Pierre Faucheux

homme s'énervent chacun de leurs côtés pour des raisons différentes. A la fin de la scène la statue du commandeur commence à apparaître par le côté droit de la scène. SCENE VIII La statue du commandeur est très grande, elle est grise comme la pierre. Durant cette scène seule la tête de Sganarelle est visible car son corps est tout entier sous la table et sa voie est tremblante. Don Juan est plutôt souriant, il fixe la statue, intrigué. La statue se déplace bizarrement et fait des pas saccadés

ton corps ne sois que roses ( Pierre de Ronsard ) LA PENSEE Elle se laisse balancer par le vent Elle se referme quand vient la fin du temps Elle se réveille avec la joie de vivre Et le soleil la chatouille de ses rayons ivres Elle prend sa douche, des milliers de gouttes Sur elles se couchent Parfois elle meurt écrasée Ce n'est peut être qu'une pensée Mais c'est surtout une toute petite fleur Qui comme nous a droit au bonheur ( Pierre de Ronsard ) ARROS MOI Ta

• Rapide biographie de l’auteur et quelques de ces principaux ouvrages : Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, né à Paris en 1622 et mort dans cette même ville en 1673, à l'âge de 51 ans. C'était un acteur et un dramaturge de théâtre. Il reste un des auteurs les plus joués et étudiés. Molière devait devenir tapissier comme son père, mais sa rencontre avec une famille de comédiens, les Béjart, lui donna le goût du théâtre, et il tomba éperdument amoureux de la fille, Madeleine. En 1643

proposé à l’étude, intitulé « SENTIER » est extrait du recueil «  LES ARDOISES DU TOIT » écrit par Pierre REVERDY en 1918. Pierre REVERDY s’inscrit dans le surréalisme, il s’ associe a de grands artistes tels que Pablo PICASSO ou Henri MATISSE. Des artistes qui vont prôner : les valeurs de l’irrationnel, de l’ absurde, du rêve et de la révolte. Nous allons donc voir comment Pierre Reverdy, à travers un poème lyrique dénonce les horreurs et les conséquences apocalyptiques de la guerre

ACTE III SCÈNE 5 R E P È R E S L'invitation à souper • La scène est nettement construite en deux temps, marqués par un changement de décor qui remplace la forêt par l'intérieur du mausolée : I. Dans la forêt. 1. Liaison avec la scène précédente. Dom Juan donne ses « raisons » à Sganarelle pour ne pas « pacifier toutes choses ». 2. Discussion sur la question de savoir s'il faut ou non entrer dans le mausolée. II. Dans le mausolée. 1. L'arrivée devant la statue (l. 41-63).

Pierre Corneille est né en 1606, à Rouen. Sa famille faisait partie de la bourgeoisie. Il entreprend des études à Rouen entre 1615 et 1622 dans le but de devenir avocat, comme son père. Il prend ses fonctions en 1624. Il commencera à écrire ses premiers vers l'année suivante, qui seront publiés dans les Mélanges Poétiques. Corneille rédigera sa première comédie, Mélite, entre 1629 et 1630. Il continuera à écrire des comédies, comme par exemple La Veuve en 1631, jusqu'en 1635 ou il commencera à aborder

l’idéal d’impersonnalité revendiqué par exemple par « l’art pour l’art ». Le lyrisme moderne a souvent recourt au registre de « l’humour triste », qui réfrène l’épanchement par l’ironie, l’autodérision. Nous allons maintenant étudier un poème de Pierre de Ronsard, célèbre auteur français du XVIème siècle et membre de la pléiade. Il s’intitule Mignonne, et est tiré du recueil Les Amours de Cassandre. A Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre

famille avaient mis en garde plusieurs fois la justice contre la dangerosité de son frère, avant même sa sortie de prison. Vendredi 4 février 2011 :Emploi fictif à Lille : Pierre Mauroy condamné pour abus de confiance Le tribunal correctionnel de Lille a condamné vendredi 4 février l'ancien premier ministre socialiste Pierre Mauroy et Lyne Cohen-Solal — actuellement adjointe au maire PS de Paris — à 20 000 euros d'amende avec sursis chacun pour "abus de confiance". Cette condamnation concerne l'affaire

Au XVIIe siècle, la relation maître valet n’a pas d’autres sens que la soumission du valet vis-à-vis de son maître. C’est ce que l’on peut voir dès le premier acte, à la scène un dans la pièce de Molière Dom Juan, lorsque Sganarelle dit « Mais un grand seigneur méchant homme est une terrible chose ; il faut que je lui sois fidèle, en dépit que j’en aie : la crainte en moi fait office de zèle, bride mes sentiments, et me réduit d’applaudir bien souvent à ce que mon âme déteste. ». Cependant, à la

Pierre Bourdieu : L'OPINION PUBLIQUE N'EXISTE PAS. In Questions de sociologie, Ed. minuit, p.222-235. «  Je voudrais préciser d'abord que mon propos n'est pas de dénoncer de façon mécanique et facile les sondages d'opinion, mais de procéder à une analyse rigoureuse de leur fonctionnement et de leurs fonctions. Ce qui suppose que l'on mette en question les trois postulats qu'ils engagent implicitement. Toute enquête d'opinion suppose que tout le monde peut avoir une opinion ou, autrement dit