Plan dur

dans l’obscurité. On peut observer la jeune femme en arrière-plan dans une autre pièce dont la lumière est tamisée de façon à créer une ambiance intimiste. Rima, la coiffeuse, arrive dans la pièce, la caméra fait un zoom pour se concentrer sur la tête de la cliente, gros plan, qui détache ses cheveux donnant ainsi l’impression de se dévoiler  quelque peu. L’eau commence à couler et la caméra se rapproche d’avantage pour faire un gros plan du visage de la cliente, la lumière se fait plus intense. Seul

qui tente pas tous les moyens d’aider tous ses compatriotes à être sur le même pied d’égalité que les blanc aux États-Unis. La séquence contient deux partis, une d’elle est un plan séquence de la ville de Détroit qui est sous le coup de la révolution des noires afin d’être reconnu comme étant l’égal des blancs. Ce plan séquence on peut le comparer, un peu, au vidéoclip. Cette comparaison est plausible car tout se passe extrêmement rapidement, donc on condense le tout, car on veut en montrer le

orthogonaux. IJ 0 ; − ; 2 2 2 2 − → → − Les vecteurs IK et IJ ne sont manifestement pas colinéaires ; ils définissent → − donc le plan (IJK). Le vecteur n orthogonal à deux vecteurs non colinéaires du plan (IJK) est donc normal à ce plan. Une équation du plan (IJK) est donc : H(0 ; 1 ; 1), F(1 ; 0 ; 1), donc K M(x ; y ; z) ∈ (IJK) ⇐⇒ 2x + 1y + 1z + d = 0. 1 1 Comme I appartient à ce plan on a I 1 ; ; 0 ∈ (IJK) ⇐⇒ 2 + + d = 0 ⇐⇒ 2 2 5 d = − . Donc 2 5 = 0 ⇐⇒ 4x + 2y + 2z − 5 = 0. 2 −→ − −− −→ −→ − a.  calcule

Terminale S novembre 2004 Nouvelle-Calédonie 1 Exercice 1 (5 points) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormal direct [pic], on considère l’application f du plan dans lui-même qui, à tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ telle que : [pic]. 1. Soient A et B les points d’affixes [pic] et [pic]. a. Calculer les affixes des points A’ et B’ images des points A et B par f. b. On suppose que deux points ont la même image par f. Démontrer qu’ils sont confondus

1. Calcule la distance AO puis l'angle SO à 0,1 près. 2. Calcule le volume du jouet en fonction de π puis arrondi au cm3 près. Etude de la section d'un cône et d'une pyramide par un plan parallèle à la base  Lorsque l’on coupe l’un de ces solides par un plan parallèle à la base, On fait apparaître : Une section qui est de même nature que la base Dans la partie supérieure : un solide de même nature Dans la partie inférieure : un tronc de pyramide ou un tronc de

SCENARIO VIDEO ACCORDS METS & VINS Scène 1: Présentation de la façade Plan fixe sur l’entrée du chiopot r.guiraud « Bonjour, et bienvenue au restaurant Le Chiopot. Existant depuis les années 1930, Le Chiopot était habité à l’époque par un docker des ports de Bordeaux, où déjà l’esprit de partage et de convivialité habitait ses murs autour de grillades dans l’imposante cheminé toujours existante. La volonté de M.Viel, actuel propriétaire était de « pérenniser l’adresse en conservant le style

plongée - Plan > plan général: situe l'action et montre tous les protagonistes dans le contexte de l'action > plan d'ensemble: totalité du décor avec les personnages qui s'y trouvent. On ne voit pas l'environnement ni le contexte. On doit voir les personnages entiérement > plan de demi ensemble: qu'une partie du décor. L'attention est concentrée sur une partie du groupe > plan moyen pied: cadré les individus en pied(vision intégrale). Concentration uniquement sur les personnages. > plan italien:

B. 4) Placer dans le repère le point E image du point C par la translation de vecteur . 5) Démontrer que le quadrilatère ABCE est un rectangle. Exercice 3 : Sur la figure ci-contre on a un cône de révolution tel que SA = 12 cm. Un plan parallèle à la base coupe ce cône tel que SA’ = 3cm (la figure ci-contre n’est pas à l’échelle) 1) Le rayon du disque de base du grand cône est de 7 cm. Calculer la valeur exacte du volume du grand cône. 2) 3) Quel est le coefficient

d’attente, de suspense, a une présence dynamique puisqu’il est toujours susceptible de faire irruption dans le champ ( exemple : le gros plan sur la victime apeurée laisse deviner la présence d’une menace située « hors-champ » ). Le contre-champ est l’espace frontal au champ. L’effet champ-contrechamp est très courant dans les dialogues. B.    LES PLANS Un plan est une prise de vues effectuées sans interruption. Il ne dure généralement que quelques secondes. Il constitue l’unité de base du

Commun à tous les candidats A -Vrai ou faux ? 1. Faux : contre-exemple : il suffit de prendre P 1 et P 3 perpendiculaires à P 2 . 2. Faux : contre-exemple : on reprend l’exemple précédent. 4 points 3. Vrai : si deux plans sont parallèles, tout plan sécant à l’un est sécant à l’autre. 4. Faux : P 1 et P 2 sont parallèles : si la droite D est incluse dans P 1 elle n’est pas sécante avec P 2 . B - Intersection de trois plans donnés → − → − 1. Le vecteur n 1 (1 ; 1 ; −1) est normal à P 1 , n 2 (2