Pierrière

fonctionne grâce à l’énergie mécanique ; c’est la première façon d’atteindre l’ennemi avec des projectiles. Il existe plusieurs « types » de mécanismes ; l’utilisation d’un contrepoids (mangonneau, trébuchet), de la tension et celle de la torsion (pierrière, baliste, grande arbalète) Les projectiles étaient eux aussi en fonction du type d’engin. Cela pouvait être des pierres des javelots, des projectiles incendiaires ou encore même « bactériologiques » comme des carcasses d'animaux malades. La

|Château la Pierrière – Bx. S.C. Castillon A.C. | |=3015 |Château Tourtirac - Bx. S.C. Castillon A.C. | |=3046 |Château Haut la Pierrière – Côtes Castillon A.C. | |=5M35 |Château Haut la Pierrière – Côtes Castillon A.C.

Il fallait donc utiliser des machines capable de détruire la pierre ou de pouvoir fair entrer les soldats. Les tours de sièges Le bélier L'artillerie mécanique:- Le trébuchet La pierrière Cet engin était destiné à lancer de grosses pierres et fonctionnait grâce à la tension de cordes et de ressorts. La pierrière est l'image type de la catapulte telle qu'on se la représente généralement. La pièce essentielle est un bras se déplaçant dans un plan vertical mu par des ressorts de bois entourés de

de Chine Kubilai Khan. Dans son voyage de retour à Venise en 1292, il fait escale à Perlak dans le nord de l'île de Sumatra (Indonésie). Rentré à Venise en 1295 avec une fortune en pierres précieuses, M. Polo fait armer une galère pourvue d'une pierrière[3], afin de participer au combat que Venise mène alors contre Gênes. Lors d'une bataille sur mer, il est fait prisonnier en 1296 Il dicta son célebre livre (Livre des Merveilles) à Rusticiello. Après sa libération, il épouse Donata Badoer et aura

Khan. Dans son voyage de retour à Venise en 1292, il fait escale à Perlak dans le nord de l'île de Sumatra(dans l'actuelle Indonésie). Rentré à Venise en 1295 avec une fortune en pierres précieuses, M. Polo fait armer une galère pourvue d'une pierrière, afin de participer au combat que Venise mène alors contre Gênes. Lors d'une bataille sur mer, il est fait prisonnier (soit en 1296, au large de la Turquie, entre Adana et le golfe d'Alexandrette3, soit en septembre 1298, au large de Curzola ou Korčula

envoyer les charges. Suite à leurs contacts avec les Chinois, les Sarrasins se mirent à employer également ces machines, qui apparurent ensuite, par le biais des croisades, en Europe vers le XIe siècle. Elles étaient alors connues sous le nom de pierrières. Cette machine subira certains perfectionnements, tout d'abord l'ajout d'un contrepoids placé sur la verge qui aide à accélérer le mouvement de traction opéré sur la verge. Elle est alors appelée bricole. Les armes à contre-poids [modifier]

galerie sous les murs. Ils y installaient des poutres qu’ils enflammaient. En s’écroulant, elles entraînaient des pierres avec elles. Ce qui provoque l’écroulement de la muraille. Le jet de projectiles, comme le trébuchet, le mangonneau, ou la pierrière qui actionnent une sorte de cuiller géante. Les assaillants y placent un rocher, un animal mort ou la tête d’un ennemi. Lors le bras est relâché, le projectile est envoyé avec une force incroyable sur les assiégés. En général, si l’attaque n’avait

consiste à affamer et assoiffer les assiégés en contrôlant tous les le tour de l'enceinte. Mais il demande de nombreux hommes et un approvisionnement régulier en nourriture des assiégeants, ce qui peut coûter cher. Le mangonneau Le trébuchet La pierrière La grande arbalète Le bélier Le beffroi Les chateaux en france la vie au château 1.la chasse : Au Moyen-âge, la chasse se passe en forêt aux alentours du château. La chasse avait pour but de nettoyer la forêt des prédateurs nuisibles

donnait un sentiment de confiance immense aux assiégés. Durant une année, ils défièrent avec succès l'autorité du roi et du pape. Les 10 000 soldats engagés dans le siège ne pouvaient que constater l'inefficacité des boulets que catapultaient les pierrières contre les remparts. Cependant, une nuit de juillet 1244, grâce au renfort d'un groupe de montagnards habitués à l'escalade et connaissant parfaitement les lieux, les assiégeants réussirent à pénétrer dans la place par surprise et parvinrent à obtenir

donnait un sentiment de confiance immense aux assiégés. Durant une année, ils défièrent avec succès l'autorité du roi et du pape. Les 10 000 soldats engagés dans le siège ne pouvaient que constater l'inefficacité des boulets que catapultaient les pierrières contre les remparts. Cependant, une nuit de juillet 1244, grâce au renfort d'un groupe de montagnards habitués à l'escalade et connaissant parfaitement les lieux, les assiégeants réussirent à pénétrer dans la place par surprise et parvinrent à obtenir