Plasticité neuronale

prolongement de l’immunité innée .. Chapitre 3 Le phénotype immunitaire au cours de la vie .............................. Chapitre 4 Une commande réflexe des muscles ................................................. Chapitre 5 Motricité volontaire et plasticité cérébrale ................................... 178 183 195 210 216 229 2 04732978_001-021.indd 2 25/07/12 14:14 Enseignement de Spécialité Le programme de SVT Terminale S – Spécialité .......................................

stéroïdes - Chol. Oxydase bactérienne : formation H2O2 -> Dosage 5) Rôles du cholestérol CH3 CH3 HO Acides biliaires Fluidité/rigidité membranaire Un équilibre complexe Hormones stéroides : Homéostasie stress sexuelles Plasticité neuronale/Gaine de myéline 6) Régulation / Dysrégulation : - Origine : -Alimentaire / Endogène Régime ou statine -Transport complexe et régulé : - Lipoprotéines : Cholestérol libre : surface Cholestérol estérifié : centre - Cholestérol : principal

est permanent. QCM N°48 ADJC : A propos de l’expression de NCAM dans la migration cellulaire au cours de l’histogénèse du système nerveux : A. Avant la migration, il y a une forte expression de E-NCAM, riche en acide sialique d’où une grande plasticité. B. Pendant la migration, il y a une diminution d’expression de E-NCAM et une augmentation importante de l’expression des récepteurs à la fibronectine. C. Après la migration, il y a une réexpression de E-NCAM en quantité et une forte diminution

E– Cette expérience montre qu’il y a une spécialisation stricte et définitive des aires cérébrales. F–L’adaptation observée reflète une plasticité cérébrale. G– Cette expérience montre que l’idée d’une spécialisation stricte et définitive des aires cérébrales est remise en cause. H– L’adaptation observée repose peut-être sur l’activation de circuits neuronaux déjà existants. Devoir 8 – SN12-13 39 Exercice 2 : La perception visuelle du Chat (6 points) La perception visuelle humaine est

transparente vivante, les cellules photoréceptrices permettent à la fois de comprendre certains aspects de la perception mais aussi d’aborder leur origine évolutive. Par ailleurs, le fonctionnement cérébral montre la complexité des interconnexions et de la plasticité. Comme pour la classe de Seconde, la liberté pédagogique du professeur est grande en classe de Première S. Cependant, la nécessité d’assurer la construction d’un corpus commun de compétences conduit parfois à préciser davantage ce qui est attendu

fait inévitablement penser à une version moderne de la phrénologie, dont on connaît bien les limites (voir à ce propos Uttal, 2003), il n’en reste pas moins que les méthodes d’imagerie cérébrale permettent indubitablement d’explorer les fondements neuronaux de notre vie mentale, comme le démontrent abondamment les innombrables études parues depuis une quinzaine d’années dans le vaste domaine que l’on appelle aujourd’hui les « neurosciences cognitives ». Les psychologues, qu’ils soient commerciaux, cognitivistes

développement accéléré et des périodes de stagnation. Le concept traditionnel de l’intelligence est aussi remis en question par les anthropologues ou les neurosciences qui ont récemment mis en évidence la plasticité du cerveau, c’est-à-dire la capacité du cerveau de reconstruire un réseau neuronal liant certaines fonctions à une nouvelle zone du cerveau à la suite d’un accident. 1.3 Les huit formes décrites par Howard Gardner Howard Gardner a commencé sa carrière dans un établissement traitant des

forme d’un signal électrique. La communication entre les neurones est souvent réalisée par l’intermédiaire des signaux chimiques. L’interprétation de signaux au niveau du système nerveux repose sur des sets complexes de voies et de connexions neuronales. Chez les organismes complexes, l’interprétation de signaux est réalisée par des groupes de neurones organisés sous forme d’un cerveau ou des ganglions. L’information est traitée par le système nerveux en trois étapes : Réception de signaux Intégration

mémoire comme bouclage. Ex : Fourmi volante : développe normalement 5 phases de comportement. Mais quand on modifie son comportement stéréotype, après l’avoir répété plusieurs fois intégralement, elle s’adapte aux stimuli du milieu. Il y a bouclage neuronal. Le programme génétique guide le comportement habituel mais au bout de plusieurs expériences, il laisse entrer en jeu un nouveau programme, basé sur l’apprentissage que l’animal fait dans son milieu. Chacun fait son expérience individuellement. 

que les actions, complexes lorsque le cerveau en e e e prend la d´cision, sont progressivement d´compos´es en ordres simples qui seront donn´s aux e e e e muscles. De sa longue ´volution, l’esp`ce humaine a h´rit´ d’un ensemble de structures neuronales dont e e e e les interactions sont ` l’origine de la complexit´ de son comportement. D’abord capable de s´leca e e tionner ses actions en fonction du contexte, il est devenu capable de s’adapter aux changements 15 Apr`s tout, il est naturel pour