Pierre II de Médicis

sont au nombre de cinq : Lorenzaccio (intrigue 1), les républicains, qui se divisent par la suite en deux camps, celui de Philippe Strozzi (2) et celui de son fils Pierre (3), puis on l'intrigue qui concerne la marquise Cibo (4) et celle qui concerne le peuple de Florence, finalement tous essaient d'affronter le tyran Alexandre de Médicis. Il semble donc qu'il n'y est pas de réelle unité d'action même si toutes ces intrigues finissent par être reliées. Puis, il est important de souligner que la pièce

son projet n’ayant abouti à aucun changement. • De la même manière, il existe deux intrigues représentées par l’opposition républicaine incarnée par Pierre et Philippe Strozzi. Si ce dernier renferme en effet un bouillonnement d’idées et de discours, ceux-ci ne seront jamais mis en application et restent des principes. À l’inverse, Pierre ne cesse d’agir, mais sans lucidité. Ces deux tenants d’un type de républicain finissent par annuler tout élan : l’inertie de l’un contrebalance la frénésie

le 6 mars 1554, dans la chapelle du château de Pau, par le cardinal d'Armagnac17. Ses parrains sont le roi de France Henri II et Henri II de Navarre (d'où le choix du prénom Henri Page d'aide sur l'homonymie), ses marraines sont la reine de France Catherine de Médicis18 et Isabeau d'Albret, sa tante, veuve du comte de Rohan. Pendant la cérémonie, le roi de France Henri II est représenté par le cardinal de Vendôme, frère d'Antoine de Bourbon13. Jeunesse[modifier | modifier le code] Henri passe

international dans l'architecture. La peinture elle aussi suit se modèle roman. A ce moment-ci les échanges entre les trois arts augmentent. Florence se différencie donc par son style antiquisant dans une Europe gothique. L'exemple serait Le palais des Médicis. -Le concours de 1401 : En 1401 à lieu à Florence pour la rénovation du Baptistère San Giovani le premier concours artistique public des temps modernes. C'est le sacrifice d'Isaac de Ghiberti qui fut choisit. Mélange entre Antique grâce à la présence

in-8°. [S 10 I. Préface. La Vendetta. Les Dangers de l'inconduite [Gobseck]. Le Bal de Sceaux. II. Gloire et malheur [La Maison du chat-qui-pelote]. La Femme vertueuse [Une double famille]. La Paix du ménage. Note. ROMANS ET CONTES PHILOSOPHIQUES, par M. de Balzac. Seconde édition. - Paris, Charles Gosselin, 1831. 3 vol. in-8°. [S 13 I. Introduction [par Philarète Chasles]. La Peau de chagrin. II. La Peau de chagrin [suite et fin]. Sarrasine. La Comédie du diable. El Verdugo. III. L'Enfant

Francesco da Urbino et grâce a son ami Francesco Granacci, il va être l’apprenti de Domenico Ghirlandaio pour trois ans à partir de 1488. Ghirlandaio est impressionner par son travaille et va le recommande au maître de Florence qui est Laurent de Médicis. Michel-Ange pratique l'étude du corps humain et l’anatomie dans l'hôpital Santo Spirito de Florence, vers 1490 il collabore avec Realdo Colombo qui est médecin et sont ami avec lui il illustre d'un traité l’anatomie. Raffaele Riario qui est cardinal 

|1499 |Saint-Pierre | |David |1504 |Academia | |La sainte famille |1506 |Galerie des Offices, Florence | |Plafond de la Chapelle Sixtine |1512 |Sixtine | |Moïse pour le tombeau de Jules II

souvent appel à des catégories d’analyse qui situent Lorenzaccio dans un contexte autre que le romantisme, ou la scène romantique. Ainsi en est-il de l’approche psychologique adoptée par Bernard Masson[i], remise en question par Marie-Joséphine Whitaker[ii]. La thèse postulée par Masson était celle d’un Lorenzo « agi […] par des forces qu’il ne maîtrise pas », un personnage qui « ne s’appartient plus ». Cette vision tragique, quelque peu réductrice, ôte en effet à Lorenzaccio toute force d’action et à

devient manifeste et qu’il mette toute son énergie à condamner Lorenzo de Médicis au nom du pape Paul III paraît assez dérisoire et là encore on notera qu’en face du Duc, i n’a pas le dernier mot . L’image du chef du pouvoir judiciaire est donc fort égratignée et force nous sera de constater qu’il ne vaut pas mieux que Lorenzaccio et peut-être même vaut-il moins puisqu’il n’a aucune conscience de sa veulerie. Acte II  2. Dans le premier acte les lieux caractérisent la ville de Florence ,

courtisée par le duc, songe à se laisser approcher dans l’espoir que l’amour du duc à son endroit pourrait contribuer à faire de lui un meilleur prince. Acte 2 A l’Acte II, Pierre Strozzi annonce son intention de venger l’insulte faite à sa sœur, provoquant l’inquiétude du chef de famille : Philippe. Le bruit se répand que Pierre a tué Salviati, mais celui-ci, qui n’est que blessé, demande vengeance au duc (sc.1,5,7). Le Cardinal Cibo, beau-frère et confesseur de la marquise Cibo, encourage celle-ci