Pneumopathie

evaluation-pneumologie-corrige-2006 1 .Situation n° 1 – Cas clinique Infirmier(e) en pneumologie, vous prenez en charge, ce matin, Monsieur D. âgé de 47 ans , hospitalisé hier après midi pour pneumopathie infectieuse. Aux transmissions ce matin, vous apprenez que : - Monsieur D. souffre d’infections bronchiques à répétition depuis plusieurs années , malgré l’arrêt du tabac. - Il est arrivé hier à 15h au service des urgences, accompagné de son épouse.. - Il présentait : Une dyspnée

peuvent aussi se développer et engendrer des maladies encore plus graves comme la diarrhée, les infections des voies respiratoires inférieures, différentes formes de lésions involontaires , le paludisme ,les maladies cardiovasculaires, les broncho-pneumopathie chronique obstructive ,le diabète mellite de type 2, la lombalgie , la malnutrition, et le cancer de la peau. À qui la faute ? Parmi les nombreux produits qui causent les maladies environnementales il y a les substances contenues dans les

annuel de la grippe est considérable, évalué à plusieurs milliards de dollars aux États-Unis, et à 460 millions d'euros en France7 pour une épidémie moyenne. Grippes pandémiques Statistiques médicale : évolution du nombre de cas de mortalité par pneumopathie (pneumonie, bronchopneumonie) lors de la grippe pour les années 1889 à 1919, avec nette mise en évidence du pic exceptionnel de mortalité de la grippe pandémique dite grippe espagnole (ici à New York Indépendamment des épidémies, des pandémies

perd tout doucement sa personnalité. Il perd la mémoire et sa capacité de reconnaissance. Il ne contrôle plus sa vessie et a donc besoin de soins constants. Il n’est plus capable de deglutir ou de mâcher. Le patient devient sensible exemple : aux pneumopathies, aux infections, aux affections. Les problèmes respiratoires s’aggravent. Bien souvent cette phase terminal plonge le patient dans un état comateux et puis vers le déces. Remarque : Les stades n’ont pas un temps bien précis , on ne sait pas faire

Action : Sur PM administration du Zoloft®, participer a des activités thérapeutiques, éviter les conflits avec les autres patients. Evaluation : Surveillance du traitement, Calme. 3. Risque de décompensation respiratoire, liée à sa Broncho-pneumopathie Chronique Obstructive, se manifestant par une récidive. Objectif : Eviter une décompensation respiratoire. Action : PM : administrer le traitement, Terbutaline® 5mg, Ipratropium® 0.5mg par voie respiratoire, essayer de diminuer le tabac.

Risque d’overdose : survient à la reprise de la consommation de drogues à des doses plus élevées qu’avant l’arrêt. Signes d’overdose : Myosis serré bilatérale, détresse respiratoire, coma, cyanose génèralisée, hypoTA, hypoT°C (risque d’OAP, pneumopathie d’inhalation). Addiction : lorsqu’une personne ne peut plus se passer de prendre un produit ou d’une pratique malgré leurs effets toxiques sur la santé et la vie sociale. Faim : état somatique provoqué par un manque de nourriture. Satiété

Ofloxacine TARIVID® et Lévofloxacine TAVANIC® (isomère lévogyre) → méningites à méningocoques → infections générales ou à localisation diverse 3. Quinolones de 3ème génération Actifs sur Gram + Moxifloxacine AVELOX® → Infections respiratoires (pneumopathies) → Infections ORL (sinusites) Mécanisme d’action Les quinolones sont des inhibiteurs de la topoisomérase II. Celle-ci coupe les doubles brins de l’ADN pour réduire le surenroulement et permet leur séparation. Puis elle sépare l’ADN en position

bâillements. - Vasospasme : réaction inflammatoire de l'artère au contact d'une hémorragie méningée. - Crises comitiales : peuvent aggraver le déficit focal, les troubles de conscience, les troubles de déglutition. - Trouble de la déglutition. - Pneumopathies : dues aux troubles de la déglutition : troubles respiratoires avec encombrement bronchique. - Thrombose veineuse périphérique. Évolution : En moyenne : - 1/3 des « survivants » sont dépendants - 1/3 ont des séquelles mais restent indépendants

s'accumuler toutes les scories du tabac. Les substances cancérigènes sont donc retenues. Concentrées, elles peuvent agir contre les défenses immunitaires, qui sont très vite dépassées. Par ailleurs, les irritants sont responsables des broncho-pneumopathies chroniques obstructives, invalidantes pour la plupart. 1 cigarette = 6 minutes de vie en moins.   Il y a 70 000 morts par an en France par le tabac, soit 8 morts par heure. Maladie broncho-pulmonaire (cancer du poumon) La taille des particules

légionnaires) - insectes : anophèles paludisme - animaux : chauve souris, renard/rage, thon/botulisme - tout objet souillé : seringue/VIH 2. Porte d'entrée Les examens de crachats ainsi que les IgM sont positifs à Legionella pneumophila C'est une pneumopathie interstitielle TTT : macrolide (azithromycine) à visée intracellulaire Seulement 103 bactéries pour déclencher la maladie Autres voies d'entrée : • bouche : germes ingérés (tube digestif) ver solitaire, helicobacter pilori • capillaire : septicémies