Politique Des Revenus Peut Elle Stimuler La Consommation Des Ménages

et Malinvaud (1973) 3. Les travaux de Maddison (1994, 1998) III. COMMENT MESURER LA CROISSANCE ? A. Le PIB B. Les indicateurs alternatifs C. Quelques pistes de réflexion I. QU’EST-CE QUE LA CROISSANCE ? A. Définition La croissance économique peut se définir comme « un accroissement durable de sa dimension, accompagné de changements de structure et conduisant à l’amélioration du niveau de vie ». Pour rendre compte du changement de dimension d’une économie, on a très souvent recours à des agrégats

demande interne, tout comme en  Inde et au Canada. Par contre, ce sont les investissements (infrastructures, énergie, transport, communication, gestion de l’eau, etc.) qui distinguent la Chine de l’Inde, avec un rythme de croissance spectaculaire qui stimule d’autant les gains de productivité manufacturière qui la caractérisent. Cette abondance de capitaux disponibles est possible grâce au taux d’épargne de plus de 40 % du PIB dont jouit la Chine depuis une quinzaine d’années et qui a des effets multiplicateurs

des prix. L'inflation correspond à une augmentation excessive de la masse monétaire par rapport au volume de production y comprit les prix des salaires (du travail). Elle est mesurée officiellement par l'INSEE au moyen de l'indice des prix à la consommation (I. P. C.) a) Les causes de l'inflation sont diverses :  excès ponctuels de demande par rapport à l'offre, inflation par la demande : lorsque la demande est supérieure à l'offre, les entreprises augmentent leurs prix.  excès de création

La politique fiscale, harmonisation fiscale et sociale Introduction : La politique fiscale est l’ensemble des décisions de dépenses publiques et de règles fiscales mises en place par les pouvoirs publics Les objectifs de cette politique fiscale sont de redistribuer les richesses produites, favoriser l’expansion de l’économie et assurer la pérennité des activités d’intérêt général.  Les recettes fiscales constituant la principale ressource des États elle a donc pour objectif initial de garantir

macroéconomique La macroéconomie c’est une approche théorique qui vise à étudier l’économie d’un pays à travers des agrégats. La macroéconomie s’oppose t elle a la microéconomie ? Non pas tout à fait. Certains défendent l’idée que la macroéconomie ne peut se faire qu’à partir de l’étude de la micro. La macro n’est qu’une généralisation de la micro.  Les néoclassiques (Léon Walras) ont une approche microéconomique et considère que cette approche est la seule valable. La microéconomie est aujourd’hui

classes sociales, et selon les niveaux de revenu. Les besoins se saturent. Peu de besoins sont satisfaits directement par la nature d'où la nécessité de travailler pour transformer les ressources. Classification: Les besoins primaires ou physiologiques: Ce sont les besoins essentiels (Se nourrir, par exemple...) Les besoins secondaires, de civilisation ou psychologiques (Se cultiver, par exemple...) Ceux-ci évoluent différemment suivant le revenu. Voir la Pyramide de Maslow: Besoins

LES POLITIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES: RELANCE ET STABILISATION   I.  Comment justifier l’intervention de l’Etat ? L’Etat intervient pour compenser les déséquilibres du marché. Il sert d’amortisseur aux crises économiques (c’est la théorie keynésienne : c’est à dire que l’Etat fait en sorte à ce qu’il y ait plein emploi, il régule le marché pour réduire le chômage). Il intervient aussi pour corriger la répartition des richesses. On entend par "intervention" une régulation concernant: * l’affectation

2 sujets économiques : ménages et entreprises. A ces deux groupes, on peut noter l'existence de l'Etat, des Banques et de l'étranger. Pour simplifier : nous allons présenter le circuit économique dans une économie fermée (=sans relation avec l'extérieur, sans intervention gouvernementale). Dans cet économie fermée, on porte l'accent sur la sphère de l'économie où apparaissent en particulier des flux réels (flux de biens). Dans cet économie : d'un coté les ménages et de l'autre les entreprises

l'inflation à sa définition. L'inflation est « la perte du pouvoir d'achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix »[2]. Employé seul, le terme d'inflation fait référence à la seule hausse de prix des biens de consommation, à l'exclusion de la hausse des prix des actifs (financiers, immobilier, …). Lorsqu'on parle de l'augmentation des prix de l'immobilier, des actions, des fonds de commerce ou autres actifs, on doit alors préciser que l'inflation se rapporte au

La consommation des ménages français en général est de près de 45 % du PIB et dépasse les 1 000 milliards si l'on y ajoute les biens non marchands. Au total, ce sont plus de 60 % du PIB qui sont consommés par les ménages. L'importance de cette consommation indique l'importance qu'elle revêt pour la croissance. En effet, la consommation, c'est l'usage d'un bien et donc sa destruction. Les ménages consomment des biens marchands (biens d'équipement, de consommation courante, de services) et des biens