Pierre Gaxotte

LE BOURGEOIS GENTILHOMME, Molière Résumé de la pièce : Le bourgeois gentilhomme est une pièce qui tourne autour d’un personnage central qui est Monsieur JOURDAIN. Ce dernier est un bourgeois extrêmement riche mais sot qui n’a qu’un seul rêve : celui de devenir gentilhomme. Pour se faire, il cherche à acquérir par tous les moyens, les bonnes manières de la haute société et courtise une marquise : tout ceci grâce à différents maîtres. Il voudrait également que sa fille épouse un noble, en

la gymnastique. Seul le tennis, classé sport à fort effectif féminin, fait exception (163, 25h). Depuis toujours, les obstacles culturels à la pratique du sport par les femmes sont réels. En 1896, les femmes étaient interdites de Jeux olympiques. Pierre de Coubertin, baron et initiateur des jo, s'exclame : "Une Olympiade de femelles est impensable, impraticable, inesthétique et incorrecte. Le véritable héros olympique, c'est l'adulte mâle" ! LES REVENDICATIONS L’objectif est tout simplement

L'influance de la famille dans la socialisation Accroche : Les modèles familiaux se caractérisent par leur diversité à travers le monde, on peut par exemple citer l'existence de la polygamie dans des pays où l'islam prédomine alors que les pays dits occidentaux l'interdisent. En occident, la famille nucléaire s'impose. En raison de la relative proximité des modèles nationaux en occident, on peut formuler des observations valables au sein des pays correspondants (Europe occidentale, Amérique

les cadres par rapport à 2004 alors qu’il n’a cessé d’augmenter chez les ouvriers. Il y a un fossé entre les cadres et les actifs peu qualifiés. Les inégalités face à la précarité de l’emplois déterminent donc l’existence de classes sociales. Pierre Bourdieu (1930-2002)  a analysé le phénomène de reproduction sociale. Ce terme décrit une pratique sociale consistant à maintenir une position sociale d'une génération à l'autre par la transmission d'un patrimoine qu'il soit matériel ou immatériel

La maison est construite en béton et en pierres naturelles. L’architecte a multiplié les ouvertures sur la nature, la nature étant omniprésente quelle que soit la pièce de la maison. A l’intérieur, une première caractéristique frappe le visiteur : la maison ne possède que très peu de cloisons et aucune porte. Ce choix est fonctionnel, il permet d’avoir une communication fluide entre les pièces. La maison est structurée autour d’une tour centrale en pierre naturelle, qui abrite une cheminée et prend

POEMES SUR LA ROSE : A ROSE EST LE BOUQUET D’AMOUR, LA ROSE EST LE JEU DES CHARITES, LA ROSE BLANCHIT TOUT AU TOUR AU MATIN DE PERLES PETITES QU’ELLE EMPRUNTE DU POINT DU JOUR. PIERRE DE RONSARD (1524-1585) IGNONNE, ALLONS VOIR SI LA ROSE QUI CE MATIN AVOIT DESCLOSE SA ROBE DE POURPRE AU SOLEIL, A POINT PERDU CESTE VESPREE LES PLIS DE SA ROBE POURPREE, ET SON TEINT AU VOSTRE PAREIL. AS ! VOYEZ COMME EN PEU D’ESPACE, MIGNONNE, ELLE A DESSUS LA PLACE LAS ! LAS SES BEAUTEZ LAISSE

mondialisme, respect de l’autre, dépassement de soi, recherche du geste parfait … Il est ainsi évident que de nombreux francs-maçons doivent siéger dans les instances nationales et internationales du CIO, je n’ai par contre pas réussi à trouver si le baron Pierre de Coubertin l’avait été. On trouve en effet sur le sujet tout et son contraire sur internet. Ce que je peux affirmer par contre c’est que s’il ne l’était pas, il aurait très bien pu le devenir. Certes, il était un colonialiste affirmé ce qui était

chevaliers étaient régis par un code basé sur la loyauté et l’honnêteté des participants. Au siècle dernier, l’Angleterre favorisait une pratique sportive reposant sur le fair-play, c’est-à-dire, le respect des règles écrites et non écrites. Le français Pierre de Coubertin, père des Jeux Olympiques modernes a tenu à associer étroitement à l’Olympisme : l’honneur, la loyauté, le respect des autres et de soi-même. Le Comité International pour le Fair-Play (CIFP) est créé en 1963. Chaque année, il remet

détruit, défigure pour mieux révéler ce qui est caché. Alors quoi ? Faut-il donc se détruire pour découvrir ce que l’on est ? Abandonner des décennies de conditionnement ? Risquer tout ce que l’on a pour trouver au final…quoi ? L’or des fous, la pierre philosophale ou pire : la liberté. La liberté… Se libérer de chaînes mises par nul autre que lui. Affronter la vérité : tant qu’il n’est pas face à lui, il peut se trouver des excuses pour ne pas être ce qu’il devrait. Oser. Oser faire

calculateur, il viole le droit d’asile pour conduire Esméralda au gibet. Il n’apparait que dans quelque scène, mais il joue un rôle décisif dans la répression de la révolte des truands qui tentent de sauver Esméralda. Il est intéressé par la quête de la pierre philosophale, intérêt qui influe sur son avidité. Extrait en bas de page 177 : « Sire ! Sire ! Il y a une révolte ! reprit le compère Jacques essoufflé. Le roi, qui s’était levé, lui prit rudement le bras et lui dit à l’oreille, de façon à être entendu