Politique Monetaire Keynes

Centrale la responsabilité de la conception et de la conduite de la politique monétaire, de la mise en œuvre de la politique de taux de change, de la réglementation et de la supervision de l’activité des établissements de crédit. S’agissant de la politique monétaire, Bank Al Maghreb disposera, à l’instar des banques centrales dans les pays développés, d’une large autonomie en rapport avec l’élaboration et la conduite de la politique financière. Ce nouveau dispositif délimite les responsabilités entre

augmentation de la masse monétaire avec la conséquence directe l’augmentation de l’inflation. Le premier coup de frein était le choc pétrolier de 73 avec comme conséquence une nouvelle augmentation de l’inflation (prix du pétrole x5). III) l’économie de l’endettement à l’économie des marchés financiers. A) la nouvelle donne économie Nous sommes au début des années 80, l’échec de la politique de relance de 81, cet échec va amener les pouvoirs publics à mettre en place une politique de rigueur et

l’Union économique et monétaire Première partie : l’Union économique et monétaire génère des contraintes sur les politiques économiques de ses Etats membres A. aussi bien au niveau de leurs politiques conjoncturelles * La politique monétaire est menée par la BCE et les Etats membres ont perdu leur souveraineté en la matière (document n°1). * La politique budgétaire est aussi fortement contrainte par les objectifs menés au sein de l’Union économique et monétaire : limitation des déficits

B. Contrôle sur le taux d’intérêt La politique monétaire utilise aujourd’hui de différentes techniques d’intervention qui sont bien adaptées aux contraintes rencontrées par les autorités monétaires dans une économie moderne. Le principal instrument utilisé pour influencer les objectives intermédiaires est l’action sur le taux d’intérêt. Les interventions de la Banque centrale sur les taux sont associées à la mise en œuvre d’une politique d’open market et elles sont complétées par l’existence

ne doit-elle pas demeurer prêteur de dernier ressort. 4 A. Le rôle de PDR va à l’encontre de la mission de la BCE : Inflation vs Stabilité des prix 4 B. La perte de l’indépendance de la BCE, son atout majeur. 4 C. La responsabilité des politiques dans la crise & la refonte nécessaire mais non envisageable du mandat de la BCE 6 D. Les aléas moraux engendrés 6 1. Conduite rationnelle de la BCE envers les états 7 2. Au travers des banques 7 3. Différence entre états et banques

LE MODELE IS-LM Développé par HICKS des 1937 = explicite les conditions de l’efficacité de la politique monétaire et budgétaire de relance. Repose sur l’idée keynésienne d’une interaction entre la sphère réelle et la sphère monétaire : c’est pourquoi le modèle comporte deux relations : l’une relative au marché des B et S (noté IS) et l’autre relative au marché monétaire (LM) * la relation IS peut se définir comme l’ensemble des points d’équilibre sur le marché des B et S, correspondant à différents

répression monétaire : La double surliquidité de la zone CEMAC...........................................................................................................................6 3.1 Fondements de la libéralisation financière.............................................................................6 3.2 Répression monétaire..............................................................................................................7 4. Opportunité de libéralisation monétaire via les Fonds

Politique monétaire et ajustement Introduction Le cadre général : on a au niveau macro économique équilibre entre l’offre et la demande. L’offre c’est Y (IS LM), pour produire il faut des facteurs de production et ces biens ont une valeur. Ces valeurs sont les «inputs » qui donne lieu a des revenus et ces revenus vont servir à acheter la production. On ne peut donc pas avoir des revenus pour acheter au delà des revenus de la production. On sait que les agents épargnent aussi, cette épargne

économique et monétaire (le passage à le monaie unique), c'est à dire que tout les pays membres utiliseront la même monnaie ( soit l'euro) 9) La Banque Centrale Européenne (BCE) pourra maintenant gérer la poitique monétaire des pays en coordination avec les Banques Centrales (BC) 10) Les autres éléments du traité de Maastricht sont : la citoyenneté européenne ( le traité reconnaît la citoyenneté européenne à toute personne ayant la nationalité d'un Etat membre de l'Union); une politique étrangère

Chapitre9 Annexe7 : les limites de la politique monétaire C hb an i >>les limites de la politique monétaire sur le plan international: >elle risque d'être peu efficace face aux mouvements des capitaux spéculatifs >l'inflation et le chômage peuvent avoir d'autres sources que l'origine monétaire >le phénomène de la mondialisation limite l'efficacité des politiques monétaires nationales >la relance de l'économie grâce à une politique monétaire expansive n'est pas efficace quand la récession