Piste des Larmes

anecdote. Moi je vous parle de vraies larmes. Comme quand je suis arrivé premier aux Interrégionales de courses d'orientation, juste devant Cyril Gontier qui est vraiment un connard de première qui m'a pourri la vie pendant toute l'école primaire, et j'avais pas besoin de ça. Ou la nuit où je suis tombé amoureux d'Annette, ce qui était très étonnant, parce qu'on baisait déjà depuis plus de trois mois. Mais ce soir-là c'était tellement beau de jouir avec elle, que les larmes m'en sont venues. Tout ça pour

de la p. 149 (séquence 6) en lecture d’image du texte complémentaire n°1 de la séquence 4. CORRIGÉS [PARCOURS TEXTES ET IMAGES] p. 156 • OBJECTIF 1 – DÉCOUVRIR LE RÉCIT D’UN VOYAGE EXTRAORDINAIRE Ce texte est proposé en version audio dans le CD (piste 14). Son étude peut être précédée ou suivie de l’écoute en classe. L’élève peut aussi l’écouter seul à la maison. Du grec ancien à la traduction en français Cet exercice de repérage s’appuie sur l’alphabet de la p. 154. Il rappelle que le texte d’Homère

à cet effet, à l’intérieur de la cabine. Colin remarqua que l’homme n’avait pas une tête d’homme, mais de pigeon, et ne comprit pas pourquoi on l’avait affecté au service de la patinoire plutôt qu’à celui de la piscine. – 19 – Il montait de la piste une rumeur ovale, que la musique des haut-parleurs, disséminés tout autour, rendait complexe. Le piétinement des patineurs n’atteignait pas encore le niveau sonore des moments d’affluence où il présente une analogie avec le bruit des pas d’un régiment

C’est ça devenir une grande personne. » J’ai treize ans et je vois bien que je en sais pas déchiffrer les panneaux, je ne maîtrise pas mon véhicule, je me trompe sans cesse de direction, et j’ai plus souvent l’impression d’être enfermée sur une piste d’autos tamponneuses que de rouler sur un circuit de compétition. » Quel est le sens des phrases en gras dans l’extrait ci-dessus ? Explique la comparaison réalisée par la psychologue. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

Benzin zur Arbeit fahren die Kinder abholen in die Ferien fahren reisen mit der ganzen Familie verreisen der Autoverkehr die Innenstadt (¨e) der Lärm der Gestank die Autoabgase die Abgase verschmutzen/verpesten die Luft Autoabgase machen die Menschen krank Autoabgase schädigen Bauten und Denkmälern CO2 trägt zum Treibhauseffekt und zur Klimaerwärmung bei Lärm, Dreck, Gestank machen das Leben in den Großstädten unerträglich die Straße (n) Straßen/Autobahnen bauen die Natur zerstören der Stau (s) der

l’homme qui le traquait. Accroché sous une planche tachée de peinture, il se -8- cramponnait au bois de toute la force de ses doigts et de ses orteils amaigris. Il avait presque envie que l’homme relève la tête. Beaucoup s’étaient lancés sur sa piste au cours des ans, mais celui-là était différent. Presque familier. C’est pourquoi le monstre voulait de nouveau le regarder en face, en chair et en os. Bien sûr, il savait parfaitement de quoi avaient l’air les individus qui le poursuivaient. Il

à cet effet, à l’intérieur de la cabine. Colin remarqua que l’homme n’avait pas une tête d’homme, mais de pigeon, et ne comprit pas pourquoi on l’avait affecté au service de la patinoire plutôt qu’à celui de la piscine. Il montait de la piste une rumeur ovale, que la musique des haut-parleurs, disséminés tout autour, rendait complexe. Le piétinement des patineurs n’atteignait pas encore le niveau sonore des moments d’affluence où il présente une analogie avec le bruit des pas d’un régiment

le chasseur avec un air de satisfaction, et cela méritait d’être vu. Il paraît pourtant qu’une flèche a besoin d’un couteau pour finir la besogne. – Chut ! s’écria Chingachgook, se tournant vers lui avec la vivacité d’un chien de chasse qui sent la piste du gibier. 87 – Quoi ! il y en a donc une troupe ! dit le chasseur, dont les yeux commençaient à briller de toute l’ardeur de sa profession habituelle. S’ils viennent à portée d’une balle, il faut que j’en abatte un, quand même les Six Nations

questions, du besoin inextinguible qu'il avait de savoir. « Ainsi, tu as couché avec, garce !… Répète, répète que tu as couché avec ce vieux… Et à quel âge, hein ? toute petite, toute 23 petite, n'est-ce pas ? » Brusquement, elle venait d'éclater en larmes, ses sanglots l'empêchaient de répondre. « Nom de Dieu ! veux-tu me dire !… Hein ? tu n'avais pas dix ans, que tu l'amusais, ce vieux ? C'est pour ça qu'il t'élevait à la becquée, c'est pour sa cochonnerie, dis-le donc, nom de Dieu ! ou je recommence

septembre 1941, le journal collaborateur Notre combat pour la nouvelle France socialiste publie un article intitulé « Céline nous parle des Juifs » : Céline y déclare « Pleurer, c'est le triomphe des Juifs ! Réussit admirablement ! Le monde à nous par les larmes ! 20 millions de martyrs bien entrainés c'est une force ! Les persécutés surgissent, hâves, blêmis, de la nuit des temps, des siècles de torture[17]... » Durant cette période, Céline exprime ouvertement son soutien à l'Allemagne nazie. Lorsque