

Bibliographie : - 21 - INTRODUCTION La Grande Dépression, les Américains y font sans cesse référence. Encore plus depuis que la Fed a repris une procédure des années 1930 pour voler au secours de Baer Stearns. Va-t-elle se reproduire en 2008, sous une nouvelle forme ? Le pire n'est jamais sûr. Car Ben Berkane, le président de la Fed, est considéré comme le meilleur analyste de la crise de 1929, et donc le mieux paré pour éviter les enchaînements qui pourraient conduire à une spirale

à des raisons conjoncturelles. Lors de la récession qui a suivi l’éclatement de la bulle internet de 2000, la Fed (réserve fédérale américaine) a baissé son taux directeur jusqu’à 1% et l’a maintenu à ce niveau trop longtemps provoquant une création monétaire trop forte et un gonflement de bulles sur les marchés immobiliers. Avec des taux aussi bas et la mise en place d’une politique américaine d’accession à la propriété encourageant les banques à prêter à des ménages non solvables en abaissant

et ensuite l’analyse des origines et les mécanisme ayant conduits a la crise financière actuelle mondiale des années 2000, et aussi les dimensions de leur transmission au reste du monde et les solutions prises par les responsables économiques et politique pour sortir d’elle. Le deuxième chapitre s’articulera sur l’impact de la crise sur l’economie marocaine en général et sur les PME en particulier qui s’affecte par trois grands secteurs : secteur de textile, de tourisme et du commerce extérieur

Les politiques des banques centrales ont contribué à la reprise économique. Mais l'abondance de liquidités pourrait aujourd'hui favoriser la formation de nouvelles bulles spéculatives. Dans un cycle conjoncturel traditionnel, la banque centrale abaisse le taux d'intérêt auquel les banques se refinancent auprès d'elle lorsque l'économie entre en récession et elle le relève lorsque la reprise de l'économie est clairement engagée. La crise financière actuelle n'a toutefois rien d'une récession classique

un besoin net de financement, i.e une sortie nette de capitaux. Ex : politique budgétaire activiste ∆ IS>0. L’efficacité de cette politique se mesure en terme de croissance ∆ y>0 et le contenu en emploi de cette croissance. Dès lors si l’accroissement des motifs de transaction et précaution ∆ IS>0 se traduisent par une augmentation des importations cela diminue l’efficacité en terme d’emploi domestique de cette politique. Parallèlement l’accroissement de M (importations) entraîne une détérioration

la Réserve Fédérale (Fed) a entraîné celle des taux des crédits immobiliers outre-Atlantique. Confrontées à un coût de l'argent plus élevé pour financer leurs besoins, les banques ont répercuté ces conditions plus sévères sur leur clientèle. Parallèlement, l'assèchement de la demande de biens immobiliers a tiré les prix de ces derniers vers le bas, entraînant du même coup une diminution de "l'effet richesse" des ménages * Evolution du taux d’intérêt directeur de la Fed Appartements et