Politique Monetaire Keynes

intervention se définit dans le cadre de la politique suivie par celui-ci, qui combine entre autres, la politique budgétaire, la politique monétaire et la politique de l’emploi. Pour ce qui est de ce thème c'est-à-dire la politique budgétaire, celle-ci constitue avec la politique monétaire, l’un des principaux leviers de la politique économique de l’Etat. De ce point de vue, la question qui se pose est le fait de savoir, à quoi sert la politique budgétaire ? Ceci étant, pour répondre

Chapitre 5- Monnaie et Politique monétaire 1.1. Monnaie et développement des échanges L’évolution des rituels religieux a substitué progressivement aux animaux des objets symboliques et assez rapidement des métaux précieux : pièces de monnaie. Cela a donné naissance à un système de prix fondé sur les valeurs relatives de divers biens au regard de rituels sacrificiels. Ce n’est que par la suite qu’on a réalisé que ce système était pratique pour les échanges courants dans la sphère économique

2001).[1] Le gouvernement tenta de compenser les effets d’un yen fort en adoptant une politique monétaire axée sur le crédit facile entre janvier 1986 et février 1987. Pendant cette période, la Banque du Japon abaisse le taux d’intérêt de 5 à 2.5 pourcent. Ce stimulus a pour effet la création de bulles spéculatives énormes dans l’immobilier et la bourse. Le gouvernement répond finalement en resserrant la politique du crédit et les taux sont augmentés cinq fois en 1989 et 1990 jusqu’à un taux de 6 pourcent

commencent à inquiéter les agents économique mondiaux. La hausse générale des prix est le résultat de l’inflation. Celle ci peut provenir d’un accroissement des coûts de production, de la supériorité de la demande sur l’offre ou d’un excès de création monétaire en regard du volume des transactions à financer. Si l’inflation semble être le mal absolu de nos jours, elle ne l’a pas toujours été, notamment durant les 30 glorieuses où la forte inflation n’a pas empêché des «taux de croissance exceptionnels»

Economie monétaire et financière Economie Monétaire et Financière – Support de cours (S4) COMMENT UTILISER CE DOCUMENT ? Contenu et objectif pédagogiques : Ce cours vise à transmettre aux étudiants des connaissances concernant la gestion financière de la nation (politique monétaire essentiellement) et des éclairages sur les mécanismes qui sont derrière la création monétaire. Au préalable, il expose les modalités du financement de l’économie marocaine. Par ailleurs, il est également question

imperfections des marchés. Séquence I : La politique économique Le chômage, l’inflation, le déficit du commerce extérieur, l’instabilité de la valeur de la monnaie nationale, l’inégalité des revenus, la pauvreté, l’analphabétisme…sont autant de problèmes socio-économiques qui nécessitent l’intervention de l’Etat comme un agent suprême. De ce fait, l’Etat a toujours une place importante dans tous les volets de la vie sociétale : économie, politique, société…dans les pays socialistes que capitalistes

macroéconomique, l’investissement privé et public sont des composantes du PIB. Ce dernier étant l’indicateur de la croissance, il est compréhensible qu’une augmentation de l’investissement permette un accroissement du PIB et donc de la croissance. Keynes, met ainsi en évidence ce mécanisme dans son principe du multiplicateur et de l’accélérateur. Selon lui, une hausse initiale de l’investissement est à l’origine d’une augmentation de la production, et donc des revenus, qui seront eux-mêmes répartis

du protectionnisme. 79. Rôle des institutions financières 80. Marché monétaire et marchés financiers. 81 Quels sont les différentes expressions de l’équilibre économique, celui-ci se distingue t’il de l’équilibre comptable ? 82- Comment se caractérise l’approche néo classique de l’équilibre, en quoi s’oppose-t-elle à l’approche keynésienne ? 83- Quel est l’originalité de la demande de monnaie chez Keynes ? 84- Comment se détermine l’égalité de l’épargne et de l’investissement ?

rémunération du sacrifice de la consommation présente en faveur de la consommation future. Lorsque celui-ci baisse les ménages sont incités à augmenter leur consommation ce qui est favorable à la demande et donc à la croissance. Il faut rappeler que pour Keynes l’épargne constitue une fuite du circuit économique. De plus certains ménages empruntent auprès des banques pour consommer. Une baisse des taux d’intérêt directeurs de la banque centrale peut réduire le coût des crédits à la consommation et inciter

 crédit),  en   insistant  notamment  sur  les  liens  avec  la  demande  globale.  En  faisant  référence  au  programme  de  première,  on   rappellera   le   rôle   des   politiques   macro-­‐économiques   (nationales   et   européennes)   dans   la   gestion   des   fluctuations   conjoncturelles.  On   analysera   les   mécanismes   cumulatifs   susceptibles   d'engendrer