Pierrot

fait qu’Elvire est détournée très vite de son chemin, elle ne réapparaîtra qu’a l’acte 4 scène 6. A l’acte 2 scène 2, Dom Juan a une nouvelle proie : Charlotte. Mais il se trouve que cette pauvre paysanne est déjà promise a un autre : Pierrot. De ce fait, Pierrot apparaît comme une épreuve pour Dom Juan. Tout d’abord, de part sa jalousie pour Charlotte « J’aime mieux te voir crevée que de te voir avec un autre » vers 28, puis de part sa colère en face de Dom Juan « Testiguenne ! parce qu’ous etes

gros débat sur le prix, drole parce que les machines marchent pas bien, a la belle voiture américaine, la bise dans ce film, un cheval sur scène, femmes sur velo, isabelle et pierrot amoureux, , isabelle elle donne un spectacle d'être dans la rue devant tout le monde, les femmes sont oppressees, va faire ta musique Pierrot observe, tous le temps c’est l’heure de pause, il doit faire ses devoirs, la c’est du jazz, voiture américaine qui arrive, elle est belle, tous sont impressionnés. Bouche ouverte

doute qu'il a rencontré une autre femme. Elle lui reproche sa grossièreté et sa maladresse. Ulcérée elle lui prédit une malédiction du ciel. ACTE II : Scène 1 : Pierrot, paysan, raconte à sa promise, Charlotte, comment il a sauvé 2 personnes de la noyade. Charlotte s’intéresse de près au noble de la barque qui a fière allure. Pierrot, jaloux, le lui reproche. Scène 2 : DJ et Sganarelle discute. On apprend que le jeune noble entreprend de séduire une paysanne (Mathurine). Sganarelle lui reproche

Hanska, Textes classés et annotés par Roger Pierrot, Collection Bouquins, Paris, Robert Laffont, 1990, 2 vol. 414 lettres de Balzac à Madame Hanska [1833-1848], deux lettres de Madame Hanska à Balzac, divers autres courriers adressés à son entourage. (ISBN 9782221067901). à Zulma Carraud : réunie par Marcel Bouteron, Armand Colin, Paris, 1935. Ed. revue et augmentée, Gallimard, Paris, 1951. Correspondance intégrale : réunie et annotée par Roger Pierrot, Garnier, Paris. 1960-1969. 5 vol. t. I (1809-1825)

Don Juan lui raconte des sottises comme qu’elle est la seule femme dont il veut, pour pouvoirs mieux la charmer. La paysanne tombe dans son piège et déni Pierrot. Malheureusement, le personnage principal avait financé Mathurine un instant avant . Les deux jeunes femmes viennent le confronter et Don juan prend un malin plaisir à les contredire.Il est dans l'art de manipuler les dames, car il réussit à le faire

Gusman, La Violette et Ragotin, par les paysans comme Charlotte, Mathurine, Pierrot mais aussi par le pauvre. Ce dernier symbolise une valeur : l’intégrité. En effet, Francisque se voit proposé par Dom Juan un louis d’or s’il se met à blasphémer. Mais il s’y refuse et obtient tout de même son argent. Ainsi Molière montre que l’on peut être pauvre et honnête. Cependant, on note que dans l’acte II, Charlotte, fiancée à Pierrot, semble accepter la proposition de mariage de Dom Juan si celui-ci tient

l’ordre d’un officier prussien. Vexé, celui-ci la fait porter avec son lit au milieu des bois où elle meurt de froid et de faim. Pierrot (pp. 37-43) Une dame de campagne, paysanne relativement riche, s’est fait voler et veut dès lors acheter un chien pour éviter ce genre de forfaits, mais elle est avare et refuse donc de payer pour ce chien. On lui en offre un, Pierrot, toutefois celui-ci s’avère incapable d’aboyer. Devant qui plus est assumer une taxe cynologique, elle décide de s’en séparer en

elle reproche à Dom Juan sa trahison; celui-ci lui répond avec le cynisme le plus odieux, sur un ton narquois. Elvire le quitte en le menaçant de sa vengeance (scène 111). ACTE Il. Dom Juan et les paysans. Pierrot et Charlotte, sa fiancée, s’entretiennent en patois au bord de la mer : Pierrot raconte comment il a sauvé du naufrage un grand seigneur magnifiquement vêtu qui, à peine sec, a fait les yeux doux à une jeune paysanne, Mathurine; puis il reproche à Charlotte d’être une amoureuse trop indifférente

un commandeur et qu'il a comme projet de séduire une jeune fiancée. Don Elvire arrive et reproche à Dom Juan de l'avoir abandonnée. Dans l'acte deux , Pierrot explique , en patois , comment il a sauvé Dom Juan et Sganarelle de la noyade. Dom Juan séduit ensuite deux paysannes , Mathurine et Charlotte , la fiancée de Pierrot. Il soufflette Pierrot qui se refuse à voir partir sa future femme avec un autre homme puis tente de se sortir d'une situation assez gênante , car les deux paysannes connaissent

où le seul critère de sélection est la beauté. Charlotte s’intéresse plus à l’argent que détient Dom Juan et ce dernier à la manière d’aimer plutôt qu’à l’amour. Son seul but est le mariage, qu’étrangement elle avait refusé dans la même journée à Pierrot. En fin de compte, les deux protagonistes sont tous les deux aussi intéressés l’un que l’autre, quoi que dans ce jeu de séduction l’amour n’y est pas vraiment de la partie. Dès le début de la pièce, Don Juan passe pour un trompeur. Le fait d'avoir