Pneumonie aiguë

CÉRÉBRAUX ............................................................................................ 67 ACCOUCHEMENT IMPROMPTU OU À DOMICILE ................................................................................ 70 ANÉMIE POSTHÉMORRAGIQUE AIGÜE APRÈS UNE INTERVENTION .......................................... 71 ANTÉCÉDENTS ............................................................................................................................................ 71 CARENCES VITAMINIQUES

Fréquemment inaugurales et touchent la quasi-totalité des malades durant l’évolution. - Arthralgies : ¼ des cas. Vives et résistant aux AINS ; souvent accompagnées de myalgies. - Arthrites : 80% des cas. - Polyarthrite bilatérale et symétrique. - Aiguë : fluxionnaire. - Subaiguë : raideur matinale. Parfois nodules sous/cutanés transitoires. - Chroniques : synovite non destructrice et non déformante, main ou pied déformé non détruit (Jaccoud). Rarement déformante et destructrice (Rhupus). -concernent

•Une infection  *Empêche la propagation des agents toxique dans les tissus environnants • Élimine les débris cellulaires et les agents pathogènes • Amorce les premières étapes de la réparation cellulaire Quatre signes majeurs de l’inflammation aigue : • Rougeur • Chaleur • Tuméfaction/oedeme • Douleur Si lésion au niveau articulation, les mouvements sont gênés repos forcé qui contribue à guérison Certains considèrent que la perte de fonction est un cinquième signe de l’inflammation L’exemple

céphalées, vertiges, asthénie. ◊ KIVEXA (100) : Diarrhées, naussées, vomissements, douleurs abdominales, dyspnée ATTENTION A LA PNEUMOCYSTOSE, syndrome détresse respiratoire. Le syndrome de détresse respiratoire : insuffisance respiratoire aigüe, chute plus ou moins rapide des capacités d’échanges gazeux ne subvient plus aux besoins de l’organisme en oxygène. Principe d’action des traitements antirétroviraux : bloquent la réplication virale ce qui correspond à diminuer la charge virale,

une mononucléose ou une pneumonie). Ceci explique que l’effet curatif de la vitamine C ne sera pas totalement reconnu puisque les doses généralement prescrites dépassent rarement les 2g/j. La vitamine C peut améliorer la convalescence du malade, mais elle ne peut pas avoir un effet curatif décisif. Le moindre refroidissement suffit à épuiser la réserve de l’organisme en vitamine C et en premier lieu au niveau de l’organe lésé, dans lequel se développe un état de carence aiguë. Cette carence peut gagner

pathogènes opportunistes qui sont des bactéries qui ne provoquent pas habituellement de maladie chez les sujets sains, mais si l’hôte présente une déficience ou une modification de terrain, alors la bactérie opportuniste peut devenir pathogène (pneumonie, infection urinaire, infection sur cathéter, endocardite, abcès profond, ostéites, méningites...). Ces bactéries sont souvent des bactéries commensales qui vivent à la surface de la peau et des muqueuses de l'homme. Pouvoir pathogène d’une

de stigmatisation et de discrimination voire de rejet. I-3 HISTORIQUE - C’est le 5 juin 1981 que les Centers for Disease Control d'Atlanta ( aux Etats-Unis d’Amérique) rapportent quelques cas d'une forme rare de pneumonie qui touche spécifiquement des jeunes hommes homosexuels. On sait très peu de chose de la maladie qu’on dénommait alors, entre autre, "gay syndrome", - En 1982, sortie de la maladie hors des frontières américaines. Le nom de AIDS (Sida en français)

............................................................................................................................................................................................ 18 vi\ L'infection pulmonaire (alvéolite infectieuse ou pneumonie du nouveau-né) ....................................................................................................................... 19 Quels sont les principes généraux du traitement des détresses respiratoires du nouveau-né ? ...............

compris une sténose artérielle rénale), le traitement avec des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine ou des antagonistes de l’angiotensine II interférera sur ce système entraînant une hypotension aiguë, une urémie, une oligurie et rarement une insuffisance rénale aiguë. Comme tous les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et les antagonistes de l’angiotensine II, l’éprosartan semble avoir une efficacité antihypertensive moindre chez les patients de race noire que

d’informations sur les réactions aiguës des tissus les plus radiosensibles, il est utile d’en présenter une brève description dans les paragraphes suivants. Ds les effets aigue on trouve : - les erytheme ou " coup de soleil" - Nécrose aigue : exposition de particules Beta de faible energie - ulcération aigue : pour 20 Gy en exposition aigue La peau Les cellules de la couche basale de l’épiderme sont particulièrement radiosensibles. Par conséquent, une exposition rapide de la peau à une dose de 6 Sv