Plasticité neuronale

cerveau avec chacune une fonction particulière). Il s'associe par la suite à un autre chercheur : Charles ROY, tous les deux vont poser une hypothèse : il y aurait un couplage entre les variations des flux sanguins au niveau du cerveau et l'activité neuronale (zones très actives du cerveau nécessitent O2 et Glucose, donc amenés par le sang, ainsi dans ces zones il y a une augmentation locale du flux sanguin cérébral). Cette observation suit les travaux de MOSSO et est à l'origine de l'IRM. Wilhelm

sont purement mécaniques. En conséquence l’intelligence mécanique de l’ordinateur est une pensée figée en opérations prédéfinies et de ce fait jamais un ordinateur ne pourra avoir l’inventivité du cerveau humain. La programmation ne connaît pas la plasticité du cerveau ! S’il invente des combinatoires nouvelles (ce qui est le propre du langage humain, combiner des symboles), l’ordinateur ne peut leur donner aucun sens. Intelligence stéréotypée donc, performante, d’autant plus performante qu’elle est

de la vie embryonnaire, ou apparaissent elles de manière indépendante? Pourquoi les cellules souches restent indifférenciées alors que tout le reste de l'organisme se différencie? • Les cellules souches adultes montrent-elles une certaine plasticité uniquement en conditions expérimentales artificielles? Quels sont les signaux qui régulent la différenciation et la prolifération de ces cellules souches plastiques? • Est-il possible de manipuler les cellules souches adultes pour augmenter leur

femmes parlent plus tôt et utilisent en moyenne 20 000 mots dans une journée contre 7 000 pour les hommes !). Selon les conclusions d’une étude américaine*, le cerveau de la femme posséderait plus de substance grise, c’est-à-dire davantage de tissu neuronal et d’éléments de réception, ce qui lui conférerait de remarquables aptitudes combinatoires. Le cerveau masculin contiendrait davantage de liquide céphalo-rachidien et de substance blanche, qui faciliteraient les transferts d’informations entre les

cholestérol) Le diabète L’obésité (l’obésité peut être un facteur de risque de l’HTA) Partie 2 : Le vieillissement des principales fonctions I La fonction cérébrale 1) Les facteurs du vieillissement cérébral Facteur cellulaire : raréfaction neuronale. La capacité de nettoyage des déchets métabolique est perturbée. Les déchets s’accumulent et finissent par intoxiquer les neurones. Le noyau et la membrane cellulaire vieillissent donc plus rapidement. La frontière entre la cellule et le milieu

: -une phase tonique = qd contractions simultanées des muscles agonistes et antagonistes. -une phase clonique = mvts, secousses. -une phase de résolution musculaire = la relaxation. Ds la véritable crise épileptique, il y a une décharge neuronale qui vient du cerveau. Ici ce n’est pas le cas. 2. Période des grds mvts. Mvts très simples, du bras par exemple. 3. Période des attitudes passionnelles = plutôt mystique. 4. Délire terminal. La personne terminait sa crise par des propos

qu’elles sont toutes en connexion les unes aux autres. * Neuronistes : RAMON y CAJAL : les cellules du tissu nerveux sont contigus cad qu’elles sont proches les unes des autres mais cela reste des unités(=cellules) indépendantes .Les cellules neuronales sont distinctes les unes des autres. Dans les années 50, on a pu de manière définitive opter pour la théorie Neuronistes grâce à l’arrivée du microscope électronique. En effet, cette technique a permis de montrer une séparation nette entre les

le pire, par une démence. Des facteurs inflammatoires sécrétés par les cellules du système immunitaire infectées ou suractivées, ou le monoxyde d’azote synthétisé par les astrocytes, cellules nourricières des neurones, entraîneraient la mort neuronale. Un mécanisme nouveau vient d’être proposé par l’équipe de Christopher Power, à l’Université de Calgary, au Canada. Ces biologistes ont observé 8 psychothérapeutiques,le progrès résidant dans une « approche positive » : si le thérapeute

par des électrodes enfoncées en différentes régions du cerveau (stéréotaxie), ou au niveau de la calotte crânienne (E.E.G.). Ondes amples et lentes: repos fonctionnel, ou souffrance. Ondes de faible amplitude et de rythme rapide: forte activité neuronale. Rythme Alpha: fréquence 6 à 15 cycles / sec. (Moyenne 10/sec) chez l'individu au repos, disparaît à l'ouverture des yeux. Rythme Thêta: fréquence 4 à 7 cycles / sec. d'amplitude moyenne: caractéristique de l'activité de l'hippocampe. Rythme Delta:

............................................ 12 Création d'un potentiel d'action.......................................................... 14 Message nerveux........................................................................... 15 Circuits neuronaux......................................................................... 16 Habituation.................................................................................. 16 Sensibilisation.........................................................