Plaies du Christ

288 000 voix. => la liste obtient 3 élus qui se réclament ouvertement de la pensée de Pétain. Mais 1951, c’est aussi la mort de Pétain, le 23 juillet. Pétain échappe à une inhumation sans cérémonie=> pas d’apothéose, pas d’ascension du Maréchal-Christ. Lorsque le cercueil descend ds la fosse, une voix lance un « vive la France! » repris fortement par l’assistance tandis qu’une autre voix lance un »vive le Maréchal! » ac bcp moins de succès. Ainsi, l’évènement n’a pas été à la mesure des espérances

« tant sainte chose » et il contient une hostie. La lance qui saigne peut être assimilé à celle du soldat romain qui a percé le flanc du Christ et qu’une antique légende a nommé Longinus. Le Graal est identifié avec le Saint-Graal, le « vaisseau » dont Jésus s’est servi pour la Cène et le « calice » ou Joseph d’Arimathie a recueilli le sang qui coulait des plaies du Crucifié. Aujourd’hui on pense à une relique mais dans l’imagination de Chrétien c’était un symbole ; la quête et la révélation du Graal

Ligue, qui marque la dernière phase des guerres de religion de son empreinte, a ainsi cherché à limiter la violence prophétique et eschatologique des débuts des troubles religieux, pour adopter une attitude de pénitence dans l'attente de la venue du Christ. [modifier]Vers la guerre civile L'exécution du magistrat Anne du Bourg qui avait vivement critiqué Henri II pour sa répression religieuse en 1559 [modifier]Le développement du protestantisme français Les premiers troubles religieux apparaissent

en sortons des petits êtres dans un état inimaginable. Ils ont mis des jours et des nuits pour venir de Pithiviers2, wagons plombés ; 90 par wagon. [...] Ils ont de 15 mois à 13 ans, leur état de saleté est indescriptible, les 3/4 sont remplis de plaies pleines de pus. Immédiatement nous organisons des douches. Pour 1 000 enfants, nous disposons de 4 serviettes ! [...] Une fois nus, ils sont encore plus effrayants. Ils sont tous d’une maigreur terrible [...] Autre drame : ils ont presque tous la

Johan Depoorter n'avait pas eu ses propres idées, pas ses propres joies et peines, pas ses propres rêves. Après l’offrande, je me plongeais dans la (carte de décès). Contre un ciel rouge sang et au dessus un trop petit globe, une statue bleue du christ convulsif pendait mourant sur la croix, alors, les relations (rapports) observées, des gouttes de sang immenses coulaient de son flan. Vraisemblablement, les images provenait d’un FICHIER RESTANT et l’imprimante (je doute je pense imprimeur) avait

à M. D. Les interrogatoires commencèrent. On lui demanda si c’était lui qui avait tué le directeur des ateliers de la prison de Clairvaux. Il répondit : Oui. On lui demanda pourquoi. Il répondit : Parce que. Cependant, à un certain moment, ses plaies s’envenimèrent ; il fut pris d’une fièvre mauvaise dont il faillit mourir. Novembre, décembre, janvier et février se passèrent en soins et en préparatifs ; médecins et juges s’empressaient autour de Claude ; les uns guérissaient ses blessures

que d’extraits des ‘’Veilleurs’’, ce grand poème perdu qui était, selon Verlaine, la plus belle œuvre de Rimbaud. C’est un témoignage de sa révolte antichrétienne poussée au blasphème le plus violent. On reste saisi devant ce poème furieux où le Christ en croix est appelé « pleureur des Oliviers », «plus bête et plus dégoûtant que les lices », et où les apostrophes virulentes se succèdent avec une luxuriance verbale qui n'est pas sans rappeler l'autre ennemi de Dieu, Lautréamont. ____________________________________________________________

contre eux et comme eux tu frappais. Nous, grâce à toi, géant qui gagnas notre cause, Fils de la liberté, nous savons autre chose. Ce que la France veut pour toujours désormais, C'est l'amour rayonnant sur ses calmes sommets, La loi sainte du Christ, la fraternité pure. Ce grand mot est écrit dans toute la nature : Aimez-vous ! aimez-vous ! - Soyons frères ; ayons L'oeil fixé sur l'Idée, ange aux divins rayons. L'Idée à qui tout cède et qui toujours éclaire Prouve sa sainteté même dans sa colère

que d’extraits des ‘’Veilleurs’’, ce grand poème perdu qui était, selon Verlaine, la plus belle œuvre de Rimbaud. C’est un témoignage de sa révolte antichrétienne poussée au blasphème le plus violent. On reste saisi devant ce poème furieux où le Christ en croix est appelé « pleureur des Oliviers », «plus bête et plus dégoûtant que les lices », et où les apostrophes virulentes se succèdent avec une luxuriance verbale qui n'est pas sans rappeler l'autre ennemi de Dieu, Lautréamont. ____________________________________________________________

Peut-tre ne sagit-il que dextraits des Veilleurs, ce grand pome perdu qui tait, selon Verlaine, la plus belle uvre de Rimbaud. Cest un tmoignage de sa rvolte antichrtienne pousse au blasphme le plus violent. On reste saisi devant ce pome furieux o le Christ en croix est appel pleureur des Oliviers , plus bte et plus dgotant que les lices , et o les apostrophes virulentes se succdent avec une luxuriance verbale qui nest pas sans rappeler lautre ennemi de Dieu, Lautramont. __________________________