Plutarque

Aspasie sa compagne qui anime les soirées. * Importantes reformes pour prestiges d’Athènes et affermir pouvoir du peuple * Instauration de la Misthos (Rétribution à ceux qui occuper une place dans la fonction publique comme être à la Boulè) Plutarque est un historien qui a vécu au 1er siècle av JC (Grèce : province romaine) , il obtient la citoyenneté romaine et écrit des biographies historiques sur des personnes de l’Antiquité. 2. L’exercice de la citoyenneté Pour être citoyen il faut :

son thème que dans son style et sa composition. 1) Le thème Antique choisi par David. Dans cette œuvre, David s’inspire d’un épisode plus ou moins légendaire de l’histoire de la Rome antique rapporté par plusieurs historiens (Tite-Live, Plutarque) et repris par Corneille un siècle auparavant (1640) dans sa tragédie Horace : Au VIIème siècle av. J.-C, pour mettre fin à une guerre sanglante entre Rome et Albe, les deux cités choisissent trois champions : Rome choisit les Horace et Albe

manière de bien traduire d'une langue en autre, mettant en avant l'art de la traduction. Ainsi sont éditées en français les oeuvres de César, Cicéron, Juvénal, Perse et Salluste chez les Romains ; Appien, Diodore, Epictète, Euripide, Homère, Isocrate, Plutarque et Platon chez les Grecs. Ce renouveau de la pensée et de la littérature, côtoyant une affirmation du pouvoir royal et la découverte du Nouveau Monde, ouvrant les portes d'un temps perçu comme celui de l'âge d'or. Après 1547, au début du règne

de légende flateuse pour l'orgeuil national. Cette histoire légendaire prit sa forme définitive chez les écrivains latins et grecs de la fin de la république et du début de l'empire : Diodore de Sicile, virgile, Tite – Live, Denys d'Halicarnasse, Plutarque. La tradition, en prenant pour base les travaux de varron,contemporain de César,retient par la fondation de Rome la date donc 753 avant J.C. Selon la légende, après la guerre de Troie et la chute de cette cité (XIIIème avant J.C?) Le Troyen Enée

polarisation des terres, donc tyran. Au 5ème: un parti démocrate, partisan d'Athènes, progressiste, opposé à un parti se réclamant de Sparte, et ce dans de nombreuses cités II / Sources Essentiellement autour d'Athènes Hérodote, Thucydide, Xénophon, Plutarque (Vies de Thémistocle, Cimon, Aristide, Périclès, Alcibiade), Eschyle (les Perses pour Salamine), Acropole = propagande, numismatique (chouette). Siècle de Périclès, dominé par 2 hommes exceptionnels : Périclès, et avant lui, Thémistocle → Civilisation

œuvres de la Boétie. C’est en 1571 qu’il vend sa charge de conseiller et se consacre à l'étude et à la réflexion. Sans doute est-ce à cette époque qu'il commence Les Essais… Il étudie également les textes anciens, notamment ceux de Sénèque et de Plutarque. Trois ans après, Montaigne fait devant le Parlement de Bordeaux un discours remarqué. Il mène des négociations entre Henri de Guise et Henri de Navarre, le futur Henri IV. En 158o, Michel de Montaigne publie la première édition des Essais et

cinq ou six salles tout de suite. Il y a un grand nombre de lives attachés sur plusieurs rangs de pupitres : il y en a aussi dans des coffres qui me furent tous ouverts ; forces livres écrits à la main, et notamment un Sénèque et les "Opuscules" de Plutarque. J'y vis de remarquable [...] un livre de Chine, lecaractère suavage, les feuilles de certaine matière beaucoup plus tendre et péllucide que notre papier ; et parce qu'elle ne peut souffrir la teinture de l'encre, il n'est écrit que d'un côté de

autres chrétiens (schismatiques). Il n’écrit que pour convertir au christianisme. - La littérature grecque La deuxième sophistique, critiquée par Socrate. N’est pas pareille que la première. Une conception de la rhétorique dans la littérature. Plutarque, rhéteur par excellence. Parallèle dans ses textes entre romain et grec. Il donne des exemples de ce que l’on doit faire et ce que l’on ne doit pas faire. Les moralia, traités philosophiques sont soutenus par les stoïciens. Il y avait Epictète et

force, je suis contraint, assez ineptement, d'en tirer quelque matière de propos universel, sur quoi j'examine son jugement naturel : leçon qui leur est autant inconnue, comme à moi la leur. Je n'ai dressé commerce avec aucun livre solide, sinon Plutarque et Sénèque, où je puisse comme les Danaïdes, remplissant et versant sans cesse. J'en attache quelque chose à ce papier ; à moi, si peu que rien. L'Histoire, c'est plus mon gibier, ou la poésie, que j'aime d'une particulière inclination. Car, comme

d'énumérer les évènements, il tente d'expliquer les raisons profondes de la guerre et de donner aussi bien le point de vue des Grecs que celui des Perses. Ce véritable souci d'objectivité lui valut des critiques de certains auteurs anciens, comme Plutarque, qui l'ont accusé de préférer les «barbares» à son propre peuple. Les Histoires d’Hérodote font ainsi revivre les guerres médiques et l’émergence de la puissance grecque, mais aussi les coutumes et les croyances des peuples d’Asie Mineure. 132