Plan Finances Publiques Au Cameroun

respects et ma profonde affection. Au personnel de l’agence Al Houria qui m’ont aidé à passer Mon stage dans les meilleures conditions et avec succès. Remerciements Avant de commencer de détailler le plan proposé, je remercie Attijariwafa Bank de m’avoir accordé un stage d’une durée d’un mois au sein de ses départements. Je tiens à remercier plus précisément (par ordre hiérarchique) : • M. BENNANI, Directeur de l’agence Al Houria, pour

courantes), le FMI lui prête de l’argent le temps que la confiance des agents économiques revienne. Le FMI conditionne l’obtention de prêts à la mise en place de certaines réformes économiques visant de manière générale à améliorer la gestion des finances publiques et une croissance économique équilibrée à long terme. L’institution a été créée en 1944 et devait à l’origine garantir la stabilité du système monétaire international, dont l’écroulement après le krach de 1929 avait eu des effets catastrophiques

exercent une mission de décision dans le système bancaire et financier. Dans la zone CEMAC, Créée en 1972, en remplacement de la BCEAC (Banque Centrale des Etats de l’Afrique Equatoriale et du CAMEROUN), elle voit le jour avec les accords de coopération monétaire, signés les 22 et 23 novembre 1972 entre le Cameroun, le Congo, le Gabon, la République Centrafricaine, et la France. Ils sont rejoints en 1984 par la Guinée - équatoriale.La B.E.A.C est un établissement public international africain régi par

supérieurs à 1 million de francs CFA. Article 3 La monnaie émise dans l'UMAC et qui a cours légal au Cameroun, en Centrafrique, au Congo, au Gabon, en Guinée Equatoriale et au Tchad, est le franc CFA. Il est rattaché à l'euro, unité monétaire d'intervention, au taux de 0,001524 euro pour 1 franc CFA. Article 4 L’administration de la réglementation des changes incombe au Ministère chargé des Finances qui peut déléguer tout ou partie de ses pouvoirs à la BEAC, à la Commission Bancaire en Afrique Centrale

L’INVENTAIRE B. METHODOLOGIE C. CADRE CONCEPTUEL III. ANALYSE DES DONNEES RECEUILLIES SUR LES PROGRAMMES ET PROJETS DE GOUVERNANCE AU MALI 1. CONTRAINTES ET LIMITES 2. ANALYSE PAR THEME DE GOUVERNANCE 1. Administration publique 2. Communication, presse et médias 3. Décentralisation 4. Etat de droit et droit de l’Homme 5. Gestion socio-économique 6. Paix et stabilité 7. Renforcement de la société civile 8. Renforcement des capacités de diriger

Pauvretés, Inégalités, Exclusions Plan I. L'Etat des lieux. A. Un bilan hétérogène B. Les théories explicatives. 1) L'émergence du concept de « Tiers monde ». 2) Les théories du développement 3) La théorie de la dépendance C. Le cas spécifique de la crise de la dette Lutter contre la pauvreté et l'exclusion : aide formelle et informelle A. Les organes de lutte contre la pauvreté : PNUD, FMI, CAD, UE B. Les mouvements alter – mondialistes (ATTAC)

ainsi les deux actionnaires de référence de la BCM. En Janvier 2003, l’arrivée de Mr. Khalid OUDGHIRI, en tant que PDG, donne le coup de départ à une nouvelle stratégie ayant pour objectif la création d’un champion national de la banque et de la finance, concrétisée en novembre 2003 par la prise de contrôle de Wafabank.  Wafabank Elle a été crée en 1904 sous le nom de « Compagnie Algérienne de Crédit et de la Banque ». En 1959, elle constitue la première banque du pays en termes de réseau

dettes. 1.3.2- l’augmentation de capital en numéraire C’est le seul mode d’augmentation du capital qui fournisse des liquidités nouvelles à l’entreprise. Cette opération se réalise sur le marché primaire, le marché des émissions de titres. Sur le plan juridique, l’émission au-dessous du pair est prohibée. Par ailleurs, fixer le prix des nouvelles actions au niveau moyen des cours boursier présente le risque d’échec si le cours subissait une baisse sensible. En defintive le prix d’émission doit

- 53 - COMMUNICATION À LA COMMISSION DES FINANCES, DU CONTROLE BUDGETAIRE ET DES COMPTES ECONOMIQUES DE LA NATION DU SENAT Article 58-2° de la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances La gestion des procédures publiques de la COFACE SOMMAIRE PARTIE I : MOYENS, PROCÉDURES DE DÉCISION ET ORGANISATION.................................................................................... 4 I. LE RÔLE DE LA COFACE : UN PRESTATAIRE DE SERVICES POUR LE COMPTE ET AVEC LA GARANTIE

PROJET DE LOI DE FINANCES POUR L’ANNEE 2012 « La consolidation de la justice sociale et territoriale, que Nous appelons de nos Vœux, passe inévitablement par le renforcement des politiques sociales de lutte contre la pauvreté, l'exclusion et la marginalisation, et par l'élargissement de la base de la classe moyenne et la promotion de l'égalité entre l'homme et la femme. Elle requiert également d'accorder une attention particulière au monde rural et aux régions montagneuses reculées et enclavées