Pierre II de Médicis

près d'Arezzo. Le père de Michel-Ange, fonctionnaire de Florence, place son fils, alors âgé de treize ans, en apprentissage dans l'atelier du peintre Domenico Ghirlandaio. Deux ans plus tard environ, il étudie à l'école de sculpture du jardin des Médicis, grands protecteurs des arts et des lettres de Florence. Après leur expulsion de Venise, celui-ci enchaine ses études par la réalisation de statuettes (saint Pétrone et saint Procule). Mais cela ne lui suffisant pas, il se rend alors à Rome, où il

Madrigal pour Hélène de Ronsard.. Madrigal in Sonnets pour Hélène (1578) de Pierre de Ronsard (1524-1585) Si c'est aimer, Madame, et de jour et de nuit Rêver, songer, penser le moyen de vous plaire, Oublier toute chose, et ne vouloir rien faire Qu'adorer et servir la beauté qui me nuit : Si c'est aimer de suivre un bonheur qui me fuit, De me perdre moi-même, et d'être solitaire, Souffrir beaucoup de mal, beaucoup craindre, et me taire Pleurer, crier merci, et m'en voir éconduit

------------------------------------------------- Le Théâtre I / Les origines du théâtre. a) La naissance du théâtre…………………………………………………..…….p 3 b) Les représentations théâtrales……..………………………………….……p 3 et 4 c) La tragédie………………………………………………………………p 5, 6 et 7 II / La farce. a) Les étymologies de la farce………………………………………………………p 8 b) Son développement et ses principes……………………………………………...p 8 c) Exemple de farce…………………………………………………………………p 8 III / La dramaturgie classique au XVIIème siècle. a) La

gonzaga attira a sa cour de grands écrivains, peintres et musiciens, faisant de Mantoue un grand centre humaniste et artistique, a tel point que vers 1472, le celebre Orfeo, de Politien, fut joué. En 1539, a l’occasion du mariage de Cosme premier de medicis et d’eleonore de tolède a florence, il comodo du celebre Antonio landi etait au programme. De là, on decouvrit de nouveaux compositeurs tels que Caccini, qui fut un habile artisan de l‘opera. Mais le genie qui les depassa et qui fit elever la musique

le mouvement appelé Première Renaissance, qui amorce le début de la période historique dite Renaissance. Brunelleschi va aussi participer à la vie administrative de Florence, il a été consul des Dieci de Balia (qui est le conseil du gouvernement). II/ Sa vie. En 1398, alors qu’il a vingt et un ans, il est admis en tant qu’apprenti orfèvre à l’Arte de la seta (qui veut dire « guilde de la soie » en italien), élève de l’orfèvre Lunardo où il s’intéresse un temps à l’horlogerie. En 1400, il exécute

vers la mise en scène après l’échec de La Grotte (1961). Il meurt en 1987 en Suisse, alors que ses pièces se jouent encore avec succès Deux événements frappent l’imagination de l’auteur. – En août 1942, Paul Colette tire sur les collaborateurs Pierre Laval et Marcel Déat. Il n’appartient à aucun groupe de résistance. Anouilh juge son acte tragique, par son caractère héroïque et vain. – En février 1944, le groupe Manouchian est fusillé. Une affiche de propagande, « l’affiche rouge », est

évêques ainsi que les abbés (ecclésiastique en charge d’un abbé) de ne penser qu’à s’enrichir et les papes de vivre comme des moines. Au début du XVIème siècle, le pape Léon X (1513-1521) a besoin d’argent pour faire construire la basilique Saint-Pierre à Rome : il fait vendre des indulgences (le pardon d’un péché) qui assurent le paradis à ceux qui les lui achètent. C’en est trop pour le moine allemand Luther qui dénonce le commerce des indulgences et les méthodes du pape en 1517. B. Luther

moque ouvertement de son maître et cette position de spectateur privilégier nous permet d’autant plus d’apprécier les prouesses d’acteur de ce personnage qui change de rôle à sa guise (mise en abyme). Ex 2 : Les Fausses confidences de Marivaux, acte II scène 13, lorsque Araminte fait croire a Dorante qu’elle souhaite épouser le comte pour que le valet lui avoue ses sentiments. La dictée de la lettre adressée au comte est ponctuée d’apartés qui montrent à quel point Araminte observe les réactions de

les personnages par les expressions : « ma mère » (pour l'artiste Tebaldeo), « une catin » (pour Lorenzo), une « mère stérile » ou une « bâtarde » (pour les bannis). On peut voir Philippe s'adresser à elle dans une apostrophe à la scène 5 de l'acte II. Elle prend ainsi figure humaine en étant véritablement personnifiée. Il est intéressant de constater que les personnages ont une relation complexe avec leur ville, vantant sa grandeur passée tout en déplorant sa dépravation actuelle. La figure de Florence

artistique et intellectuelle souscrit à cet engagement. Le pape Léon X (Jean de Médicis) et Luther lui-même se vantent d’en jouer. Ronsard, bon luthiste, le chante dans ses vers : Viens à moy mon luth, que j’accorde Une ode pour la fredonner… Les princes sont eux aussi gagnés. Les virtuoses font la joie des cours, tels le célèbre Albert de Rippe, de mantoue (mort avant 1552), qui entre au service de François Ier puis d’Henri II. En Angleterre, Henri VIII, Marie Tudor, Elisabeth Ier, plus tard, en France