Poesie Representation Du Reel

informationnelle » c'est à dire à la combinaison de plusieurs canaux d'information. « Toute représentation est donc un acte sémantique extrêmement dense » Le théâtre est une « machine cybernétique » c'est à dire que le théâtre communique et régule plusieurs informations en même temps » Durant un spectacle, on reçoit en même temps plusieurs informations mais certains tiennent pendant que d'autres tournent. Toute représentation est un acte sémantique extrêmement dense. Pierre LARTHOMAS, Le Langage dramatique

happenings dans les milieux de l’avant-garde et en particulier leur influence sur le ​Pop Art américain et les ​Nouveaux Réalistes européens. Le mouvement préconise de nouvelles « approches perceptives » du réel. Nous nous sommes demandées comment et pourquoi l'auteur a choisi cette représentation de la ville ? II) Développement Arman, de son vrai nom Armand Pierre Fernandez, est né le 17 novembre 1928 à Nice et mort au Etats-Unis à New-York le 22 octobre 2005. C’est un artiste franco-américain, peintre

strophe :Le 2ième quatrain marque une rupture avec le Lyrisme traditionnel en proposant une poésie nouvelleavec les verbes à l’impératif « chantez » « mettez » « que je n’entende plus »Dans le 1er vers  : Une nouvelle injonction, "chantez", développe le même champ lexical de l'ouïe que dans la strophe précédente. Dans le 2ième vers  : Le « chant du batelier » qui symbolisait la poésie traditionnelle est rejeté brutalement par Apollinaire « que je n’entende plus le chant

monde. Baudelaire est maître de la description de « la boue », synonyme de Mal et procède à une véritable analyse de celui-ci dans tous ses aspects. Cependant, véritable Alchimiste, le poète opère ainsi une transmutation de la boue, un réel vulgaire et empli de vices en de l’or poétique. En effet, le poète est un alchimiste, discipline qui se rapproche plus de la magie que de la science et il prétend pouvoir extraire de chaque chose une substance, la « quintessence ». Il peut ainsi révéler

Dissertation Le théâtre est la représentation d’une action (un drame), de la vie réelle, pour un public, il peut également signifier le lieu ou est joué l’action ou bien le genre littéraire qu’il représente. C’est à l’antiquité que nait le théâtre au Vème siècle av. J.C. L’action était représentée en plein air, par quelques acteurs masqués (seulement des hommes). Aristote codifie les genres de drame en deux grands genres dramatiques.

profonde, une morale ou une métaphysique. », Alain Robbe-Grillet. - « L’auteur, dans son œuvre, doit être comme Dieu dans l’univers, présent partout, et visible nulle part. », Gustave Flaubert. C. La Poésie - « Quelques peuples seulement ont une littérature, tous ont une poésie. », Victor Hugo. - « La poésie est élément. Elle est irréductible, incorruptible et réfractaire. Comme la mer, elle dit chaque fois tout ce qu'elle a à dire. », Victor

Louisa Métaireau 2#9 Anthologie de la poésie et de la peinture L'histoire de la poésie est définie par l'apparition de mouvements qui se succèdent et qui réunissent les peintres et les poètes autour d'une vision commune du monde et de la littérature. Chaque mouvement s'inscrit dans un contexte historique particulier et se distingue des autres mouvements par des caractéristiques qui lui sont propre. Il sera intéressant de présenter les mouvement littéraires principaux à partir

citation de Stendhal : « Le roman : c’est un miroir que l’on promène le long du chemin » (Le Rouge et le Noir). * Métaphore du miroir reprise par le terme de « reflet » (image réfléchie ; image, représentation affaiblie/ écho, imitation) = métaphore traditionnelle pour désigner la représentation, la mimèsis. * Métaphore du chemin = espace assez ordinaire et neutre, où n’importe quoi peut surgir. On parle souvent du chemin de la vie. Ainsi l’on désigne la réalité. * La société = ensemble

généralement genre et type, la description est réputée la forme la plus contraire à la poésie et c'est là un point de vue que partage encore Valéry: lieu du permutable, de l'indifférent, la description serait essentiellement antinomique au poétique, lieu du nécessaire et du sur-signifiant. D'autres doctrines (Mallarmé) lui opposent le récit et l'on pourra consulter sur ce point la mise au point faite par D. Combes, Poésie et récit, Corti. Il vaut mieux sans doute considérer qu'il n'existe que des combinaisons

les signes qu'ils nous présentent ». Pour réussir, il va jusqu’à demander l’aide des dieux, principalement des « muses aimables et douces » et du « père des hommes ». Hésiode dans ce texte qui est pourtant didactique réussi à garder une véritable poésie. Notamment avec de nombreuses références mythologiques. Il parle de muses mais aussi de l’origine des deux Ourses par exemple. Nous pouvons ici imaginer que le poète se veut vulgarisateur de quelque chose de technique, c'est-à-dire de l’explication