Politique Monetaire Non Conventionnelle

Les krachs Intro : - Contexte : années 90 : Etats-Unis. Beaucoup de création monétaire et inflation s'est répercutée sur le marché immobilier et le marché des actions. ==> Bulles spéculatives sur ces marchés ==> Endettement privé est croissant ==>2007 : krach immobilier et boursier ==> crise bancaire et systémique. Krach correspond à l'éclatement de bulles spéculatives, sur les marchés financiers. En très peu de temps, une journée par exemple, le cours générale des valeurs (ex : des actions)

ÉCONOMIE MONÉTAIRE. CHAPITRE 1 : IDENTIFICATION ET DEFINITION DE LA MONNAIE 1. La monnaie dans l’échange : de l’économie autarcique à l’économie monétaire. La monnaie n’est pas là pour elle même, elle ne peut que se comprendre dans l’échange, l’idée de monnaie est à rattacher à l’échange entre agents. A. L’économie sans monnaie. a) Autarcie et économie de troc L’autarcie signifie que l’agent ne va consommer, investir que ce qu’il produit lui même (Exemple de Robinson Crusoé)

disposent de plusieurs moyens pour arranger les failles d’un système, notamment, l’usage des politiques économique. En effet, la politique monétaire se distingue de la politique budgétaire. Ces deux politiques interagissent et forment ensemble le policy-mix. Dans notre exposé, nous allons nous intéresser, en particulier, à la politique monétaire. La politique monétaire est l’action par laquelle l’autorité monétaire, en général la banque centrale des pays (en Europe elle est regroupe autour de la BCE),

Un rapide assouplissement de la politique monétaire, des interventions massives pour secourir le système financier et une politique de soutien budgétaire ont contribué à stabiliser le système financier et à atténuer la contraction de la demande privée. Des déséquilibres excessifs d’ordre économique, financier et budgétaire se sont accumulés dans certains pays de la zone euro durant la période d’expansion, entravant le bon fonctionnement de l’union monétaire, et se sont traduits par des fragilités

PARTIE 2 – LES DROITS SUBJECTIFS : Droits subjectifs : Prérogatives données au sujet de droit par des règles de droit. Les droits subjectifs concernent trois catégories de droit. - politique - public - civil Il n’y a pas que les droits subjectifs dans la réalité juridique mais aussi les situations, les attributs, les charges. Il existe des regles de droit qui ne donnent pas de prérogatives. Le droit pénal donne des sanctions. Le droit objectif peut donner des attributs : Des

l’intermédiation financière • 3. La désintermédiation financière • 1. Structure et typologie des systèmes financiers • 1.1 La Finance conventionnelle indirecte ou économie bancaire ou économie d’endettement • 1.2 Les normes de gestion prudentielles pour la banque internationale • 1.3 La finance islamique 1.1 La finance conventionnelle indirecte ou économie d’endettement • La mise en œuvre des activités économiques donnent lieu à des recettes et des dépenses dans les différents

de la stabilité économique à travers ses politiques budgétaire et monétaire. 12 4 2- Typologie des investissements Corporels Incorporels Financiers Suivant leur nature Types Renouvellement Suivant leur objectif Suivant la stratégie - Objectifs Maintien du potentiel Modernisation Amélioration du potentiel Expansion Accroissement du potentiel Diversification Positionnement sur un marché existant non connu Innovation Création d’activités

maintenant la structure de 61% et 39% respectivement pour les acceptations conventionnelles et facultatives et développer notre chiffre d’affaires des zones Tunisie, Maghreb et Pays arabes. Sur le plan financier, Tunis Ré a achevé l'année 2008 sur des performances globalement satisfaisantes enregistrant un bénéfice net de 5,054 MDT et une rentabilité du capital social de 15%. Ces performances ont été réalisées grâce à la politique de souscription poursuivie, axée sur les critères de sélection et de rentabilité

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 2.3. Les banques et les institutions inancières non bancaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 2.4. L’innovation inancière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 3. Pourquoi étudier la monnaie et la politique monétaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 3.1. Monnaie et luctuations économiques

  Sujet : une politique de relance est-elle souhaitable pour lutter contre les risques actuelsde récession ? L’INSEE a noté la date du 15 mai 2009 comme date officielle d’entrée de la France en récession, définietraditionnellement comme une période de deux trimestres consécutifs de baisse du PIB. Selon les prévisions du FMI pour la croissance du PIB en 2009, la récession toucherait la quasi-totalité des pays du monde : le PIB mondial devraitdiminuer de 1.3% , certes tous les pays ne seraient pas